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[QUOTE="thitrite, post: 7043026, member: 228473"] voilà encore aujourd'hui une nouvelle histoire de " fils et filles de " 25/05/2010 à 10h:44 Par Cherif Ouazani, envoyé spécial à Alger Les enfants gâtés du système © Glez Un scandale financier, un assassinat, un vaudeville politico-économique... Trois affaires récentes mettent en lumière le comportement délictuel des « fils et filles de ». Enquête sur une impunité ayant presque force de loi. La mise sous contrôle judiciaire, le 13 janvier, de Mohamed Meziane, PDG de Sonatrach, est due essentiellement aux agissements de son fils Fawzi, impliqué dans une affaire de trafic d’influence. Un mois plus tard, l’assassinat du colonel Ali Tounsi, directeur général de la Sûreté nationale, par un de ses plus proches collaborateurs, est, lui aussi, selon les premiers éléments de l’enquête, lié aux activités économiques délictueuses de la progéniture du meurtrier. Dernière affaire en date : la démission fracassante d’Azouaou Mehmel, patron de Mobilis, opérateur de téléphonie du groupe public Algérie Télécom, motivée par le refus de sa tutelle d’entériner sa décision d’écarter la directrice de la commercialisation, Sihem Djenouhat, fille du numéro deux de l’Union générale des travailleurs algériens (UGTA, centrale syndicale), par ailleurs *membre influent du Rassemblement national démocratique (RND, du Premier ministre Ahmed Ouyahia). Un mal endémique Un scandale financier, un meurtre et un vaudeville politico-économique. Résultat : les frasques des « fils et filles de » alimentent toutes les conversations. Dans le Sud, on les appelle « Ouled Qiyada » (« fils du commandement ») ; et dans le Nord, « Aït Tchipa », mêlant malicieusement le tamazight et un anglais arabisé pour dire « fils de tip » (pourboire), autrement dit de pots-de-vin. Civils et militaires, magistrats et banquiers, élus et administrateurs, syndicalistes et cadres, le mal touche tous les rouages de l’Algérie d’en haut. C’est même l’une des caractéristiques du système. Au niveau national ou local, la progéniture de la République a toujours fait des siennes, et ses abus nourrissent le scepticisme des Algériens à l’égard de leur justice. Porter le nom d’un homme politique influent, d’un officier supérieur ou d’un puissant magistrat procure privilèges et promesses de rente. Certes, ils ne sont pas tous impliqués dans des activités illégales, seule une minorité affichant l’arrogance du pedigree. Mais il n’en demeure pas moins que leur comportement et leurs privilèges expliquent en partie le désamour des citoyens pour leurs gouvernants. la suite est dans "jeune afrique" [/QUOTE]
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