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Affaire du Carlton : ce que révèlent les PV de la garde à vue de DSK
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[QUOTE="Memories, post: 10106878, member: 285089"] "SYLVIE, TOUJOURS COMPLIQUÉE, JADE, CATHERINE CERTAIN..." C'est à coups de milliers de textos que Fabrice Paszkowski et le patron du FMI établissaient imprudemment leur "planning", choisissaient les lieux des agapes, peaufinaient leur casting. DSK demande ainsi un chauffeur "qui voudrait se faire un peu de sous en descendant un couple de Lille" jusqu'à Nogent-sur-Marne, où se tient une soirée échangiste. "Est-ce que Sylvie ça t'intéresse ?", lui demande son ami, le 19 janvier 2010. "Bien sûr", répond DSK. "Qui auras-tu dans tes bagages ?", sonde de son côté l'ancien ministre socialiste. "Sylvie, toujours compliquée, Jade, Catherine certain... Pour la petite nouvelle elle a envie de te voir mais en France... Une soirée belge m'est aussi beaucoup demandée avec new couples", répond Paszkowski qui n'hésite pas à "tester" à Courchevel de nouvelles recrues pour son copain. Aux enquêteurs, DSK tait l'identité des participantes, "compte tenu de l'absence de secret de l'instruction dans cette procédure". Se souvient mal ou peu. "Monsieur Strauss-Kahn, avez-vous des problèmes de mémoire particuliers ?", s'agacent les enquêteurs. Des prostituées au cours de ces soirées ? "En y réfléchissant maintenant, je pense que j'ai été naïf", confesse-t-il. Pourquoi ne demandait-il jamais aux filles quelles étaient leur vie, leur profession ? "En ce qui me concerne, je n'interroge pas les gens sur leur vie privée", lâche, ironique, l'ex-président du FMI aux policiers qui, ce 21 février, passent son agenda secret au crible. DES SCÈNES "BESTIALES" OU VIOLENTES "Parmi toutes ces filles, il y a au moins trois escort-girls. Ça fait peut-être beaucoup pour du simple libertinage, ne trouvez-vous pas ?", insistent les enquêteurs à propos d'une soirée. Ces jeunes participantes accablent l'ex-ministre socialiste, en décrivant avec moult détails le sort qui leur est réservé lors des ébats : "C'était de l'abattage", dit Inès, une amie parisienne attirée deux fois à son insu, à l'Hermitage gantois de Lille. "De la pure consommation sexuelle", ajoute une escort-girl dénommée Marion, à propos du second déplacement organisé en décembre 2010 à Washington. De manière clinique, elles décrivent des scènes "bestiales" ou violentes. Le 5 décembre 2011, devant les policiers belges, Marion - qui n'a pas porté plainte - raconte qu'elle tente en vain de s'opposer à l'exercice que lui impose DSK. David Roquet, responsable d'une filiale d'Eiffage, lui attrape les poignets "avec chacune de ses deux mains pour [l]'empêcher de bouger". Aucun homme présent dans la pièce n'intervient. "L'escorting n'est pas de la prostitution à 30 euros, note Marion. C'est rare d'[y] trouver des gens qui manquent de respect comme l'ont fait DSK et [David] Roquet", patron d'une filiale du groupe de BTP Eiffage. "Il n'y a jamais eu de relation contrainte ou imposée", rétorque DSK qui voit dans ces déclarations "mensonge", "erreur" ou "pression". "DSK a insisté pour savoir combien Aurélie était payée car il voulait passer en direct et non par Fabrice", ajoute Marion. Ce qu'il dément. [/QUOTE]
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