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Algérie : une militante féministe tabassée le 8 mars
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[QUOTE="krouk, post: 13610240, member: 374977"] Suite et Fin de l'article : ...................................... C’est l’état d’esprit d’un régime finissant qui tente, par des soubresauts, de se remettre à flot en usant de méthodes et de moyens des moins recommandables. L’attitude du président Bouteflika, qui glose à chaque discours écrit sur les vertus de la démocratie et la nécessité de construire un «front intérieur», paraît au mieux déplacée, au pire cynique. Dans un pays qui se prétend libre et démocratique, un journaliste talentueux vient de se voir retirer son accréditation par le ministère de tutelle. Les écrits décapants de notre confrère et ami Boualem Ghomrassa, alias Hamid Yas, ne trouvent pas grâce aux yeux du ministre, dont le seul ordre de mission est de gérer la rente publicitaire et, si possible, punir les journaux qui ne le caressent pas dans le sens du poil. Le régime et ses relais administratifs et sécuritaires ont manifestement une feuille de route à suivre dans ce qui semble une entreprise de soumission de la société. Front intérieur ? Vraiment ? Pris de panique par la perspective biologique de passer la main, tôt au tard, il recourt au bâton contre ceux qui veulent hâter, même pacifiquement, son départ. L’interdiction systématique des marches de la CLTD, voire de ses réunions thématiques dans des salles fermées, est un indice qui ne trompe pas sur la peur panique qui s’est emparé du sérail. Et en appoint, le pouvoir ressort sa rhétorique incolore et inodore sur la «stabilité du pays» et les «menaces étrangères» pour faire passer la pilule de la prétendue manipulation. Bensalah, Saadani, Ghoul et Sidi Saïd sont invités à réciter à pleins décibels ce disque rayé qui ne trompe plus personne de Tlemcen à Tébessa et de Tizi Ouzou à Tamanrasset. Ce quarteron et d’autres serviteurs du régime clientélisés et payés pour faire ce sale boulot se trompent de société. Les Algériens acceptent de moins en moins que leurs libertés soient placées sous état de siège au nom d’une conception autoritaire de l’Etat. Les manifestants d’In Salah, les animateurs de la CLTD, les chômeurs de Laghouat, les journalistes Abdelhai Abdessamia et Hamid Ghomrassa, Karim Tabbou de l’UDS veulent juste que la force revienne au droit et s’opposent au droit de la force. L’Algérie de Bouteflika, qui accueille aujourd’hui un conclave des ministres arabes de l’Intérieur, sera certainement fière de partager son «expérience» en matière de répression des libertés. Ces hôtes arabes, eux, ne se sentiront pas dépaysés…Hassan Moali [/QUOTE]
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