En 2015, près de 50 000 d’entre eux mettront la clé sous la porte, car si les macro économistes voient dans les 1,5% de la zone euro et les peut-être 0,8% de la France, une situation bien meilleure, et s’exclament tous sur tous les plateaux, en experts brillants, de l’impact de la baisse de l’euro et de la baisse du pétrole (que personne ne constate d’ailleurs dans les pompes à essence, à Paris), les entreprises elles, voient devant elle une croissance au diesel. De toutes petites particules. Très fines. Et pas très positives.
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