Pour comprendre ce qu’est l’Armée Populaire Algérienne , le Général YALA candidat à la Présidence la compare à un ordinateur dont la partie hard , composé de militaires soucieux de faire de leur mieux pour l’intérêt national , est piloté par un DRS qui en est « l’intelligence » ou l’OS – organisateur système- elle-même porteuse de programmes connus des seuls membres de sécurité et de leur chef le général MEDIENE.
Ce dernier jusqu’alors toléré par les Français est devenu leur est devenu suspect après l’échec de l’opération mauritano-française qui devait libérer un otage détenu par l’AQMI au Mali. L’attaque du complexe pétrolier de Tiguentourine aggrava les craintes des Français rejoints par les autres pays occidentaux. Le patron des services devait être écarté .
Le Président algérien déplacé en France accompagné de son frère, pour un contrôle de santé non prévu et très bref, sitôt de retour chez eux, comme s’ils venaient d’assister à un conseil de guerre à Paris déclenchèrent la guerre contre le chef de DRS en chargeant le Secrétaire Général de l’accuser publiquement d’être l’artisan de la décennie noire et des récents crimes perpétrés contre des occidentaux, assassinat des prêtres français de Tibhérine, attaque d’une mission d’une association internationale et celle de la base pétrolière qui s’est soldé par le massacre de tous les otages.
En réaction à ses graves accusations, unanimement l’ensemble des dirigeants de la classe politique manifesta son soutien à l’accusé, que certains présentèrent comme un des responsables les plus honnêtes du pays qui lutte sans répit contre les ennemis de son pays. L’homme ancien maquisard resté fidèle aux valeurs de la glorieuse révolution algérienne, aurait été obligé de s’adapter à l’évolution du monde issu de la disparition de l’URSS et forcé de collaborer avec les officiers anciens déserteurs de l’armée française qui après avoir démissionné le Président CHADLI étaient devenus les patrons forces armées et de sécurité du pays , tout en veillant à préserver les intérêts de l’Algérie socialiste. Notre homme formé à l’école du KGB serait non le Staline algérien dénoncé pour ses crimes – attribué pour la bonne cause aux islamistes, mais un POUTINE. A la tête d’une ANP toujours armée par la Russie et appelée à l’être encore plus ,dans un monde qui de nouveau se bipolarise , il rêve de redonner à l’Algérie un rôle de puissance régionale .Le francophile BOUTEFLIKA écarté ou disparu, sous l’unique direction du général , l’Algérie risquerait de redevenir le principal allié africain des ex pays communistes , RUSSE et CHINE. Base stratégique en Afrique elle serait ce qu’est la Syrie au Proche Orient.
Ce dernier jusqu’alors toléré par les Français est devenu leur est devenu suspect après l’échec de l’opération mauritano-française qui devait libérer un otage détenu par l’AQMI au Mali. L’attaque du complexe pétrolier de Tiguentourine aggrava les craintes des Français rejoints par les autres pays occidentaux. Le patron des services devait être écarté .
Le Président algérien déplacé en France accompagné de son frère, pour un contrôle de santé non prévu et très bref, sitôt de retour chez eux, comme s’ils venaient d’assister à un conseil de guerre à Paris déclenchèrent la guerre contre le chef de DRS en chargeant le Secrétaire Général de l’accuser publiquement d’être l’artisan de la décennie noire et des récents crimes perpétrés contre des occidentaux, assassinat des prêtres français de Tibhérine, attaque d’une mission d’une association internationale et celle de la base pétrolière qui s’est soldé par le massacre de tous les otages.
En réaction à ses graves accusations, unanimement l’ensemble des dirigeants de la classe politique manifesta son soutien à l’accusé, que certains présentèrent comme un des responsables les plus honnêtes du pays qui lutte sans répit contre les ennemis de son pays. L’homme ancien maquisard resté fidèle aux valeurs de la glorieuse révolution algérienne, aurait été obligé de s’adapter à l’évolution du monde issu de la disparition de l’URSS et forcé de collaborer avec les officiers anciens déserteurs de l’armée française qui après avoir démissionné le Président CHADLI étaient devenus les patrons forces armées et de sécurité du pays , tout en veillant à préserver les intérêts de l’Algérie socialiste. Notre homme formé à l’école du KGB serait non le Staline algérien dénoncé pour ses crimes – attribué pour la bonne cause aux islamistes, mais un POUTINE. A la tête d’une ANP toujours armée par la Russie et appelée à l’être encore plus ,dans un monde qui de nouveau se bipolarise , il rêve de redonner à l’Algérie un rôle de puissance régionale .Le francophile BOUTEFLIKA écarté ou disparu, sous l’unique direction du général , l’Algérie risquerait de redevenir le principal allié africain des ex pays communistes , RUSSE et CHINE. Base stratégique en Afrique elle serait ce qu’est la Syrie au Proche Orient.
