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PLD (Peace, Love and Diversity)
22 heures par jour en cellule à la prison de Saint-Gilles: "Une honte"
Depuis le 30 juin, les détenus de la prison de Saint-Gilles ne bénéficient plus de prestations d'aide et de services, comme par exemple les activités sportives ou culturelles. La plupart des prisonniers restent dès lors en cellule jusqu'à 22 heures par jour. "Une honte", pour la Commission de surveillance qui publie une carte blanche dans De Morgen vendredi.
Les activités sont supprimées en raison d'un manque de personnel et dans un souci d'économies. La commission, qui vérifie le respect des droits des détenus, a entre-temps reçu de nombreuses plaintes. Selon An-Sofie Vanhouche, membre de cette commission, la situation perdurera au moins jusqu'en février.
"Il y a aujourd'hui un gros problème de manque de personnel. Tous les recrutements sont bloqués à cause des mesures d'économies. C'est une décision du gouvernement", réagissent les autorités pénitentiaires. D'autres établissements sont confrontés à l'absence de certaines activités, mais seul celui de Saint-Gilles a supprimé toutes les activités.
Discussions en cours
Le ministre flamand du Bien-Etre Jo Vandeurzen a demandé au ministre de la Justice Koen Geens le redémarrage rapide des activités. Selon le cabinet de Geens, des discussions sont en cours. Vingt personnes ont déjà été engagées pour combler partiellement le manque de personnel dans l'ensemble des prisons.
En principe, les détenus peuvent saisir la justice s'ils estiment que leurs droits sont violés, rappelle le service bien-être flamand.
Source 7/7 RTL
Depuis le 30 juin, les détenus de la prison de Saint-Gilles ne bénéficient plus de prestations d'aide et de services, comme par exemple les activités sportives ou culturelles. La plupart des prisonniers restent dès lors en cellule jusqu'à 22 heures par jour. "Une honte", pour la Commission de surveillance qui publie une carte blanche dans De Morgen vendredi.
Les activités sont supprimées en raison d'un manque de personnel et dans un souci d'économies. La commission, qui vérifie le respect des droits des détenus, a entre-temps reçu de nombreuses plaintes. Selon An-Sofie Vanhouche, membre de cette commission, la situation perdurera au moins jusqu'en février.
"Il y a aujourd'hui un gros problème de manque de personnel. Tous les recrutements sont bloqués à cause des mesures d'économies. C'est une décision du gouvernement", réagissent les autorités pénitentiaires. D'autres établissements sont confrontés à l'absence de certaines activités, mais seul celui de Saint-Gilles a supprimé toutes les activités.
Discussions en cours
Le ministre flamand du Bien-Etre Jo Vandeurzen a demandé au ministre de la Justice Koen Geens le redémarrage rapide des activités. Selon le cabinet de Geens, des discussions sont en cours. Vingt personnes ont déjà été engagées pour combler partiellement le manque de personnel dans l'ensemble des prisons.
En principe, les détenus peuvent saisir la justice s'ils estiment que leurs droits sont violés, rappelle le service bien-être flamand.
Source 7/7 RTL