Une américaine provoque la polémique en filmant son ivg

Sa démarche poursuivait un objectif précis : montrer que l'avortement est une procédure sans danger. Pour faire passer son message, Emily Letts, une Américaine de 25 ans qui travaille comme conseillère dans un centre de planning familial, a pris la décision de filmer son propre avortement. « Je veux partager mon histoire pour montrer aux femmes qu’il existe aussi des histoires positives autour de l’avortement », a-t-elle expliqué dans la vidéo diffusée sur Youtube.

Le clip filme son visage au cours de l'intervention, on voit la jeune femme respirer calmement, fermer les yeux. « Je me sens bien », confie-t-elle une fois la procédure terminée. « On m'avait dit qu'avorter était effrayant, c'est totalement faux », a-t-elle expliqué au « Guardian ».

« J'ai vu de nombreuses larmes »

Très vite, la vidéo s'est propagée sur le web, suscitant de violentes critiques de la part des militants anti-avortement, certains l'accusant d'être une meurtrière. A l'inverse, d'autres personnes lui ont écrit pour la remercier, ou pour raconter à leur tour leurs expériences. « Je n'ai pas partagé mon histoire pour toutes les personnes qui laissent des commentaires ou pour susciter des remarques négatives. Je l'ai fait pour les femmes qui pensent qu'elles ne peuvent pas s’exprimer, comme si elles étaient restées dans l'ombre trop longtemps », s'est justifiée Emily dans le « Guardian ».

Dans un billet publié sur le site de « Cosmopolitan », elle a ajouté : « Je sais que certaines femmes ont énormément de remord. J'ai vu de nombreuses larmes. La souffrance fait partie du processus, mais en faisant cette vidéo je voulais pointer du doigt la culpabilité que ressentent les femmes ». « Je suis heureuse d'avoir pu partager mon histoire et d'avoir inspiré d'autres femmes à mettre fin à cette culpabilité », conclut la jeune femme.


http://www.elle.fr/Societe/News/Une-Americaine-provoque-la-polemique-en-filmant-son-IVG-2703789
 

Hibou57

Comme-même (tm)
VIB
Je préfère pas regarder la vidéo, mais elle est folle rien qu’à lire ce que je lis.

Elle veut faire passer l’avortement comme un acte banale, qu’il n’est pas, c’est ça ? Ce n’est pas pour rien si l’étique actuelle voit d’un mauvais œil les expériences sur les fœtus (et même les embryons humains), c’est parce qu’il ne sont pas des objets.

La possibilité de l’avortement, a été mise en place pour éviter des drames (enfant délaissé car non‑désiré, avortement « à la tringle à rideau »), sûrement pas pour en faire une chose banale.

Elle semble tout centrer sur elle‑même (elle dit que c’est sans risque et blabla), et oubli la question du fœtus, qui est au moins autant le centre de la question.
 
Je préfère pas regarder la vidéo, mais elle est folle rien qu’à lire ce que lis.

Elle veut faire passer l’avortement comme un acte banale, qu’il n’est pas. Ce n’est pas pour rien si l’étique actuelle voit d’un mauvais œil les expériences sur les fœtus, c’est parce qu’il ne sont pas des objets.

La possibilité de l’avortement, a été mise en place pour éviter des drames, sûrement pas pour en faire une chose banale.

Elle semble tout centrer sur elle‑même (elle dit que c’est sans risque et blabla), et oubli la question du fœtus, qui est au moins autant le centre de la question.

Je me suis déjà fait avorter et je confirme que c'est assez banal comme intervention lorsque pratiqué dans de bonnes conditions. C'est nettement moins traumatisant qu'un traitement de canal chez le dentiste et je n'exagère même pas.
 

BlackShadow

Activiste passif
VIB
Je préfère pas regarder la vidéo, mais elle est folle rien qu’à lire ce que je lis.

Elle veut faire passer l’avortement comme un acte banale, qu’il n’est pas, c’est ça ? Ce n’est pas pour rien si l’étique actuelle voit d’un mauvais œil les expériences sur les fœtus (et même les embryons humains), c’est parce qu’il ne sont pas des objets.

La possibilité de l’avortement, a été mise en place pour éviter des drames (enfant délaissé car non‑désiré, avortement « à la tringle à rideau »), sûrement pas pour en faire une chose banale.

Elle semble tout centrer sur elle‑même (elle dit que c’est sans risque et blabla), et oubli la question du fœtus, qui est au moins autant le centre de la question.
On peut, peut être, laisser les femmes en penser ce qu'elles en veulent sans qu'on leur dise qu'il faut que ce soit impérativement un acte traumatisant.

J'ai parfois l'impression qu'il faut nécessairement penser que ce doit être quelque chose de traumatisant sous peine de passer pour une méchante.
 

Hibou57

Comme-même (tm)
VIB
Je me suis déjà fait avorter et je confirme que c'est assez banal comme intervention lorsque pratiqué dans de bonnes conditions. C'est nettement moins traumatisant qu'un traitement de canal chez le dentiste et je n'exagère même pas.
Ça ne répond pas à mon commentaire, je disais justement que la question n’est pas tant dans les caractéristiques de l’intervention, que dans l’acte lui‑même. Que la technique médicale de l’avortement soit parfaitement maitrisée, ne change rien au fait qu’on ne peut pas banaliser un avortement, ou du moins qu’on ne peut pas faire de la mère le seul centre de la question. Sinon alors pourquoi les tests sur les fœtus et embryons sont interdit et la conservation d’embryon sévèrement surveillée ? Il y a une sérieuse contradiction entre cette banalisation de l’avortement (je ne parle pas de la maitrise médicale de l’acte), et les questions étiques qui invitent à ne pas traiter les embryons ou les fœtus humains comme des objets. Et cette contradiction là, est formellement justifié, elle ne fait même pas appel à un quelconque sentiment sur la question.

D’ailleurs il faudrait que les féministes arrêtent de nous bassiner avec l’instinct maternelle, parce que c’est du vent, comme le montre l’existence de cette vidéo (que j’ai pas voulu voir, je ne me réfère qu’aux explications données).
 

Hibou57

Comme-même (tm)
VIB
On peut, peut être, laisser les femmes en penser ce qu'elles en veulent sans qu'on leur dise qu'il faut que ce soit impérativement un acte traumatisant.
Elle a eu un fœtus dans l’utérus par parthénogenèse peut‑être ? :claque: Les mères ne sont pas les seules concernées, les pères aussi. Sauf si pour toi les pères ne sont que des distributeurs de spermes montés sur deux jambes.

Puis même sans cette question, il y a celle de la contradiction entre l’étique sur l’utilisation des fœtus et cette banalisation de l’avortement (la contradiction que je relevais plus haut).
 
A

AncienMembre

Non connecté
son histoire à elle n'est pas la même que les autres!

rare sont les personnes qui avortent par véritable choix! la majorité le font par désespoir

sur le plan médical, c'est une procédure certes banal (dans le sens où tout est mi en place pour ne pas causer du tord à la femme)

mais psychologiquement parlant! c'est une énorme gifle pour la majorité des femmes qui le font
 

BlackShadow

Activiste passif
VIB
Elle a eu un fœtus dans l’utérus par parthénogenèse peut‑être ? :claque: Les mères ne sont pas les seules concernées, les pères aussi. Sauf si pour toi les pères ne sont que des distributeurs de spermes montés sur deux jambes.

Puis même sans cette question, il y a celle de la contradiction entre l’étique sur l’utilisation des fœtus et cette banalisation de l’avortement (la contradiction que je relevais plus haut).
Moi, je dis simplement que la femme a le droit d'en penser ce qu'elle en veut sans adhérer à la doxa ambiante qui l'oblige à en ressortir durement traumatisée.
 
Ça ne répond pas à mon commentaire, je disais justement que la question n’est pas tant dans les caractéristiques de l’intervention, que dans l’acte lui‑même. Que la technique médicale de l’avortement soit parfaitement maitrisée, ne change rien au fait qu’on ne peut pas banaliser un avortement, ou du moins qu’on ne peut pas faire de la mère le seul centre de la question. Sinon alors pourquoi les tests sur les fœtus et embryons sont interdit et la conservation d’embryon sévèrement surveillée ? Il y a une sérieuse contradiction entre cette banalisation de l’avortement (je ne parle pas de la maitrise médicale de l’acte), et les questions étiques qui invitent à ne pas traiter les embryons ou les fœtus humains comme des objets. Et cette contradiction là, est formellement justifié, elle ne fait même pas appel à un quelconque sentiment sur la question.

D’ailleurs il faudrait que les féministes arrêtent de nous bassiner avec l’instinct maternelle, parce que c’est du vent, comme le montre l’existence de cette vidéo (que j’ai pas voulu voir, je ne me réfère qu’aux explications données).

Je crois qu'il n'y aura probablement jamais de consensus en ce qui concerne le débat idéologique autour de l'avortement. Mais si je parle de mon expérience personnelle, je dois dire que je n'ai jamais regretté une seule fois mon geste et franchement, au risque de me faire traiter de tous les noms, j'ai été tellement soulagée et heureuse d'avoir pu avorter.
 

Hibou57

Comme-même (tm)
VIB
Moi, je dis simplement que la femme a le droit d'en penser ce qu'elle en veut sans adhérer à la doxa ambiante qui l'oblige à en ressortir durement traumatisée.
Ça confirme que le féminisme, c’est n’importe quoi. Ben dans ce cas, on peut dire que les femmes n’ont rien à faire en politique pour des raisons similaires.

Si ça ne concerne qu’elles, alors qu’elles les fassent toutes seules (pour parler ironiquement), et si ça ne concerne qu’elles, qu’on abroge donc les obligations légales faites aux pères. Quelle fumisterie le féminisme… c’est ceci ou cela comme ça arrange, au grès de l’opportunisme et du nombrilisme.

Je ne peux que très fermement conseiller à tout les hommes, de s’assurer de la position d’une femme sur cette question avant d’avoir une quelconque relation avec elle. S’assurer qu’elle ne considère pas qu’un fœtus et juste un objet dont elle fait ce qu’elle veut parce que c’est dans son ventre qu’il a grandit et qu’elle ne vous prend pas pour un distributeur de sperme monté sur deux jambes.

D’ailleurs, dans les sites de rencontre, il devrait y avoir une option pour donner son opinion sur la question (ça m’y fait penser à l’instant)
 

BlackShadow

Activiste passif
VIB
Ça confirme que le féminisme, c’est n’importe quoi. Ben dans ce cas, on peut dire que les femmes n’ont rien à faire en politique pour des raisons similaires.

Si ça ne concerne qu’elles, alors qu’elles les fassent toutes seules (pour parler ironiquement), et si ça ne concerne qu’elles, qu’on abroge donc les obligations légales faites aux pères. Quelle fumisterie le féminisme… c’est ceci ou cela comme ça arrange, au grès de l’opportunisme et du nombrilisme.

Je ne peux que très fermement conseiller à tout les hommes, de s’assurer de la position d’une femme sur cette question avant d’avoir une quelconque relation avec elle. S’assurer qu’elle ne considère pas qu’un fœtus et juste un objet dont elle fait ce qu’elle veut parce que c’est dans son ventre qu’il a grandit et qu’elle ne vous prend pas pour un distributeur de sperme monté sur deux jambes.

D’ailleurs, dans les sites de rencontre, il devrait y avoir une option pour donner son opinion sur la question (ça m’y fait penser à l’instant)
Tu n'as rien compris du tout. Je dis simplement que tout un chacun a le droit d'en penser ce qu'il en veut sans dire à cette femme ou à CosmaShiva qu'elle doit en être traumatisé. Cette femme a parfaitement le droit de ne pas vouloir subir le traumatisme qu'on veut lui infliger.

Tout comme Albert Camus qui a parfaitement le droit de ne pas pleurer à l'enterrement de sa mère sans être condamner à mort.
 

Hibou57

Comme-même (tm)
VIB
Je crois qu'il n'y aura probablement jamais de consensus en ce qui concerne le débat idéologique autour de l'avortement. Mais si je parle de mon expérience personnelle, je dois dire que je n'ai jamais regretté une seule fois mon geste et franchement, au risque de me faire traiter de tous les noms, j'ai été tellement soulagée et heureuse d'avoir pu avorter.
La question n’est pas là, tu as put avoir tes raisons (des bonnes raisons il y en a, mais ça reste sûrement toujours un choix difficile, mêmes avec des bonnes raisons, sauf à être inhumaine), la question est dans la banalisation et de traiter cette question par dessus la jambe comme si c’était un acte anodin, de dire qu’on est propriétaire d’un fœtus comme d’une soufflé qu’on aurait fait et que c’est une chose aussi banale que ça. L’avortement, ce n’est pas banale, même si la technique est aussi bien maitrisée que le geste de changer de chaussette, ça n’est pas aussi banale que de changer de chaussette.

Ce qui est aussi insupportable aussi, c’est la position féministe exposé par @BlackShadow sur la question, selon laquelle le père n’est qu’un distributeur de sperme ou un distributeur de chéquiers (ça n’a pas à la concerner ou il a des obligations au grès de ce que ça arrange). Mais là on déborde de la seule question de l’avortement, c’est une question plus large.

L’autre problème de cette démarche de faire cette vidéo, c’est de faire croire que l’avortement c’est juste ça. Comme dit @EvilCow, il y a tout ce qui peut se passer dans la tête après, et ça, elle fait croire que ça n’existe pas. Elle ne dit rien non‑plus apparemment.
 

Hibou57

Comme-même (tm)
VIB
Tu n'as rien compris du tout. Je dis simplement que tout un chacun a le droit d'en penser ce qu'il en veut sans dire à cette femme ou à CosmaShiva qu'elle doit en être traumatisé. Cette femme a parfaitement le droit de ne pas vouloir subir le traumatisme qu'on veut lui infliger.
Déjà, ça ne justifie pas la banalisation, parce que quand on communique publiquement comme çà, on pose la question publiquement, et pas seulement pour soi. Quand elle propage ça sur le net, elle en fait une question publique.

En plus elle ment même en réduisant l’avortement à un acte médicale, sans implication, sans suite et sans raisons.
 
A

AncienMembre

Non connecté
@Hibou57, il existe des femmes pour qui c'est un soulagement et un choix posé et réfléchit! mais ces femmes là sont très rare!
 

BlackShadow

Activiste passif
VIB
Ce qui est aussi insupportable aussi, c’est la position féministe exposé par @BlackShadow sur la question, selon laquelle le père n’est qu’un distributeur de sperme ou un distributeur de chéquiers (ça n’a pas à la concerner ou il a des obligations au grès de ce que ça arrange). Mais là on déborde de la seule question de l’avortement, c’est une question plus large.
Il n'y a rien de spécifiquement féministe à dire qu'une femme ne doit pas être obligatoirement traumatisée parce qu'on a décrêté qu'elle se devait de l'être.
 
A

AncienMembre

Non connecté
Sa démarche poursuivait un objectif précis : montrer que l'avortement est une procédure sans danger. Pour faire passer son message, Emily Letts, une Américaine de 25 ans qui travaille comme conseillère dans un centre de planning familial, a pris la décision de filmer son propre avortement. « Je veux partager mon histoire pour montrer aux femmes qu’il existe aussi des histoires positives autour de l’avortement », a-t-elle expliqué dans la vidéo diffusée sur Youtube.

Le clip filme son visage au cours de l'intervention, on voit la jeune femme respirer calmement, fermer les yeux. « Je me sens bien », confie-t-elle une fois la procédure terminée. « On m'avait dit qu'avorter était effrayant, c'est totalement faux », a-t-elle expliqué au « Guardian ».

« J'ai vu de nombreuses larmes »

Très vite, la vidéo s'est propagée sur le web, suscitant de violentes critiques de la part des militants anti-avortement, certains l'accusant d'être une meurtrière. A l'inverse, d'autres personnes lui ont écrit pour la remercier, ou pour raconter à leur tour leurs expériences. « Je n'ai pas partagé mon histoire pour toutes les personnes qui laissent des commentaires ou pour susciter des remarques négatives. Je l'ai fait pour les femmes qui pensent qu'elles ne peuvent pas s’exprimer, comme si elles étaient restées dans l'ombre trop longtemps », s'est justifiée Emily dans le « Guardian ».

Dans un billet publié sur le site de « Cosmopolitan », elle a ajouté : « Je sais que certaines femmes ont énormément de remord. J'ai vu de nombreuses larmes. La souffrance fait partie du processus, mais en faisant cette vidéo je voulais pointer du doigt la culpabilité que ressentent les femmes ». « Je suis heureuse d'avoir pu partager mon histoire et d'avoir inspiré d'autres femmes à mettre fin à cette culpabilité », conclut la jeune femme.


http://www.elle.fr/Societe/News/Une-Americaine-provoque-la-polemique-en-filmant-son-IVG-2703789

Hélas, que dire ? Je lui souhaite de prendre un jour pleinement conscience de son acte. De son vivant, il n'est jamais trop tard pour demander pardon et être pardonné.
 
mais psychologiquement parlant! c'est une énorme gifle pour la majorité des femmes qui le font

@Hibou57, il existe des femmes pour qui c'est un soulagement et un choix posé et réfléchit! mais ces femmes là sont très rare!
Tu es victime de ce que veulent faire croire les partisans anti-avortement qui n'hésitent jamais à dramatiser...
Par exemple sur ce site on apprend:

"Les cancers significativement liés à l’avortement :
-cancer du poumon (risque double après un avortement)
-cancer du col de l’utérus, ovaires, foie (2,3 fois plus de risque après un avortement ; 4,92 fois plus si 2 ou 3 avortements, à cause de la perturbation brutale de la régulation hormonale)
-cancer du sein (30000 cas chaque année et 11000 décès ; 2,4 fois plus de risque en moyenne après un avortement . Ce cancer est également lié significativement à la prise de pilule contraceptive en usage prolongé)

Ces risques augmentent plus la femme multiplie les avortements , et 45% des avortements sont à répétition.
Les femmes ayant avorté consultent 80% de plus leur médecin dans la première année qui suit l’avortement pour toutes sortes de raisons et 180% de plus pour des raisons psychiatriques .(domaine développé sous le titre de Syndrome post-avortement)"
http://www.sosfemmesenceintes.fr/

En réalité c'est du grand n'importe quoi tiré d'études bidons financées par les lobbys anti-IVG.
Dès que les études sont faites par des scientifiques indépendants, on apprend que:
"En 2008 et 2009, les études scientifiques récentes sur le bien-être psychique des femmes ayant subi une interruption de grossesse ont été analysées par des équipes d'experts, d'une part mandatées par l'American Psychological Association APA, d'autre part sous l'égide de l'Université Johns Hopkins à Baltimore. Toutes sont arrivées à la conclusion que les études les plus valables qualitativement réfutent la thèse selon laquelle l'avortement provoque des souffrances psychologiques. Au contraire, les femmes qui ont avorté ne se distinguent pas quant à leur bien-être psychologique des femmes qui ont mené à terme une grossesse non planifiée.
(...)
En 2011, une étude fut publiée sur la base du registre danois de la santé qui saisit toutes les données sur la santé de la population. Les données des 85'000 femmes ayant eu une première IVG entre 1995 et 2007 ont montré que la proportion d'entre elles qui recherchait un traitement psychiatrique n'était pas plus grande après l'avortement qu'avant. Conclusion des auteurs : l'hypothèse selon laquelle le risque de troubles psychiques serait augmenté par une interruption de grossesse ne tient pas."
http://www.svss-uspda.ch/fr/facts/psychique.htm

Le sentiment de culpabilité que les anti-IVG voudraient voir chez les femmes qui ont avorté n'est motivé que par des raisons religieuses ou par simple misogynie...
 
faut juste ne pas oublier qu'un avortement c'est un meurtre a la base ... donc tuer douloureusement ou avec plaisir ne change rien à l'histoire ...

la vie ne commence pas à la sortie de l'utérus, sinon des bébés ne devrait pas pouvoir mourir avant ...

le serment d’Hippocrate a vraiment était bafoué et sali par ces soit disant "médecins" qui donne la mort ...
 
Oui c'est vrai, filmer un meurtre n'est pas toujours bon à voir, surtout si on ne peut condamner la meurtrière, vaut mieux le faire en silence et en cachette.
 
A

AncienMembre

Non connecté
@MagicBus,

je ne suis en rien victime de quoi que se soit :prudent:

je n'ai posé ni jugement, ni critique!

j'ai fais état d'un fait (que les plannings familiaux rencontrent)
 

BlackShadow

Activiste passif
VIB
Depuis quand un spematozoide a un coeur et une âme?

Tu viens de rater une occasion de te taire.
L’ironie désigne un décalage entre le discours et la réalité, entre deux réalités ou plus généralement entre deux perspectives, qui produit de l'incongruité. L'ironie recouvre un ensemble de phénomènes distincts dont les principaux sont l'ironie verbale et l'ironie situationnelle. ...

https://www.google.fr/search?q=iron...l5.4744j0j8&sourceid=chrome&es_sm=93&ie=UTF-8
 

BlackShadow

Activiste passif
VIB
La non-banalité de l'avortement ne tient pas à sa difficulté technique, ou à la douleur physique qu'il entraîne pour la demandeuse...
Chouette, une phrase à la ***.

Et tout un chacun est prié de s'extasier devant cette phrase à laquelle on ne pige rien de rien en se disant : "Wow, ça doit être un truc très profond qu'il a voulu dire".

2 négations consécutives s'annulant donc, traduisons : La banalité de l'avortement tient à sa difficulté technique, ou à la douleur physique qu'il entraîne pour la demandeuse...

Moi, j'hésite entre le challenge technique et la douleur physique, pour ce qu'il en est de banaliser le droit à l'ivg.

Pour ce qu'il en est de la choucroute, j'ai une non hésitation à ne pas m'en resservir une large portion.
 
A

AncienMembre

Non connecté
Chouette, une phrase à la ***.

Et tout un chacun est prié de s'extasier devant cette phrase à laquelle on ne pige rien de rien en se disant : "Wow, ça doit être un truc très profond qu'il a voulu dire".

Qu'on se montre grossier en réaction à une attaque, pourquoi pas... c'est compréhensible. Mais qu'on se permette de parler salement à l'autre de prime abord, non, c'est vraiment quelque chose que j'ai du mal à comprendre.

...

Ah ben oui, c'est parce que je suis ***, c'est sans doute pour ça.

2 négations consécutives s'annulant donc, traduisons : La banalité de l'avortement tient à sa difficulté technique, ou à la douleur physique qu'il entraîne pour la demandeuse...

La traduction officielle et définitive (director's cut) est la suivante : "l'extraordinarité de l'avortement ne pas tient à sa difficulté technique, ou à la douleur physique qu'il entraîne pour la demandeuse." Puissent les intelligences supérieures pardonner mes fautes d'expression, et je courbe le dos bien bas.
 
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BlackShadow

Activiste passif
VIB
Qu'on se montre grossier en réaction à une attaque, pourquoi pas... c'est compréhensible. Mais qu'on se permette de parler salement à l'autre de prime abord, non, c'est vraiment quelque chose que j'ai du mal à comprendre.
J'ai jamais dit que tu étais ***. Tu as parfaitement le non-droit de ne pas dire de phrases débiles qui ne veulent rien dire.
 
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