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Algérie : diplômées mais méprisées, vite « périmées »... les femmes fuient
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[QUOTE="Makelloos, post: 12740664, member: 4074"] Assia : « Je ne supporterai pas l’exil » Mars 2014, rue Didouche-Mourad à quelques mètres de la place Maurice-Audin. Sous le soleil hivernal qui illumine les rues de la capitale algérienne, Assia, la trentaine, allure désinvolte, jeans et hauts talons, fait sa promenade de l’après-midi le long de cette avenue de la ville où les boutiques de luxe poussent comme des champignons. Elle a la chance de travailler comme représentante d’une boîte européenne spécialisée dans le bâtiment, un secteur qui fait recette en ce moment là-bas. Elle vit entre l’Algérie et la France. Une dizaine d’années ont passé depuis qu’elle a quitté les bancs de la faculté d’Alger, où elle a vécu de bons moments, peut-être les meilleurs de sa vie. Ces années de travail l’ont beaucoup endurcie et fait mûrir. Elle a appris à prendre de la place, à s’affirmer dans un monde qui n’est pas toujours facile pour une femme, qui vient, de surcroît d’une petite province de Kabylie. Emigrer n’est pas à l’ordre du jour pour elle. Mais elle connaît bien les raisons de ce phéromone qui a happé une grande partie de ses amies du lycée et de l’université : « La liste est longue : le manque de liberté ; c’est tout le monde qui souffre de ça, il n’y a pas que les femmes. L’égalité ; nous touchons la moitié de l’héritage par rapport aux frères, le témoignage de deux femmes vaut celui d’un seul homme, la femme perd la garde de ses enfants si elle se remarie contrairement à l’homme, etc. » Mais elle ne s’y résout pas : « L’exil est très dur. Je ne supporterai pas de vivre coupée de mon passé, loin de mes proches. Même si je continue à porter un regard très pessimiste sur l’Algérie, le combat continue, il ne faut pas baisser les bras. » [/QUOTE]
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