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Algérie : diplômées mais méprisées, vite « périmées »... les femmes fuient
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[QUOTE="Makelloos, post: 12740660, member: 4074"] Nesrine : « J’étouffais sur tous les plans » Nesrine est aujourd’hui une femme comblée qui vit avec son mari et sa fille à Paris. La vie d’« immigrée », elle ne l’envisageait pas quand elle a entamé ses premiers semestres universitaires dans une grande ville de l’est algérien. A l’époque, le mot « émigration » la faisait sourire parce qu’il évoquait les périodes de vacances lorsque les cousins d’outre-mer venaient passer des jours au bled. Pourtant, à la fin de ses études, elle se retrouve malgré elle embarquée pour l’Hexagone. « J’étouffais sur tous les plans : peu de perspectives professionnelles et carcan familial pas le pire qui soit, mais une femme de 25 ans n’est pas libre, surtout dans une petite ville. » Octobre 1994. Avec une licence de français en poche, elle prend un aller-simple direction Paris où elle s’inscrit à l’université pour un DEA en sciences du langage et une thèse qu’elle ne soutiendra jamais. Elle enchaîne les petits boulots avant qu’un employeur ne lui propose un poste à temps plein qu’elle accepte sans hésiter. Elle travaille aujourd’hui dans le domaine de la formation d’adultes, s’est mariée en 2003 avec un Français (d’origine algérienne, né ici ) et elle vient d’adopter une petite fille en Algérie. [/QUOTE]
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