Accord sur l’emploi 2013

bilibutch

Je suis ce que je suis ..
VIB
Le 11 janvier 2013, les négociations nationales dites de "sécurisation de l’emploi" se sont terminées par un accord d’une extrême gravité pour les droits des salariés.
La CGT et FO ont annoncé qu’elles ne le signeront pas. Par contre, la CFDT, la CGC et la CFTC ont décidé de le parapher. Un projet de loi doit être présenté au Conseil des ministres début mars, pour ensuite être voté au Parlement en mai.

Des avancées ?

Les partisans de cet accord veulent nous faire croire qu’il ouvre des droits nouveaux aux salariés. Mais en réalité ces "contreparties" sont virtuelles, conditionnelles et remises à plus tard et encore... pas pour tous  !

Une mobilité interne : volontaire ou forcée  ?

Loin de répondre à la feuille de route fixée par le gouvernement lors de la conférence sociale de juillet 2012, cet accord organise la mobilité interne forcée permettant ainsi aux employeurs de vous muter sur un autre poste, de vous envoyer à l’autre bout de la France. Si vous refusez, vous serez licencié pour motif personnel  !

Quel accès à la justice demain  ?

L’accord sécurise les licenciement en privant les salariés ou en leur rendant plus difficile l’accès à la justice prud’homale pour obtenir réparation du préjudice subi.

Maintien dans l’emploi ou chantage  ?

Le texte met en place les accords «  compétitivité / emploi  » que Nicolas Sarkozy voulait imposer sans avoir pu les mettre en place. Modifier le temps de travail et baisser les salaires durant deux ans sans garantie de maintien des emplois serait désormais possible.

Que devient le Contrat à durée déterminée ?

Avec cet accord, le Medef veut imposer pour des salariés des petites entreprises de certaines branches le contrat à durée indéterminée «  intermittent  », c’est à dire un contrat totalement flexibilisé.

Sécuriser l’emploi ou sécuriser les licenciements  ?

Alors que seulement 3% des chômeurs inscrits à Pôle Emploi ont pu bénéficier d’un plan social, le Medef veut grâce à cet accord décider de la procédure de licenciement et du contenu du plan social par simple accord d’entreprise, voire, en l’absence d’accord, par un simple document de l’employeur homologué par la direction du travail.

Vous avez dit dialogue social et représentativité ?

Si ce texte devait être retranscrit en l’état dans une loi, comme le gouvernement en a l’intention, cela provoquerait de graves répercussions sur votre vie de salarié. De plus, ce gouvernement qui se dit attaché au dialogue social, doit prendre en compte le rejet de cet accord par les syndicats représentant bien plus de salariés que les syndicats signataires.

Flexibilité, précarité : l’état de l’opinion

Cet accord est aussi contraire à l’opinion largement partagée par les salariés, comme l’ont montré plusieurs enquêtes.
 

Hibou57

Comme-même (tm)
VIB
C’est le résultats qu’on a quand le libéralisme est un droit reconnu pour les patrons seulement mais jamais pour les autres gens (salariés, retraités, chômeurs, étudiants, etc).

Et ça ne va pas changer demain, le gouvernement Hollande traite seulement avec les petits seigneurs qui sont juste en dessous de lui, pas avec le peuple. C’est ça aussi l’étatisme.

doublon avec
http://www.bladi.info/342339-accord-nouveau-modele-economique-social/
dans emploi
mais c'est bien de faire un rappel
on va se faire....dans tous les sens du terme
Oui, il l’a posté d’une manière différente, qui met plus en avant des questions en particulier.
 

bilibutch

Je suis ce que je suis ..
VIB
ce qu'il faut voir , c'est que la CGT est le syndicat majoritaire en france ... il a gagné les éléctions des TPE , et il est majoritaire dans les PME ...

dans les entreprises , un syndicat minoritaire n'a pas le droit de signer d'accord ... il faut qu'il soit majoritaire dans l'entreprise pour que l'accord avec le patronal soit valable ...

apparement cette loi tombe a l'eau quand il s'agit de négociation nationale ...
bref , que ce passera t-il dans les entreprises qui doivent tomber d'accord sur ce texte , alors que le syndicat majoritaire ( la CGT ) n'a pas signer l'accord nationale ...

je vous le dit , moi je signerais pas cette accord dans mon entreprise ... et je vous le dit , aucun délégué de la CGT ou de FO ne le fera dans l'entreprise ou il travail ...

résultat , la mise en place de cet accord dans les entreprises ou la CGT ou FO sont majoritaire sera gelé ...

le contrat intermitent une façon déguisé de créer des CDI a faible revenus ...

en pratique , ça donnera ceci :

tu es embaucher ... mais en contrat intermitant ... tu travailmlera 6 mois , et tu chomera 6 mois ... ton salaire sera lissé sur 12 mois au SMIC ... ça veut dire que tu touchera toute l'année la moitié du SMIC ...

on a deja du mal a vivre avec un smic , alors la moitié imaginez ... biensur certains diront , oui mais tu seras payer 6 mois une moitiée de SMIC a rien faire ...

demandez donc au francais si il préfereraient pas travailler 40 h pour avoir un salaire decent ...

la reponse sera majoritairement oui .
 

bilibutch

Je suis ce que je suis ..
VIB
tiens une petite précision car je trouve que c'est important et que c'est surtout le moment ... je vous copie le texte tel quel .


Cotisations syndicales

Qui peut en bénéficier ?
Vous pouvez bénéficier de cette réduction d’impôt si vous faites parti d’un syndicat de salariés ou de fonctionnaires, du secteur privé ou public. La réduction d’impôt s’applique aux salariés, aux fonctionnaires mais également aux retraités, si ces derniers continuent d’adhérer à un syndicat.
Par contre, elle ne s’appliquera pas si vous avez déjà déduit les cotisations que vous versez, en cas d’option pour la déduction de vos frais réels.
Sachez que les organisations pour lesquelles vous cotisez doivent être des syndicats professionnels dotés de la personnalité civile, garantissant la défense des salariés, des fonctionnaires et représentatifs.

Quel est le montant de cette réduction d’impôt ?
Le montant de cette réduction d’impôt s’élève à 66% des cotisations versées sur l’année, dans la limite de 1% du montant des traitements, des salaires, des pensions et des rentes viagères à titre gratuit perçus sur l’année et diminués des cotisations sociales déductibles.
Lorsque vous faites votre déclaration, n’oubliez pas de joindre un reçu du syndicat indiquant la somme des cotisations versées et la date de ce paiement.

Nouveautés : L'article de la loi N° 2012-1510 du 29 Décembre 2012 de finances rectificative pour 2012 modifie les dispositions fiscales en matière de cotisations versées aux organisations syndicales.

Jusqu'à présent , les cotisations versées aux organisations syndicales donnaient droit à une réduction d'impots sur le revenu .

Dorénavant , elles ouvriront pour tous les adhérents un droit à un crédits d'impots sur le revenu égal à 66% des cotisations versées .

Concrètement , les adhérents << non imposables >> bénéficieront d'un crédit d'impot.

En gros , vous vous syndiquez pour 132 € par an ( 11 € par mois a la CGT pour un SMIC = 1% du salaire net )
et l'état vous rembourse près de 90 € .

c'est le moment ou jamais ... syndiquez vous et dites non a l'ablation de vos droits salariaux .
 

Hibou57

Comme-même (tm)
VIB
je vous le dit , moi je signerais pas cette accord dans mon entreprise ... et je vous le dit , aucun délégué de la CGT ou de FO ne le fera dans l'entreprise ou il travail
Tu es représentant syndical ?

tu es embaucher ... mais en contrat intermitant ... tu travailmlera 6 mois , et tu chomera 6 mois ... ton salaire sera lissé sur 12 mois au SMIC ... ça veut dire que tu touchera toute l'année la moitié du SMIC ...

on a deja du mal a vivre avec un smic , alors la moitié imaginez ... biensur certains diront , oui mais tu seras payer 6 mois une moitiée de SMIC a rien faire
Oui et non. Il faudrait détailler les besoins pour avoir ce genre de réaction. Si le besoin est dicté comme pour 98% des français, par la comparaison avec les autres, alors cette réaction n&#8217;a pas de valeur propre et n&#8217;est que subjective.

Le problème est ailleurs.

demandez donc au francais si il préfereraient pas travailler 40 h pour avoir un salaire decent
Idem, le problème est ailleurs.
 

bilibutch

Je suis ce que je suis ..
VIB
tiens encore un petit exemple pratique :

en droits salarial , quand une erreur est commise sur votre salaire , vous pouvez demander un rappel de cette erreur sur 5 ans .
avec cet accord , la règle du quinquennat sera reduite a trois ans .

en pratique ça donne ceci :

je suis en ce moment en litige pour des paniers de nuit payés en dessous de leur valeur .
sur 5 ans on doit au salarié de nuit de mon entreprise grosso-modo 3000 &#8364; par tete ...

si cette accord est mis en place , ils ne toucheront que 1800 &#8364; .
faites le comptes ... et ça concernera toutes les erreurs ( ou malversations ) de salaires .
 

bilibutch

Je suis ce que je suis ..
VIB
Tu es représentant syndical ?

oui . j'ai décider depuis peu de temps de ne plus me laisser entuber ... et quand on mets son nez dans le code du travail et dans les conventions collective on se rend compte a quel point on se fait voler dans plus d'une PME en france .

si je fais le compte de ce que mon employeur doit a chaque personne de l'entreprise , c'est plus de 12 000 €par tete ...

et ce ne sont pas des revendications , juste l'application pur et dur des textes . ce sont des réclamations .


Oui et non. Il faudrait détailler les besoins pour avoir ce genre de réaction. Si le besoin est dicté comme pour 98% des français, par la comparaison avec les autres, alors cette réaction n’a pas de valeur propre et n’est que subjective.

Le problème est ailleurs.


Idem, le problème est ailleurs.

le problème dans le monde du travail , n'a jamais été le temps de travail ..; mais l'argent ... faire croire que le francais est pret a paratager son temps de travail en touchant moin d'argent pour donner du travail a tous est une hérésie .
 

Hibou57

Comme-même (tm)
VIB
oui . j'ai décider depuis peu de temps de ne plus me laisser entuber ... et quand on mets son nez dans le code du travail et dans les conventions collective on se rend compte a quel point on se fait voler dans plus d'une PME en france .

si je fais le compte de ce que mon employeur doit a chaque personne de l'entreprise , c'est plus de 12 000 €par tete ...

et ce ne sont pas des revendications , juste l'application pur et dur des textes . ce sont des réclamations .
Ça je sais, ça fait partie de la délinquance légale. Même le SMIC c’est du vent théorique… ce n’est pas difficile de trouver des patrons qui paient en dessous du SMIC en coupant dans les pointages, et décomptant le temps que tu respire, etc.

le problème dans le monde du travail , n'a jamais été le temps de travail ..; mais l'argent ... faire croire que le francais est pret a paratager son temps de travail en touchant moin d'argent pour donner du travail a tous est une hérésie .
« Tout pour moi, rien pour les autres », c’est un problème connu aussi.
 

bilibutch

Je suis ce que je suis ..
VIB
« Tout pour moi, rien pour les autres », c’est un problème connu aussi.

c'est un problème connu qu'on retrouve encore dans cet accord , tout pour moi ( MEDEF et patrons ) rien pour les autres ( Salariés ) .

tu veux de la compétitivité ?
fais en sorte que ton employé a envie de travailler comme un chinois pour toi ... reconnait son travail et sa valeur en lui donnant un salaire décent .
 

Hibou57

Comme-même (tm)
VIB
c'est un problème connu qu'on retrouve encore dans cet accord , tout pour moi ( MEDEF et patrons ) rien pour les autres ( Salariés ) .
Tu simplifie comme tu en as envie. C&#8217;est « tout pour moi, rien pour les autres », chez les salariés aussi, qui se plaignent de subir ce que eux trouvent normal de faire subir aux autres.

La dissimulation de cette réalité ne la résoudra pas. On sait depuis internet, que le citoyen moyen ne vaut guère mieux (ou même pire) que les patrons qu&#8217;il critique (exigence de service et travail gratuit, dumping social, plus grand respect pour le matériel que pour les gens, etc).

Par contre la différence de privilèges légaux est effectivement à souligner, et c&#8217;est là qu&#8217;est le problème qui n&#8217;est pas partagé par les salarié : le libéralisme, seuls les patrons en bénéficie, et pas les salariés, et encore moins les chômeurs.

Pour rappel, un exemple ici : Gassin: huit interpellations pour... ramassage de pommes de pin
 

bilibutch

Je suis ce que je suis ..
VIB
Tu simplifie comme tu en as envie. C’est « tout pour moi, rien pour les autres », chez les salariés aussi, qui se plaignent de subir ce que eux trouvent normal de faire subir aux autres.

je ne suis pas d'accord , des gens se mobilisent pour faire reconnaître les droits des salariés dans leur entreprise .

c'est sur qu'il est plus difficile d’être généreux et de penser aux autres quand tu ne cesse de penser a ta fin de mois et a tes créances ...
 

Hibou57

Comme-même (tm)
VIB
c'est sur qu'il est plus difficile d&#8217;être généreux et de penser aux autres quand tu ne cesse de penser a ta fin de mois et a tes créances ...
Les restaurants ne sont pas remplis que de patrons. Les gens qui se moquent de ceux qui n&#8217;ont rien et en sont même fières parce que ça leur donne un sentiment de supériorité, ne sont pas que des patrons. Ou alors il y a des patrons plein les rues ?

Pas la peine de faire croire qu&#8217;ils sont tous en situation précaires, certains le sont, mais beaucoup profitent. C&#8217;est comme la question des retraites que l&#8217;on élude en mettant toujours en avant les petites retraites, pour masquer la réalité qui est que les retraités sont plus riches que la population active. Ce sont des alibis utilisés comme des « boucliers humains ».

D&#8217;ailleurs il faudrait expliquer une chose sinon : les patrons sont&#8209;ils une race à part ? C&#8217;est une espèce différente du citoyen moyen ? Les patrons sont justes des opportunistes, tout autant que l&#8217;est le citoyen moyen, et la seule différence entre les deux, ce sont les opportunités dont ils peuvent profiter; comme en témoigne l&#8217;exemple d&#8217;internet et l&#8217;exigence du tout gratuit qui en est une preuve flagrante; car ça n&#8217;est pas la faute des patrons, ni même des politiques qui en ont été totalement absents pendant longtemps.

Le problème ne se résoudra pas en ne tapant que sur les patrons : le français moyen n&#8217;est pas le dernier des opportunistes.
 
Le 11 janvier 2013, les négociations nationales dites de "sécurisation de l’emploi" se sont terminées par un accord d’une extrême gravité pour les droits des salariés.
La CGT et FO ont annoncé qu’elles ne le signeront pas. Par contre, la CFDT, la CGC et la CFTC ont décidé de le parapher. Un projet de loi doit être présenté au Conseil des ministres début mars, pour ensuite être voté au Parlement en mai.

Des avancées ?

Les partisans de cet accord veulent nous faire croire qu’il ouvre des droits nouveaux aux salariés. Mais en réalité ces "contreparties" sont virtuelles, conditionnelles et remises à plus tard et encore... pas pour tous&#8201; !

Une mobilité interne : volontaire ou forcée&#8201; ?

Loin de répondre à la feuille de route fixée par le gouvernement lors de la conférence sociale de juillet 2012, cet accord organise la mobilité interne forcée permettant ainsi aux employeurs de vous muter sur un autre poste, de vous envoyer à l’autre bout de la France. Si vous refusez, vous serez licencié pour motif personnel&#8201; !

Vivre pour son patron et rien que pour lui.

Quel accès à la justice demain&#8201; ?

L’accord sécurise les licenciement en privant les salariés ou en leur rendant plus difficile l’accès à la justice prud’homale pour obtenir réparation du préjudice subi.

T'as pas le droit de dénoncé des abus et injustice.

Maintien dans l’emploi ou chantage&#8201; ?

Le texte met en place les accords « &#8201;compétitivité / emploi&#8201; » que Nicolas Sarkozy voulait imposer sans avoir pu les mettre en place. Modifier le temps de travail et baisser les salaires durant deux ans sans garantie de maintien des emplois serait désormais possible.

Bosser plus pour gagner moins.

Que devient le Contrat à durée déterminée ?

Avec cet accord, le Medef veut imposer pour des salariés des petites entreprises de certaines branches le contrat à durée indéterminée « &#8201;intermittent&#8201; », c’est à dire un contrat totalement flexibilisé.

Un CDI en CDD...

Sécuriser l’emploi ou sécuriser les licenciements&#8201; ?

Alors que seulement 3% des chômeurs inscrits à Pôle Emploi ont pu bénéficier d’un plan social, le Medef veut grâce à cet accord décider de la procédure de licenciement et du contenu du plan social par simple accord d’entreprise, voire, en l’absence d’accord, par un simple document de l’employeur homologué par la direction du travail.

Un licenciement pour devenir SDF.

Vous avez dit dialogue social et représentativité ?

Si ce texte devait être retranscrit en l’état dans une loi, comme le gouvernement en a l’intention, cela provoquerait de graves répercussions sur votre vie de salarié. De plus, ce gouvernement qui se dit attaché au dialogue social, doit prendre en compte le rejet de cet accord par les syndicats représentant bien plus de salariés que les syndicats signataires.

Flexibilité, précarité : l’état de l’opinion

Cet accord est aussi contraire à l’opinion largement partagée par les salariés, comme l’ont montré plusieurs enquêtes.

On a manifesté contre les homos mais c'est pas eux qui chercher à nous *******...
 

Hibou57

Comme-même (tm)
VIB
Un exemple d&#8217;opportunisme, qui comme beaucoup d&#8217;opportunismes, se trahis par une incohérence de principe :

http://www.lemonde.fr/politique/art...-atteint-un-niveau-record_1817084_823448.html
MOINS DE CONTRAINTES ÉCONOMIQUES

Moins libéraux sur le plan culturel, les Français le sont en revanche davantage sur le plan économique. Là aussi, les évolutions sont fortes et rapides. A la question : "Pensez-vous que l'Etat doit faire confiance aux entreprises et leur donner plus de liberté ?", la part des Français répondant "oui" avait légèrement baissé entre 2009 et 2011 (de 43 % à 41 %). Depuis, la courbe s'est inversée : ils sont désormais 53% à partager cette opinion.

Quant à la question : "Pensez-vous que le capitalisme doit être réformé en profondeur ?", elle recueille 41 % de réponses positives, contre 49 % il y a un an. Enfin, les Français ne sont plus que 53 % à penser que, "pour rétablir la justice sociale, il faut prendre aux riches pour donner aux pauvres" : ils étaient 73 % il y a un an.
Cherchez l&#8217;erreur dans ce qui est souligné en gras en comparant cette affirmation avec une complainte typique des français, qui est d&#8217;ailleurs l&#8217;objet de ce sujet lui&#8209;même.

Résumé : la liberté pour moi, pas pour les autres. Et ça confirme aussi ce que je disais avant ici et ailleurs aussi : « le libéralisme pour moi, mais pas pour les autres ». Et quand chacun dit ça selon son propre bénéfice personnel, sans se soucier de la cohérence de l&#8217;ensemble, ça donne une situation comme maintenant. Et il n&#8217;y en a pas un pour noter que dans ces conditions de libéralisme à géométrie variable, les libertés que veulent se donner les uns, vont contre les leurs, et que celles qu&#8217;ils veulent se donner, vont contre celles des autres.

D&#8217;ailleurs, une telle vision du libéralisme étant en contradiction avec le libéralisme lui&#8209;même (lol), on ne peut pas appeler ça du libéralisme.
 
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