Au moins 47 personnes ont été tuées dimanche en irak

Et cela continue . Au prochain épisode .
Avec Saddam L'irak fut un pays avancé mais depuis l'agression lâche à 35 contre 1
c'est devenu le désordre voulu .

Au moins 47 personnes ont été tuées dimanche en Irak, où des attentats suicide ont ciblé une mosquée au sud de Bagdad et le siège des services de sécurité au Kurdistan, portant à près de 800 le bilan des morts du mois.
Au sud de la capitale, un kamikaze a fait sauter sa charge explosive après être entré dans une mosquée chiite de Moussayib où des funérailles avaient lieu.
L'explosion a provoqué l'écroulement du plafond et 27 morts et 35 blessés ont été dégagés des décombres, selon la police.
Des attentats à répétition contre des funérailles, tantôt chiites, tantôt sunnites, ont lieu depuis une dizaine de jours dans le pays, faisant craindre un possible embrasement confessionnel général.
Quatorze personnes ont été tuées dans d'autres actes de violences, notamment à Bagdad, Mossoul, Kirkouk, et près de Baqouba, selon des sources de sécurité.
Et au moins six personnes ont été tuées et une soixantaine blessées lorsqu'un groupe armé a attaqué le siège des services de sécurité à Erbil, dans la province autonome du Kurdistan irakien, selon le ministère kurde de l'Intérieur.
C'est la première fois depuis des années qu'une attaque a lieu à Erbil, chef lieu de la seule région du pays à jouir d'une vraie sécurité.
Les kamikazes se sont fait exploser après avoir ouvert le feu sur des gardes à l'entrée du bâtiment, tandis qu'une ambulance utilisée par le groupe armé pour tenter d'enfoncer le portail d'entrée a également explosé.
Le dernier attentat sanglant à Erbil remonte au 10 mai 2007, lorsqu'un camion piégé avait explosé près de ce même quartier général des services de sécurité, faisant au moins 14 morts.
L'attentat de dimanche intervient une semaine après des élections législatives pour renouveler le Parlement régional du Kurdistan irakien.
Selon un analyste irakien, Ali al-Haidari, il peut être lié aux différends entre les Kurdes et le Front Al-Nosra, un mouvement islamiste à la pointe de la rébellion contre le régime en Syrie voisine.
"L'attaque d'aujourd'hui pourrait être une vengeance du Front al-Nosra contre les Kurdes à l'intérieur du Kurdistan", a-t-il dit.
Des combats ont opposé ces dernières semaines des jihadistes de l'Etat islamique en Irak et au Levant (EIIL) et du Front al-Nosra à des éléments des Comités de protection du peuple kurde (YPG) dans le nord-est de la Syrie.
A la mi-2012, l'armée syrienne s'était retirée des zones kurdes pour se concentrer sur les autres zones rebelles. Les Kurdes, qui représentent 15% de la population syrienne, avaient tenté de rester neutres, et d'instaurer dans leur région une forme d'autonomie.
"La Syrie a également un effet sur nous", a déclaré Ali Moussaoui, porte-parole du Premier ministre irakien Nouri al-Maliki, estimant que l'attaque pourrait être le fait "d'une retombée de la crise syrienne".
Quelque 161.000 Syriens, pour la plupart Kurdes, ont trouvé refuge en Irak, selon le Haut Commissariat aux réfugiés de l'ONU.
Quelque 800 personnes ont été tuées dans des actes de violences en Irak depuis le début du mois et plus de 4.600 depuis le début de l'année, selon un bilan établi par l'AFP à partir de sources sécuritaires et médicales.
La mission de l'ONU dans le pays a mis en garde contre une spirale "infernale" de représailles entre sunnites et chiites après la multiplication d'attentats ces derniers mois, qui font craindre une reprise de la guerre confessionnelle qui avait ensanglanté le pays en 2006-2007.
Près de 500 attentats à la voiture piégée ont eu lieu en Irak, dont la moitié à Bagdad, depuis le début de l'année, selon une source diplomatique occidentale. A ce chiffre il faut rajouter une centaine de kamikazes qui se sont fait exploser au volant de voitures piégées, et près d'une centaine de kamikazes qui ont mené leur attaque à pied.
 
Je continue la liste macabre de la secte crapuleuse depuis que les crapules ont agressé le peuple
Irakien en 1991 à contre 35 contre 1
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Une voiture bourrée d’explosifs a détoné dans un bazar de la ville, minée par des attentats à répétition des talibans pakistanais.
Au moins 38 personnes ont été tuées et près d’une centaine d’autres blessées dimanche dans un attentat à la bombe à Peshawar, le troisième en une semaine dans ce carrefour du nord-ouest pakistanais, près de la frontière afghane. Une voiture bourrée d’explosifs a détoné en fin de matinée dans le bazar animé de Kissa Khwani de Peshawar, ville minée par des attentats à répétition des talibans pakistanais. Selon l’hôpital Lady Reading, où ont été transportées les victimes, l’attentat a fait 38 morts et plus de 90 blessés.
L’attentat, qui n’avait pas été revendiqué en fin de journée, a eu lieu près d’un poste de police, mais les autorités ignorent si ce dernier en était la cible. Selon Shafqat Malik, chef des démineurs, l’attaque visait plutôt le bazar achalandé. Des lambeaux de chair, des flaques de sang, des éclats de verre tapissaient le sol après cet attentat qui a embrasé les étals du marché, a constaté un journaliste de l’AFP sur place
 

Pièces jointes

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On continue la liste macabre .
L'irak était un pays avancé avant que les crapules de la secte mettent le désordre
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Près de 50 personnes ont été tuées lundi à Bagdad dans une nouvelle vague d'attentats visant principalement la communauté chiite, faisant de septembre un des mois les plus sanglants de l'année.
Les violences ont fait plus de 870 morts depuis le début du mois, et plus de 4.700 morts depuis le début de l'année, selon un bilan établi par l'AFP à partir de sources sécuritaires et médicales.
Lundi matin, 12 voitures piégées ont explosé dans neuf quartiers de Bagdad -six majoritairement chiites, un mixte et deux sunnites-, faisant 47 morts et plus de 140 blessés, selon des sources sécuritaires et médicales.
Les deux attentats les plus meurtriers ont eu lieu dans les quartiers chiites de Kazimiya (9 (BIEN: 9) morts et 19 blessés) et Choula (6 morts et 14 blessés), dans le nord de Bagdad.
A Bagdad al-Jadida, dans l'est de la capitale, une bombe a explosé dans un parking, tuant quatre personnes. Plusieurs véhicules ont brûlé tandis que les vitres des maisons et d'une clinique pour femmes toute proche ont volé en éclats, selon un correspondant de l'AFP.
Plus tard dans la journée, lors d'une attaque isolée, trois personnes sont mortes dans l'explosion d'une bombe dans le quartier de Dora, au sud de la capitale, au moment où des fidèles quittaient la mosquée Al-Mustafa. Au moins 12 personnes ont été blessées.
Ailleurs dans le pays, deux personnes sont mortes dans des attaques dans les province de Ninive et de Diyala, portant à 52 morts le bilan de la journée.
Ces attentats n'ont pas été revendiquées dans l'immédiat, mais depuis plusieurs mois, des groupes liés aux insurgés sunnites d'Al-Qaïda attaquent des mosquées, des marchés, des funérailles et même des terrains de football fréquentés par la communauté chiite
 

UNIVERSAL

---lcdcjve---
VIB
le parti kurde affirme que les réformes ne suffisent pour répondre à ses attentes.
ANKARA, 30 septembre (Xinhua) -- Le parti kurde de Turquie a déclaré lundi que le paquet de réformes récemment dévoilé par le gouvernement d'Ankara n'est pas suffisant pour faire avancer le processus de paix en cours avec les militants du parti illégal des travailleurs du Kurdistan (PKK).


La co-présidente du parti pro-kurde pour la paix et la démocratie (BDP), Gulten Kisanak, a déclaré aux journalistes que les minorités kurde et alaouite espéraient saisir l'occasion pour régler les problèmes auxquels elles sont confrontées mais que le paquet de réformes "ne traite aucune de leurs attentes".

Mme Kisanak a fait cette déclaration peu de temps après que le Premier ministre turc Recep Tayyip Erdogan eut dévoilé lundi le programme de réforme tant attendu visant à faciliter un processus de règlement pour mettre fin à l'insurrection kurde qui dure depuis trois décennies.

Dans le cadre d'amendements applicables aux partis politiques, ces derniers pourront mener leurs campagnes électorales dans d'autres langues que le turc, a déclaré M. Erdogan. Une décision qui permet aux politiciens kurdes d'organiser des activités en langue kurde.

Mais pour Mme Kisanak, la réforme n'a pas la "capacité de résoudre les problèmes", ni de sortir de l'impasse dans laquelle se trouve le processus de règlement.

Rappelant que "des milliers de prisonniers politiques" sont toujours emprisonnés, elle a qualifié la réforme de "paquet électoral" plutôt que de paquet de démocratisation.

Ce paquet est considéré comme une étape importante dans le processus de négociation avec les Kurdes lancé en 2012.

Les autorités turques ont entamé en octobre 2012 des négociations de paix avec le chef emprisonné du PKK, Abdullah Ocalan, qui ont conduit en mars à un cessez-le-feu entre les deux parties. En mai, les combattants du PKK en Turquie ont commencé à retourner dans leur fief dans le nord de l'Irak.

Le PKK, considéré comme une organisation terroriste par la Turquie et d'autres pays, a pris les armes en 1984 pour tenter de créer un Etat kurde dans le sud-est de la Turquie. (source French. News. Cn)
 
Et cela continue . Au prochain épisode .
Avec Saddam L'irak fut un pays avancé mais depuis l'agression lâche à 35 contre 1
c'est devenu le désordre voulu .

Au moins 47 personnes ont été tuées dimanche en Irak, où des attentats suicide ont ciblé une mosquée au sud de Bagdad et le siège des services de sécurité au Kurdistan, portant à près de 800 le bilan des morts du mois.
Au sud de la capitale, un kamikaze a fait sauter sa charge explosive après être entré dans une mosquée chiite de Moussayib où des funérailles avaient lieu.
L'explosion a provoqué l'écroulement du plafond et 27 morts et 35 blessés ont été dégagés des décombres, selon la police.
Des attentats à répétition contre des funérailles, tantôt chiites, tantôt sunnites, ont lieu depuis une dizaine de jours dans le pays, faisant craindre un possible embrasement confessionnel général.
Quatorze personnes ont été tuées dans d'autres actes de violences, notamment à Bagdad, Mossoul, Kirkouk, et près de Baqouba, selon des sources de sécurité.
Et au moins six personnes ont été tuées et une soixantaine blessées lorsqu'un groupe armé a attaqué le siège des services de sécurité à Erbil, dans la province autonome du Kurdistan irakien, selon le ministère kurde de l'Intérieur.
C'est la première fois depuis des années qu'une attaque a lieu à Erbil, chef lieu de la seule région du pays à jouir d'une vraie sécurité.
Les kamikazes se sont fait exploser après avoir ouvert le feu sur des gardes à l'entrée du bâtiment, tandis qu'une ambulance utilisée par le groupe armé pour tenter d'enfoncer le portail d'entrée a également explosé.
Le dernier attentat sanglant à Erbil remonte au 10 mai 2007, lorsqu'un camion piégé avait explosé près de ce même quartier général des services de sécurité, faisant au moins 14 morts.
L'attentat de dimanche intervient une semaine après des élections législatives pour renouveler le Parlement régional du Kurdistan irakien.
Selon un analyste irakien, Ali al-Haidari, il peut être lié aux différends entre les Kurdes et le Front Al-Nosra, un mouvement islamiste à la pointe de la rébellion contre le régime en Syrie voisine.
"L'attaque d'aujourd'hui pourrait être une vengeance du Front al-Nosra contre les Kurdes à l'intérieur du Kurdistan", a-t-il dit.
Des combats ont opposé ces dernières semaines des jihadistes de l'Etat islamique en Irak et au Levant (EIIL) et du Front al-Nosra à des éléments des Comités de protection du peuple kurde (YPG) dans le nord-est de la Syrie.
A la mi-2012, l'armée syrienne s'était retirée des zones kurdes pour se concentrer sur les autres zones rebelles. Les Kurdes, qui représentent 15% de la population syrienne, avaient tenté de rester neutres, et d'instaurer dans leur région une forme d'autonomie.
"La Syrie a également un effet sur nous", a déclaré Ali Moussaoui, porte-parole du Premier ministre irakien Nouri al-Maliki, estimant que l'attaque pourrait être le fait "d'une retombée de la crise syrienne".
Quelque 161.000 Syriens, pour la plupart Kurdes, ont trouvé refuge en Irak, selon le Haut Commissariat aux réfugiés de l'ONU.
Quelque 800 personnes ont été tuées dans des actes de violences en Irak depuis le début du mois et plus de 4.600 depuis le début de l'année, selon un bilan établi par l'AFP à partir de sources sécuritaires et médicales.
La mission de l'ONU dans le pays a mis en garde contre une spirale "infernale" de représailles entre sunnites et chiites après la multiplication d'attentats ces derniers mois, qui font craindre une reprise de la guerre confessionnelle qui avait ensanglanté le pays en 2006-2007.
Près de 500 attentats à la voiture piégée ont eu lieu en Irak, dont la moitié à Bagdad, depuis le début de l'année, selon une source diplomatique occidentale. A ce chiffre il faut rajouter une centaine de kamikazes qui se sont fait exploser au volant de voitures piégées, et près d'une centaine de kamikazes qui ont mené leur attaque à pied.


Ce que celui qui ne suit pas l information de cette region ne sait pas que les kurdes autonomes d irak s opposent au gouvernement centrale de l irak dirigé par Al Maliki ....a propos de karkouk mais pas que ..il y a aussi l affaire syrienne
Par exemple a propos de la syrie les kurdes s opposent au gouvernement d al maliki proiranien et donc probachar ...et soutiennent les sunnites opprimés de syrie comme ils ont soutenu les sunnites oppréssés d Irak..
Vous alléz me dire alors pourquoi jabhat nosra anti bachar attaque les kurdes d irak qui sont anti almaliki qui lui est probachar???
Ca a tjs été l action de ces debiles de chiens de khawaridj qui s imaginent etre des moudjahidines ..la3anatou allah 3alayhim eux et les hmar et hmarat frustré(e)s qui les soutiennent ...
 
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