Alain finkielkraut chassé de nuit debout

Le philosophe a dû quitter samedi soir la place de la République sous les huées et insultes. Cette éviction est depuis largement commentée sur les réseaux sociaux.
Alain Finkielkraut n'est pas le bienvenu à Nuit debout. Le philosophe s'est rendu samedi soir place de la République à Paris pour écouter et observer les échanges tenus entre les participants de ce mouvement né fin mars. Sa présence a entraîné des réactions hostiles et selon des vidéos mises en ligne samedi soir, il a été prestement prié de quitter les lieux après avoir été pris à partie.
Sur une de ces vidéos, on entend des «barre-toi», «facho va», «bouge» auxquels l'Académicien répond par des «fascistes». Puis on le voit s'éloigner accompagné de sa femme, suivi par plusieurs personnes qui continuent de le huer. Dans la foule, un participant l'invite pourtant à rester: «Tu as le droit d'être là, il y a tout le monde ici». Escorté par deux hommes du service d'ordre du mouvement, le couple finit par quitter la place avant de se faire à nouveau insulter par une jeune femme. Alain Finkielkraut se retourne et lui lâche: «Gnagnagna, pauvre *****... C'est des coups de latte qu'il me faut? Des coups de latte qu'il me faut?»
«N'en rajoutez pas non plus», lui demande un des deux hommes qui l'escortent. Visiblement excédé, le philisophe rétorque alors: «Non mais ça va, je me fais insulter, je peux répondre aussi».

ps: auto proclame "philosophe" comme le berbere converti à la secte bhl "
toutes leurs places c'est avec le piston et la magouille .
 

UNIVERSAL

---lcdcjve---
VIB
Le philosophe a dû quitter samedi soir la place de la République sous les huées et insultes. Cette éviction est depuis largement commentée sur les réseaux sociaux.
Alain Finkielkraut n'est pas le bienvenu à Nuit debout. Le philosophe s'est rendu samedi soir place de la République à Paris pour écouter et observer les échanges tenus entre les participants de ce mouvement né fin mars. Sa présence a entraîné des réactions hostiles et selon des vidéos mises en ligne samedi soir, il a été prestement prié de quitter les lieux après avoir été pris à partie.
Sur une de ces vidéos, on entend des «barre-toi», «facho va», «bouge» auxquels l'Académicien répond par des «fascistes». Puis on le voit s'éloigner accompagné de sa femme, suivi par plusieurs personnes qui continuent de le huer. Dans la foule, un participant l'invite pourtant à rester: «Tu as le droit d'être là, il y a tout le monde ici». Escorté par deux hommes du service d'ordre du mouvement, le couple finit par quitter la place avant de se faire à nouveau insulter par une jeune femme. Alain Finkielkraut se retourne et lui lâche: «Gnagnagna, pauvre *****... C'est des coups de latte qu'il me faut? Des coups de latte qu'il me faut?»
«N'en rajoutez pas non plus», lui demande un des deux hommes qui l'escortent. Visiblement excédé, le philisophe rétorque alors: «Non mais ça va, je me fais insulter, je peux répondre aussi».

ps: auto proclame "philosophe" comme le berbere converti à la secte bhl "
toutes leurs places c'est avec le piston et la magouille .
Salam remake,
Veulent remplacer un gouvernement 'fasciste' par un autre gouvernement 'fasciste' ! la bonne affaire.
Qu'ils le veuillent ou non, c'est un philosophe qui plus est académicien. Et être philosophe n’immunise pas contre la connerie.
 
Cet homme inspire la haine et le rejet, il n'inspire ni à la réflexion, ni à l'intelligence, ni aux grandes idées, seulement à la haine et au rejet, il devrait se poser des questions.
 
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