En 2015, 1 enfant sur 8 est né en zone de conflit

mam80

la rose et le réséda
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À peine nés, et déjà en danger. Cette année, 16 millions de bébés ont vu le jour dans une zone de conflits. Pour nous sensibiliser à cette réalité, l'UNICEF diffuse une vidéo courte et efficace, qui invite chaque parent à se mettre dans la peau de ces femmes qui accouchent sur un territoire à risque.


« Toutes les deux secondes, un nouveau-né prend son premier souffle en plein conflit, souvent dans des circonstances terrifiantes et sans accès à des soins de santé », a annoncé le Directeur général de l’Unicef, Anthony Lake. « Trop d’enfants commencent aujourd’hui leurs vies en situation extrême, un conflit, une catastrophe naturelle, la pauvreté, la maladie ou la malnutrition. Peut-il y avoir un pire départ dans la vie ? »

Dans un communiqué diffusé aujourd'hui, le Fonds des Nations Unies pour l'enfance rappelle qu'en Afghanistan, en Iraq, en République centrafricaine, dans le Soudan du Sud, en Syrie ou au Yémen, les nouveau-nés et leurs mères sont confrontés à d’énormes risques. Dans ces pays, les femmes enceintes risquent d'accoucher sans assistance médicale, dans des conditions d’hygiène déplorables. Leurs enfants ont une probabilité plus grande de mourir avant l’âge de 5 ans. Quand ils survivent, leur développement psychologique et cognitif est fortement perturbé par le stress extrême qu'ils subissent quotidiennement.

« Les derniers mois de 2015 ont vu la communauté internationale se rassembler autour de la lutte contre le changement climatique et pour un nouveau programme de développement mondial, a rappelé Anthony Lake. Ces accords ambitieux représentent une énorme occasion de traduire nos promesses, en actes pour les enfants les plus vulnérables. Si nous remédions aux raisons pour lesquelles tant de familles ressentent le besoin de se déraciner, et de déraciner leurs enfants – en résolvant les conflits, en luttant contre le changement climatique, en élargissant les possibilités de chacun – nous pouvons faire de 2016 une année d'espoir pour des millions de personnes – et non une année de désespoir. »

Les conflits, la pauvreté, le changement climatique et l’absence de perspectives ont forcé des millions d’enfants à se lancer dans des périples dangereux, loin de leurs foyers. Ces quelques chiffres donnent une idée de la gravité de la situation.


200.000 enfants ont demandé l’asile politique dans les pays de l’Union européenne au cours des neuf premiers mois de 2015.
Plus de 250 millions d’enfants – soit un sur neuf – vivent dans des pays ou des régions en proie à un conflit.
Plus d’un demi-milliard d’enfants vivent dans des zones où les inondations sont extrêmement fréquentes.
Près de 160 millions d’entre eux vivent dans des zones de sécheresse élevée ou très élevée.
Les enfants représentent la moitié des personnes vivant dans une pauvreté extrême bien qu’ils ne représentent qu’un tiers environ de la population mondiale.

En cette période de fêtes, chacun peut apporter sa contribution en achetant des cartes de vœux Unicef, en faisant un don directement sur le site de l'organisme international ou en achetant une Happy Box aux enfants dans le besoin.

http://madame.lefigaro.fr/societe/en-2015-1-enfant-sur-8-est-ne-en-zone-de-conflits-171215-111401

mam
 

Southpaw

Rebel without a Cause
À peine nés, et déjà en danger. Cette année, 16 millions de bébés ont vu le jour dans une zone de conflits. Pour nous sensibiliser à cette réalité, l'UNICEF diffuse une vidéo courte et efficace, qui invite chaque parent à se mettre dans la peau de ces femmes qui accouchent sur un territoire à risque.


« Toutes les deux secondes, un nouveau-né prend son premier souffle en plein conflit, souvent dans des circonstances terrifiantes et sans accès à des soins de santé », a annoncé le Directeur général de l’Unicef, Anthony Lake. « Trop d’enfants commencent aujourd’hui leurs vies en situation extrême, un conflit, une catastrophe naturelle, la pauvreté, la maladie ou la malnutrition. Peut-il y avoir un pire départ dans la vie ? »

Dans un communiqué diffusé aujourd'hui, le Fonds des Nations Unies pour l'enfance rappelle qu'en Afghanistan, en Iraq, en République centrafricaine, dans le Soudan du Sud, en Syrie ou au Yémen, les nouveau-nés et leurs mères sont confrontés à d’énormes risques. Dans ces pays, les femmes enceintes risquent d'accoucher sans assistance médicale, dans des conditions d’hygiène déplorables. Leurs enfants ont une probabilité plus grande de mourir avant l’âge de 5 ans. Quand ils survivent, leur développement psychologique et cognitif est fortement perturbé par le stress extrême qu'ils subissent quotidiennement.

« Les derniers mois de 2015 ont vu la communauté internationale se rassembler autour de la lutte contre le changement climatique et pour un nouveau programme de développement mondial, a rappelé Anthony Lake. Ces accords ambitieux représentent une énorme occasion de traduire nos promesses, en actes pour les enfants les plus vulnérables. Si nous remédions aux raisons pour lesquelles tant de familles ressentent le besoin de se déraciner, et de déraciner leurs enfants – en résolvant les conflits, en luttant contre le changement climatique, en élargissant les possibilités de chacun – nous pouvons faire de 2016 une année d'espoir pour des millions de personnes – et non une année de désespoir. »

Les conflits, la pauvreté, le changement climatique et l’absence de perspectives ont forcé des millions d’enfants à se lancer dans des périples dangereux, loin de leurs foyers. Ces quelques chiffres donnent une idée de la gravité de la situation.


200.000 enfants ont demandé l’asile politique dans les pays de l’Union européenne au cours des neuf premiers mois de 2015.
Plus de 250 millions d’enfants – soit un sur neuf – vivent dans des pays ou des régions en proie à un conflit.
Plus d’un demi-milliard d’enfants vivent dans des zones où les inondations sont extrêmement fréquentes.
Près de 160 millions d’entre eux vivent dans des zones de sécheresse élevée ou très élevée.
Les enfants représentent la moitié des personnes vivant dans une pauvreté extrême bien qu’ils ne représentent qu’un tiers environ de la population mondiale.

En cette période de fêtes, chacun peut apporter sa contribution en achetant des cartes de vœux Unicef, en faisant un don directement sur le site de l'organisme international ou en achetant une Happy Box aux enfants dans le besoin.

http://madame.lefigaro.fr/societe/en-2015-1-enfant-sur-8-est-ne-en-zone-de-conflits-171215-111401

mam
Welcome to the future.
Chaque un pour soi et dieu n existe pas.
C est la fin du monde.
Armageddon.
 
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