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[QUOTE="jdal, post: 13801368, member: 37047"] Avec le PSI de 2012, les créanciers ont du accepter une réduction de 53% de la valeur de leurs titres. Les banques avaient revendu les leurs à la BCE ou à des fonds vautours avant. La BCE n'a pas participé au PSI (les fonds vautours non plus) et aujourd'hui, c'est la BCE qui détient le plus de titres grecs. Effacement tout relatif. Quant aux malheureux créanciers, le président de l'Institut bancaire mondial, Charles Dallara, s'est félicité du PSI, et la BCE leur a offert un gâterie de 30 milliards. Quant l'explosion de la dette, avant 2010, elle a été causé, d'une part par des dépenses militaires (achats de F16 sans moteurs, de sous-marins incapables de plonger) avec corruption des décideurs grecs, d'autre part par l'effet "boule de neige" (taux d'intérêt supérieurs au taux de croissance du PIB, ce qui oblige l'emprunter à emprunter pour payer les intérêts). Mais ce qui remarquable, c'est qu'en 2010, la dette privée grecque avait quadruplé par rapport à 2001. La crise de la dette privée était autant, sinon plus grave que celle de la dette publique. La crise réelle était une crise bancaire. Après 2010, la dette explose avec les programmes d'assistance, comme le FMI l'avait prévu en 2010 (document révélé par la Commision sur la Vérité de la Dette), programmes dont le but n'est pas de "sauver" la Grèce, mais ses créanciers. Sur le second programme de 120 milliards, à peine 10 milliards sont venus améliorer les finances publiques et 24 milliards ont recapitalisé les banques grecques. Sur le premier programmes de 110 milliards, 48 milliards sont allés à la recapitalisation des banques. Seulement, comme après la crise de subprimes, un nouveau sauvetage des banques n'aurait pas passé, le gouvernement corrompu de Papandréou a bidouillé le déficit (de 6% avant son élection à 15% quelques semaines après) et le montant de la dette publique (en y intégrant dans le périmètre de l'Etat central des entreprises publiques en contravention aux règles statistiques d'Eurostat) pour transformer une crise bancaire en crise publique. [/QUOTE]
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