10 000 dinars pour le rétablissement de l’électricité à Oran

Ayant quitté un appartement depuis quelques mois, en rentrant à Oran un chibani en retraite avait constaté que faute de paiement le courant lui avait été coupé. Il se présenta à la direction générale d’où dépend son logement en pensant s’acquitter comme d’habitude de quelques frais et revoir la lumière chez lui. On lui apprit que cette fois le courant avait été coupé au niveau de la rue et que pour le rétablir la SONELGAZ devait installer un nouveau type de compteur à poser à l’extérieur dans le couloir pour la somme de 10 OOO dinars dans un pays où le smic est de 18 OOO, Aucune explication de l’utilité de ce nouveau compteur alors que le sien était en excellent ét fonctionnait parfaitement. Le citoyen était prié de payer de donner son numéro de téléphone et attendre,

Au bout de un mois malgré des visites hebdomadaires au service concerné il a compris que les fonctionnaires de SONELGAZ étaient en cheville avec des prestataires complices à qui ils accordaient en sous mains des marchés juteux pour partageant les bénéfices et tirant en plus chacun de son côté des bakchichs pour services rendus.

Cette absence totale de notion de service public, ce vol manifeste, la corruption qui s’est généralisée en Algérie , les scandales financiers de tous les jours , le chômage des jeunes et l’énorme fossé qui séparent les nouveaux riches qui ont repris le mode de vie des anciens colons avec plus de mépris affiché envers les petits, de la hougra systématique et une justice inexistante expose l’Algérie à une grave crise sociale qui ne peut se terminer que par une guerre civile.
 
Le Quran appelle ce genre de société "jahanama", c'est valable pour tous les pays "musulmans". Avant la révélation coranique, ceux qui travaillaient avec leurs mains étaient appelés "k'mi" et ceux qui se roulaient dans la soie en profitant des démunis les "ashra'fs". Tout ça pour dire que nous sommes revenus à la jahilya.



Ayant quitté un appartement depuis quelques mois, en rentrant à Oran un chibani en retraite avait constaté que faute de paiement le courant lui avait été coupé. Il se présenta à la direction générale d’où dépend son logement en pensant s’acquitter comme d’habitude de quelques frais et revoir la lumière chez lui. On lui apprit que cette fois le courant avait été coupé au niveau de la rue et que pour le rétablir la SONELGAZ devait installer un nouveau type de compteur à poser à l’extérieur dans le couloir pour la somme de 10 OOO dinars dans un pays où le smic est de 18 OOO, Aucune explication de l’utilité de ce nouveau compteur alors que le sien était en excellent ét fonctionnait parfaitement. Le citoyen était prié de payer de donner son numéro de téléphone et attendre,

Au bout de un mois malgré des visites hebdomadaires au service concerné il a compris que les fonctionnaires de SONELGAZ étaient en cheville avec des prestataires complices à qui ils accordaient en sous mains des marchés juteux pour partageant les bénéfices et tirant en plus chacun de son côté des bakchichs pour services rendus.

Cette absence totale de notion de service public, ce vol manifeste, la corruption qui s’est généralisée en Algérie , les scandales financiers de tous les jours , le chômage des jeunes et l’énorme fossé qui séparent les nouveaux riches qui ont repris le mode de vie des anciens colons avec plus de mépris affiché envers les petits, de la hougra systématique et une justice inexistante expose l’Algérie à une grave crise sociale qui ne peut se terminer que par une guerre civile.
 
Haut