Le ministre marocain de l’Intérieur, Mohamed Hassad, a contacté son homologue espagnol, Jorge Frenandez Diaz, pour lui demander des éclaircissements au sujet de l’activiste espagnole Carreras entrée illégalement au Maroc après s’être fait délivrer un faux passeport par les autorités ibériques.
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Nouveau développement dans l’affaire de l’activiste espagnole Laia Carreras Villa, à l’origine du happening auquel se sont livrées deux représentantes du mouvement Femen sur l’esplanade Hassan, à Rabat.
Le ministre de l’Intérieur, Mohamed Hassad, a pris contact avec son homologue espagnol, Jorge Fernandez Diaz, pour lui demander des éclaircissements au sujet de cette ressortissante espagnole, qui s’est fait délivrer un faux passeport par les autorités ibériques dans le but de tromper la vigilance des services chargés du contrôle aux points frontaliers du Maroc.
Cette ex-journaliste de la télé catalane «TV3», convertie à l’action «militante» en faveur des homosexuels au Maroc, a dû modifier son identité et son numéro de passeport, après son expulsion le 22 mai dernier par des éléments de la SPRG de Rabat à l’aéroport de Rabat-Salé d’où elle a quitté le royaume à destination de Giron, en Espagne.
Dans son nouveau document de voyage, son ancienne identité «CarrerAs Villa» est devenue «CarrerES ViLa- et le numéro de son passeport a été changé («AA717568» au lieu de « AA1719136), pour lui permettre d'entrer illégalement au Maroc !
Par la même occasion, les autorités de tutelle ont procédé à la convocation du conseiller politique accrédité auprès de l’ambassade de Madrid à Rabat pour lui demander des explications au sujet de cette affaire interlope, notamment les parties espagnoles qui appuient cette activiste pour mener des actes de provocation à l’encontre du Maroc, à travers le soutien d’une pratique répressible par la loi marocaine, en l’occurrence l’homosexualité.
Ziad Alami
le360.ma/fr/
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Nouveau développement dans l’affaire de l’activiste espagnole Laia Carreras Villa, à l’origine du happening auquel se sont livrées deux représentantes du mouvement Femen sur l’esplanade Hassan, à Rabat.
Le ministre de l’Intérieur, Mohamed Hassad, a pris contact avec son homologue espagnol, Jorge Fernandez Diaz, pour lui demander des éclaircissements au sujet de cette ressortissante espagnole, qui s’est fait délivrer un faux passeport par les autorités ibériques dans le but de tromper la vigilance des services chargés du contrôle aux points frontaliers du Maroc.
Cette ex-journaliste de la télé catalane «TV3», convertie à l’action «militante» en faveur des homosexuels au Maroc, a dû modifier son identité et son numéro de passeport, après son expulsion le 22 mai dernier par des éléments de la SPRG de Rabat à l’aéroport de Rabat-Salé d’où elle a quitté le royaume à destination de Giron, en Espagne.
Dans son nouveau document de voyage, son ancienne identité «CarrerAs Villa» est devenue «CarrerES ViLa- et le numéro de son passeport a été changé («AA717568» au lieu de « AA1719136), pour lui permettre d'entrer illégalement au Maroc !
Par la même occasion, les autorités de tutelle ont procédé à la convocation du conseiller politique accrédité auprès de l’ambassade de Madrid à Rabat pour lui demander des explications au sujet de cette affaire interlope, notamment les parties espagnoles qui appuient cette activiste pour mener des actes de provocation à l’encontre du Maroc, à travers le soutien d’une pratique répressible par la loi marocaine, en l’occurrence l’homosexualité.
Ziad Alami
le360.ma/fr/
