Et dans un reportage Arte, étaient donnés des précisions encore.
Après l’explosion de la première bombe, l’armée Japonaise a maintenu le secret, et est arrivé pour évacuer seulement les jeunes hommes car eux seuls étaient utiles à l’armée.
De l’aveux d’une Japonaise, l’armée japonaise à traité les morts d’Hiroshima, comme des déchets, sans égard.
Les services secrets Japonais suspectaient quelque chose se préparait, et ont suivit le décollage et la progression du bombardier de la première bombe, mais les autorités n’ont pas réagit. On peut comprendre éventuellement à ce moment là. Mais les services secrets Japonais on suivit le décollage et la progression du bombardier de la seconde bombe, et les autorités n’ont pas réagit non‑plus, alors qu’il y a des preuves qu’elles savaient. Personne ne sait pourquoi elles ont laissé faire.
Dans les mois et les années qui ont suivit, les victimes des deux bombes ont été stigmatisées par la population.
Malgré qu’une capitulation (qui n’était pas acquise) était peut‑être possible, il y avait un sentiment nationaliste très fort, et quand l’empereur a annoncé qu’il allait s’exprimer après la deuxième bombe, la population était joyeuse parce qu’elle pensait que l’empereur allait annoncer une victoire Japonaise, comme le bombardement de New York ou l’invasion de Taïwan. Cependant, une partie de la population en avait assez de cette guerre et l’armée le savait.
Quand les Américains sont arrivés après l’explosion des deux bombes pour étudier les dégâts, la population pensait qu’ils étaient là pour se venger des exactions/tortures commise sur les Chinois, des actes dont même les jeunes enfants avaient connaissance.
L’histoire n’est pas autant manichéenne que pourrait le faire croire une récupération visant à retourner l’accusation de terrorisme contre les américains, pour des raisons pas difficile à imaginer, comme celle de la gêne du 11 septembre.
Cependant, il y a des raisons d’en mettre sur le dos des américains aussi.
Si les bombes ont été lâchées, ce n’était pas militairement nécessaire et c’était surtout pour les tester et faire un essai d’explosion grandeur nature et sur des cobayes humains et montrer au monde la puissance de ces bombes.
Deux bombes ont été lâché pour tester deux modèles différents, la seconde « coutant moins cher à produire », ce qui préfigurait leur production en masse.
Quand les américains sont arrivé, après, ils n’ont rien fait pour soulager les victimes et n’ont fait que les étudier dans des laboratoires, sans apporter le moindre soin, même pas des traitements antibiotiques qui auraient put sauver certaines gens.
Cette inspection des victimes par les américains, comme s’ils avaient été des cobayes humains, a duré plus de 70 ans.
L’armée américaine a imposé la censure sur les faits aux victimes (en rajoutant une couche au dessus de la censure de la part de l’armée japonaise).
Quand la population américaine a appris les dégâts causés par ces deux bombes, par un journaliste, un responsable militaire a affirmé que c’était « d’après les médecins, une façon de mourir plutôt agréable ».
Des années plus tard, alors qu’un japonais était en visite aux états‑unis pour récolter des fonds pour une organisation contre les armes nucléaires et qu’il était invité d’une émission de télé pour en parler, les organisateurs de l’émission lui ont fait le coup douteux d’inviter le pilote de l’avion ayant lâché la première bombe, et demander à l’hôte japonais, de lui serrer la main « amicalement ».
Sinon aussi, doublon :
Hiroshima 70 ans après l'effroyable.