Alors qu’un quatrième cas
du virus a été déclaré à
Bamako, la capitale du
Mali, notre Equipe nationale quittera
Alger cet après midi à 15 heures
à destination de cette ville où
elle affrontera mercredi prochain
les Aigles Maliens pour le compte
de la dernière journée du groupe
H. Un sixième match que les Verts
voudraient à tout prix remporter
pour établir un record jamais réalisé
jusque-là par notre Equipe nationale
et qui ferait sûrement grimper
encore un peu plus l’Algérie
dans le prochain classement FIFA.
Néanmoins, ce déplacement, qui
suscite, dans un autre registre, les
plus grandes inquiétudes pour les
Verts, aurait dû, peut-être, interpeller
la CAF pour qu’une mesure
d’urgence soit prise, sachant que
le spectre d’Ebola plane sur ce
déplacement. Mais comme on sait
que ce fait tombe au mauvais moment,
c’est-à-dire juste après la
volte-face marocaine, la Confédération
de Issa Hayatou serait mal
à l’aise de prendre deux mesures
contradictoires dans le même
temps.
Cela expliquerait, sans doute, ce
mutisme de la CAF, et ce, malgré
les vives inquiétudes que vient
d’exprimer également l’OMS (Organisation
mondiale de la santé)
qui appelle à la plus grande mobilisation
et à la prudence pour prévenir
des risques de cette épidémie
du virus qui fait des ravages
puisque plus de 5.000 décès ont
été recensés à ce jour. Et sans être
alarmiste à l’extrême, on peut également
se poser une question:
pourquoi le départ de l’Equipe
nationale pour Bamako n’a pas été
retardé de 24 heures afin d’écourter
au strict minimum le séjour des
Verts au Mali et diminuer ainsi les
risques pour les joueurs et l’ensemble
de la délégation ? D’autant
plus que notre Equipe nationale
dispose d’un avion spécial qui
transportera les camarades de
Madjid Bougherra jusqu’au Mali
en aller et retour dans des conditions
de confort optimales. Espérons,
toutefois, que toutes les
conditions de prévention ont été
prises sur place à Bamako par les
responsables de la FAF par rapport
à cette évolution de la situation
concernant le virus Ebola qui
a mis en branle l’ensemble du continent
africain allant jusqu’à perturber
le déroulement des compétitions
sportives qui n’ont jusquelà
jamais subi un tel phénomène.
Source journal l’Echo d’Oran du 17 NOV 2014
du virus a été déclaré à
Bamako, la capitale du
Mali, notre Equipe nationale quittera
Alger cet après midi à 15 heures
à destination de cette ville où
elle affrontera mercredi prochain
les Aigles Maliens pour le compte
de la dernière journée du groupe
H. Un sixième match que les Verts
voudraient à tout prix remporter
pour établir un record jamais réalisé
jusque-là par notre Equipe nationale
et qui ferait sûrement grimper
encore un peu plus l’Algérie
dans le prochain classement FIFA.
Néanmoins, ce déplacement, qui
suscite, dans un autre registre, les
plus grandes inquiétudes pour les
Verts, aurait dû, peut-être, interpeller
la CAF pour qu’une mesure
d’urgence soit prise, sachant que
le spectre d’Ebola plane sur ce
déplacement. Mais comme on sait
que ce fait tombe au mauvais moment,
c’est-à-dire juste après la
volte-face marocaine, la Confédération
de Issa Hayatou serait mal
à l’aise de prendre deux mesures
contradictoires dans le même
temps.
Cela expliquerait, sans doute, ce
mutisme de la CAF, et ce, malgré
les vives inquiétudes que vient
d’exprimer également l’OMS (Organisation
mondiale de la santé)
qui appelle à la plus grande mobilisation
et à la prudence pour prévenir
des risques de cette épidémie
du virus qui fait des ravages
puisque plus de 5.000 décès ont
été recensés à ce jour. Et sans être
alarmiste à l’extrême, on peut également
se poser une question:
pourquoi le départ de l’Equipe
nationale pour Bamako n’a pas été
retardé de 24 heures afin d’écourter
au strict minimum le séjour des
Verts au Mali et diminuer ainsi les
risques pour les joueurs et l’ensemble
de la délégation ? D’autant
plus que notre Equipe nationale
dispose d’un avion spécial qui
transportera les camarades de
Madjid Bougherra jusqu’au Mali
en aller et retour dans des conditions
de confort optimales. Espérons,
toutefois, que toutes les
conditions de prévention ont été
prises sur place à Bamako par les
responsables de la FAF par rapport
à cette évolution de la situation
concernant le virus Ebola qui
a mis en branle l’ensemble du continent
africain allant jusqu’à perturber
le déroulement des compétitions
sportives qui n’ont jusquelà
jamais subi un tel phénomène.
Source journal l’Echo d’Oran du 17 NOV 2014