Claude Mangin, épouse française de Naâma Safri, l'un des instigateurs des événements de Gdeïm Izik condamné à trente ans de réclusion criminelle, a été expulsée ce jeudi de l'aéroport Mohammed V. L'intéressée s'est livrée en 2014 à des provocations inacceptables devant la prison de Salé.
Claude Mangin était arrivée hier mercredi soir à l'aéroport Mohammed V, à Casablanca, avant d'en être expulsée ce jeudi matin par les autorités marocaines. Cette activiste à la solde du Polisario voulait se rendre à la prison de Salé apparemment pour rendre visite à son époux Naâma Safri, qui purge une peine de trente ans de réclusion criminelle pour son rôle avéré dans les événements tragiques survenus à Gdeïm Izik, localité située à une dizaine de kilomètres de la ville de Laâyoune, où des séparatistes, téléguidés à partir d'Alger, avaient tenté en vain de créer un "Tindouf bis".
Or, cette septième visite de cette agitartrice notoire a été empêchée par les autorités. Et pour cause, Claude Mangin, après avoir été autorisée fin 2014 à rendre visite à son époux à la prison de Salé, s'était livrée à une provocation dangereuse devant la porte de cet établissement pénitentiaire.
Claude Mangin, retour sur une provocation inacceptable
Lundi 1er décembre 2014, une dizaine d’activistes français, dont cinq élus de la commune d'Ivry-sur-Seine, venus en comapgnie de Claude Mangin, font le pied de grue devant la prison Zaki, à Salé, suscitant la surprise, voire la stupéfaction de la population. Mais que viennent faire des élus français, une écharpe tricolore en bandoulière, devant un établissement pénitentiaire marocain ? Sûrement pas pour un acte jumelage entre Ivry-sur-Seine et la ville historique de Salé. En tête du peloton de «très respectables élus» d'Ivry-sur-Seine, l’épouse de Naama Safri, qui purge trente ans de prison au pénitencier Zaki pour le carnage de Gdim Izik (fin décembre 2010).
Entourée de neuf de ses compatriotes, élus et activistes pro-Polisario, elle a, sciemment, transformé cette présumée visite à son conjoint en véritable parade défiant l’ordre public en se pavanant le long du mur de la prison Zaki. Les valeureux députés ne s’arrêteront pas à ce stade de la provocation. En se croyant «immunisés» par leur écharpe bleu-blanc-rouge, ils voulaient poursuivre leur défilé en prenant des photos des murs de la prison Zaki. Mais là, ce n’était plus possible. Les «respectueux» élus, dont deux d’origine algérienne, ont été remis à leur place par les autorités marocaines.
Claude Mangin était arrivée hier mercredi soir à l'aéroport Mohammed V, à Casablanca, avant d'en être expulsée ce jeudi matin par les autorités marocaines. Cette activiste à la solde du Polisario voulait se rendre à la prison de Salé apparemment pour rendre visite à son époux Naâma Safri, qui purge une peine de trente ans de réclusion criminelle pour son rôle avéré dans les événements tragiques survenus à Gdeïm Izik, localité située à une dizaine de kilomètres de la ville de Laâyoune, où des séparatistes, téléguidés à partir d'Alger, avaient tenté en vain de créer un "Tindouf bis".
Or, cette septième visite de cette agitartrice notoire a été empêchée par les autorités. Et pour cause, Claude Mangin, après avoir été autorisée fin 2014 à rendre visite à son époux à la prison de Salé, s'était livrée à une provocation dangereuse devant la porte de cet établissement pénitentiaire.
Claude Mangin, retour sur une provocation inacceptable
Lundi 1er décembre 2014, une dizaine d’activistes français, dont cinq élus de la commune d'Ivry-sur-Seine, venus en comapgnie de Claude Mangin, font le pied de grue devant la prison Zaki, à Salé, suscitant la surprise, voire la stupéfaction de la population. Mais que viennent faire des élus français, une écharpe tricolore en bandoulière, devant un établissement pénitentiaire marocain ? Sûrement pas pour un acte jumelage entre Ivry-sur-Seine et la ville historique de Salé. En tête du peloton de «très respectables élus» d'Ivry-sur-Seine, l’épouse de Naama Safri, qui purge trente ans de prison au pénitencier Zaki pour le carnage de Gdim Izik (fin décembre 2010).
Entourée de neuf de ses compatriotes, élus et activistes pro-Polisario, elle a, sciemment, transformé cette présumée visite à son conjoint en véritable parade défiant l’ordre public en se pavanant le long du mur de la prison Zaki. Les valeureux députés ne s’arrêteront pas à ce stade de la provocation. En se croyant «immunisés» par leur écharpe bleu-blanc-rouge, ils voulaient poursuivre leur défilé en prenant des photos des murs de la prison Zaki. Mais là, ce n’était plus possible. Les «respectueux» élus, dont deux d’origine algérienne, ont été remis à leur place par les autorités marocaines.