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Ali Bongo aux commandes du Gabon
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[QUOTE="Saheli, post: 6130489, member: 98076"] Ça chauffe au Gabon: "Il faut tuer les Français" Le Post Il était ministre de la Défense du Gabon quand son père Omar Bongo était alors président. Décédé le 8 juin dernier à l'âge de 73 ans, Omar Bongo régnait sur ce petit pays d'Afrique central depuis 41 ans. En politique, "les histoires de fils, ça ne marche pas..." avait déclaré Omar Bongo à l'automne 2008, rapporte L'Express. Et pourtant... Ce jeudi, c'est pourtant bel et bien son fils qui vient de remporter l'élection présidentielle anticipée du 31 août, avec 41,73% des voix. "Je serai toujours le président de toutes les Gabonaises et de tous les Gabonais" a déclaré Ali Bongo, indique 20minutes. Ce jeudi matin, peu après la proclamation des résultats, le consulat général de France à Port-Gentil a été incendié par des partisans de l'opposition. L'histoire de quelques minutes, on a cru aussi qu'une concession Total avait été pillée, mais la firme française vient de démentir d'après 20minutes. Des Gabonais reprocheraient à la France de leur avoir "imposé" le fils du président Omar Bongo, selon Le Monde. "On en a marre de ces Français, il faut les chasser, les tuer !" auraient déclaré des Gabonais, selon Ouest France. Du coup, Bernard Kouchner a voulu se montrer rassurant, affirmant qu'un "dispositif" était "prêt pour protéger les Français au Gabon". Sur son compte Twitter, le candidat Ben Moubamba explique que les Français ont été regroupés à la base militaire de Port-Gentil. Du coup, la France s'en mêle et appelle au calme... au Gabon. "Il faut absolument que les candidats qui n'auront pas gagné respectent les résultats du scrutin", a déclaré Alain Joyandet, secrétaire d'Etat à la coopération, selon Le Monde. Ça chauffe aussi à Libreville, la capitale du Gabon. Des voitures auraient été brûlées, des sculptures cassées, des poubelles renversées.. La Gabon est au bord de l'implosion. "On entend larmée qui tire, on nose pas sortir. Nous navons plus l'électricité" explique une Gabonaise, qui soutient le chef de l'opposition Pierre Mamboundou à 20minutes. Arrivé en troisième place aux élections, Pierre Mamboundou aurait été grièvement blessé à la tête et à l'épaule lors d'une dispersion ce jeudi. "Je suis allé voir les lieux stratégiques de la ville, où pourraient commencer les débordements. Ils sont quadrillés par la police anti-émeutes. Les choses vont certainement monter en puissance" a déclaré un journaliste franco-gabonais sur place à 20minutes. 16h30, le candidat Ben Moubamba annonce sur son twitter: "Premier mort à Okembo. La garde républicaine vient de tirer à balles réelles sur la foule. Il y aurait un mort" [/QUOTE]
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