Benyettou
Bladinaute averti
Le président algérien Abdelaziz Bouteflika a mis fin aux fonctions du puissant chef des services de renseignements militaires algériens, le général Mohamed Mediène, dit Toufik, a annoncé dimanche un communiqué de la présidence confirmant une information obtenue par l'AFP de source sécuritaire. M. Bouteflika a nommé à sa place son conseiller à la sécurité, le général Athmane Tartag, dit Bachir, qui fut longtemps le numéro deux du DRS (Département du renseignement et de la sécurité), selon le communiqué de la présidence.
M. Bouteflika « a mis fin ce jour aux fonctions de chef du Département du renseignement et de la sécurité, exercées par le général de corps d'armée Mohamed Mediène, admis à la retraite », précise le communiqué de la présidence. Le général Toufik, 76 ans, dirigeait le DRS depuis 25 ans. C'est le dernier chef militaire en activité parmi le collège des généraux qui ont barré en 1992 la route du pouvoir aux islamistes du Front islamique du salut (FIS), après leur victoire aux premières législatives pluralistes de l'histoire du pays. Après l'annulation de leur victoire, les islamistes ont lancé une insurrection armée qui a fait 200 000 morts dans les années 90. Lors de cette période, le DRS a étendu ses pouvoirs et son chef, jamais apparu en public, était devenu l'homme le plus puissant du pays.
Dimanche, pour la première fois, sa photo s'est affichée à la une d'un journal.Ennahar le montre habillé en costume et cravate, les yeux dissimulés derrière des lunettes de soleil.
De nombreux changements
Depuis fin 2013, M. Bouteflika avait commencé à le dépouiller de plusieurs de ces pouvoirs. Avec le départ du général Toufik, soupçonné d'un soutien tiède à un quatrième mandat de M. Bouteflika l'année dernière, le chef de l'État a assis complètement sa domination sur l'armée considérée comme la détentrice réelle du pouvoir dans le pays. Depuis fin juillet, le président Bouteflika a effectué de nombreux changements à la tête de l'armée et des services de sécurité.
http://www.lepoint.fr/monde/algerie...ik-quitte-son-poste-13-09-2015-1964410_24.php
Bye bye Toufik les services secrets algériens avaient tenter de déstabiliser à plusieurs reprises l'armée algérienne avec la prise d'otage d'In Amenas ou les tentatives d'attentat de groupe terroriste mais l'armée algérienne prouve une nouvelle fois qu'elle est le pilier de l'Algérie et qu'elle peut mettre en retraite le numéro 1 des services secrets algériens
M. Bouteflika « a mis fin ce jour aux fonctions de chef du Département du renseignement et de la sécurité, exercées par le général de corps d'armée Mohamed Mediène, admis à la retraite », précise le communiqué de la présidence. Le général Toufik, 76 ans, dirigeait le DRS depuis 25 ans. C'est le dernier chef militaire en activité parmi le collège des généraux qui ont barré en 1992 la route du pouvoir aux islamistes du Front islamique du salut (FIS), après leur victoire aux premières législatives pluralistes de l'histoire du pays. Après l'annulation de leur victoire, les islamistes ont lancé une insurrection armée qui a fait 200 000 morts dans les années 90. Lors de cette période, le DRS a étendu ses pouvoirs et son chef, jamais apparu en public, était devenu l'homme le plus puissant du pays.
Dimanche, pour la première fois, sa photo s'est affichée à la une d'un journal.Ennahar le montre habillé en costume et cravate, les yeux dissimulés derrière des lunettes de soleil.
De nombreux changements
Depuis fin 2013, M. Bouteflika avait commencé à le dépouiller de plusieurs de ces pouvoirs. Avec le départ du général Toufik, soupçonné d'un soutien tiède à un quatrième mandat de M. Bouteflika l'année dernière, le chef de l'État a assis complètement sa domination sur l'armée considérée comme la détentrice réelle du pouvoir dans le pays. Depuis fin juillet, le président Bouteflika a effectué de nombreux changements à la tête de l'armée et des services de sécurité.
http://www.lepoint.fr/monde/algerie...ik-quitte-son-poste-13-09-2015-1964410_24.php
Bye bye Toufik les services secrets algériens avaient tenter de déstabiliser à plusieurs reprises l'armée algérienne avec la prise d'otage d'In Amenas ou les tentatives d'attentat de groupe terroriste mais l'armée algérienne prouve une nouvelle fois qu'elle est le pilier de l'Algérie et qu'elle peut mettre en retraite le numéro 1 des services secrets algériens