Dépourvus de toute influence locale, les activistes du séparatisme qui sagitent à lintérieur des provinces du Sud se voient tresser des lauriers à létranger grâce à largent et au soutien logistique algériens.
Aminatou Haidar, de son vrai nom Aminatou Haidaruen, reprend son bâton de pèlerin. Destination : Washington, où elle se verra décerner le 13 novembre le prix annuel de la Fondation Robert Francis Kennedy. La nouvelle fait actuellement les grosses manchettes de la propagande médiatique du Polisario, épaulée par la presse algérienne. Ici, on parle de «passionaria de la cause sahraouie» ; là, d«emblème de lutte de la population sahraouie pour la liberté» ; ailleurs, de «fer de lance du combat sahraoui pour les droits de lHomme». A en croire ces journaux à la solde du pouvoir algérien, on ne peut quadmirer le parcours «héroïque» de cette dame. La Fondation baptisée du nom de Francis Kennedy, ancien ministre américain de la Justice assassiné en 1968, ne pouvait pas ne pas tomber sous le charme du prétendu chevalier preux des «droits de lHomme». Pas plus dailleurs quune dizaine dautres ONG internationales qui nont pas pu résister à lattrait de la dame. Il ny a presque pas un pays où l'activiste na pas été invitée, primée, gracieusement rémunérée Certains lui reconnaissent même un nombre record de voyages. «En 2006, Aminatou Haidar a sillonné trois continents en lespace de 7 mois. Elle a visité sept pays», note un observateur. «De mémoire de grand habitué des voyages, jamais je nai vu quelquun soffrir autant de déplacements». Admirez ce constat dressé par un ambassadeur itinérant qui a souhaité ne pas être cité. Mais qui est alors derrière les voyages coperniciens dAminatou Haidar ? Est-ce vraiment dû à la brave «militance» de la dame ? «Aminatou Haidar, une Izzerguiya, est abhorrée par la tribu des Izzerguiyine, tous unionistes, que par les Rguibat et autres tribus sahraouies», relève un acteur associatif sahraoui. Si linfluence locale de Mme Haidar est pratiquement nulle, doù tire-t-elle alors cette présence internationale ? Face à la faiblesse de son audience en interne, lactiviste parvient, paradoxalement, à mener à létranger des activités dont la médiatisation est disproportionnée à la nature réelle de son influence.
En cela, elle est soutenue par des groupes minoritaires de la gauche communiste ou trotskyste ainsi que des résidus des partis révolutionnaires des années 60, qui la font bénéficier ainsi que dautres pseudo-militants du séparatisme de leurs relais associatifs et médiatiques.
«Le rayonnement international dAminatou Haidar est soutenu à bout de bras par les pétro-dinars algériens», martèle, et pas vraiment à tort, un spécialiste de lactivisme séparatiste au Sahara marocain. Le nom dAminatou Haidar est apparu sur la scène en 2005. Arrêtée à Laâyoune pour avoir orchestré avec quelques activistes la fameuse prétendue «Intifada sahraouie», elle se voit bombardée « prisonnière dopinion». Il a suffi que la machine propagandiste du Polisario se mette en branle, et voilà que des ONG épousent la cadence et versent des larmes (humanitaires) sur le «cas Haidar». Nombre dassociations mordront à lhameçon et offriront leurs «bons offices» pour adopter le «cas» de cette dame. Elles lont accueillie comme une «héroïne» après sa libération en 2006. Ces ONG ne se sont jamais posé la question sur les objectifs réels de l'activiste, qui est une marionnette ni plus ni moins du Polisario et des services algériens très rompus à l'exercice de manipulation. Aminatou Haidar se livre certes à merveille à ce jeu de polichinelle, monnayé à coups de pétro ou gazo-dollars algériens. La générosité dAlger a suscité lintérêt de nombreux autres activistes qui nhésiteront pas à emboîter le pas à la dame. Manipulés, intéressés, exploités ou tout simplement recrutés au profit des ennemis de la nation et de sa cause sacrée, Aminatou Haidar et les siens, dont Ali Salem Tamek et Mohamed Dadach, ont dabord agi dans le cadre du champ des libertés publiques garanti par lEtat de droit au Maroc. Ils ont commencé à militer à travers lAssociation marocaine des droits de lHomme (AMDH) et le Forum Vérité et Justice (FVJ). Au départ, ces activistes ne militaient pas pour un «indépendantisme» quelconque. Cela ne faisait pas partie de leurs convictions. Leurs activités militantes se résumaient à des revendications dordre socio-économique que lon retrouve dans toutes les régions du Royaume: amélioration des conditions de vie, habitat salubre Mais, les ennemis du Maroc ne pouvaient rester indifférents face à loccasion en or que leur offrait cette situation afin davoir, pour la première fois, des agents dans les provinces marocaines du Sud. Cest ainsi que les services algériens ont lancé une grande opération visant à approcher ces jeunes activistes afin de les recruter au profit de la propagande séparatiste. Parmi ces activistes, figurent le frère du président de la «république» chimérique, le dénommé Maâelaïnine Rguibi, Mohamed Salem Lekhal, sans compter la célébrissime Jimmy El Ghalia. Ce sont ceux-là mêmes qui tiennent compagnie actuellement à Aminatou Haidar dans son voyage à Washington, où la Fondation Kennedy se prépare à lui décerner son prix. La dame porte toujours un passeport marocain qui lui sert de document didentité nationale et qui lui permet daccéder aux pays quelle visite. Pourtant, ce document, elle le renie aussi grossièrement quelle le fait avec son identité, sa nationalité, son origine, ses racines, son histoire, celle de ses parents A ses interlocuteurs, partout où elle va, elle sefforce de dire quelle nest pas marocaine. Mère de deux enfants, une fille et un garçon, elle tente de leur inculquer des idées séparatistes quils ont certainement du mal à assimiler, comme la majorité écrasante des Sahraouis marocains où quils soient. Ces derniers savent que les menées subversives sappuyant sur une stratégie de désinformation et de propagande visent à installer un climat de tension en cherchant à démoraliser les populations et déstabiliser les pouvoirs publics. Ce qui ne peut nullement être le cas. Les Marocains du Sud sont attachés à leur patrie et nul ne peut changer cette donne.
Aminatou Haidar, de son vrai nom Aminatou Haidaruen, reprend son bâton de pèlerin. Destination : Washington, où elle se verra décerner le 13 novembre le prix annuel de la Fondation Robert Francis Kennedy. La nouvelle fait actuellement les grosses manchettes de la propagande médiatique du Polisario, épaulée par la presse algérienne. Ici, on parle de «passionaria de la cause sahraouie» ; là, d«emblème de lutte de la population sahraouie pour la liberté» ; ailleurs, de «fer de lance du combat sahraoui pour les droits de lHomme». A en croire ces journaux à la solde du pouvoir algérien, on ne peut quadmirer le parcours «héroïque» de cette dame. La Fondation baptisée du nom de Francis Kennedy, ancien ministre américain de la Justice assassiné en 1968, ne pouvait pas ne pas tomber sous le charme du prétendu chevalier preux des «droits de lHomme». Pas plus dailleurs quune dizaine dautres ONG internationales qui nont pas pu résister à lattrait de la dame. Il ny a presque pas un pays où l'activiste na pas été invitée, primée, gracieusement rémunérée Certains lui reconnaissent même un nombre record de voyages. «En 2006, Aminatou Haidar a sillonné trois continents en lespace de 7 mois. Elle a visité sept pays», note un observateur. «De mémoire de grand habitué des voyages, jamais je nai vu quelquun soffrir autant de déplacements». Admirez ce constat dressé par un ambassadeur itinérant qui a souhaité ne pas être cité. Mais qui est alors derrière les voyages coperniciens dAminatou Haidar ? Est-ce vraiment dû à la brave «militance» de la dame ? «Aminatou Haidar, une Izzerguiya, est abhorrée par la tribu des Izzerguiyine, tous unionistes, que par les Rguibat et autres tribus sahraouies», relève un acteur associatif sahraoui. Si linfluence locale de Mme Haidar est pratiquement nulle, doù tire-t-elle alors cette présence internationale ? Face à la faiblesse de son audience en interne, lactiviste parvient, paradoxalement, à mener à létranger des activités dont la médiatisation est disproportionnée à la nature réelle de son influence.
En cela, elle est soutenue par des groupes minoritaires de la gauche communiste ou trotskyste ainsi que des résidus des partis révolutionnaires des années 60, qui la font bénéficier ainsi que dautres pseudo-militants du séparatisme de leurs relais associatifs et médiatiques.
«Le rayonnement international dAminatou Haidar est soutenu à bout de bras par les pétro-dinars algériens», martèle, et pas vraiment à tort, un spécialiste de lactivisme séparatiste au Sahara marocain. Le nom dAminatou Haidar est apparu sur la scène en 2005. Arrêtée à Laâyoune pour avoir orchestré avec quelques activistes la fameuse prétendue «Intifada sahraouie», elle se voit bombardée « prisonnière dopinion». Il a suffi que la machine propagandiste du Polisario se mette en branle, et voilà que des ONG épousent la cadence et versent des larmes (humanitaires) sur le «cas Haidar». Nombre dassociations mordront à lhameçon et offriront leurs «bons offices» pour adopter le «cas» de cette dame. Elles lont accueillie comme une «héroïne» après sa libération en 2006. Ces ONG ne se sont jamais posé la question sur les objectifs réels de l'activiste, qui est une marionnette ni plus ni moins du Polisario et des services algériens très rompus à l'exercice de manipulation. Aminatou Haidar se livre certes à merveille à ce jeu de polichinelle, monnayé à coups de pétro ou gazo-dollars algériens. La générosité dAlger a suscité lintérêt de nombreux autres activistes qui nhésiteront pas à emboîter le pas à la dame. Manipulés, intéressés, exploités ou tout simplement recrutés au profit des ennemis de la nation et de sa cause sacrée, Aminatou Haidar et les siens, dont Ali Salem Tamek et Mohamed Dadach, ont dabord agi dans le cadre du champ des libertés publiques garanti par lEtat de droit au Maroc. Ils ont commencé à militer à travers lAssociation marocaine des droits de lHomme (AMDH) et le Forum Vérité et Justice (FVJ). Au départ, ces activistes ne militaient pas pour un «indépendantisme» quelconque. Cela ne faisait pas partie de leurs convictions. Leurs activités militantes se résumaient à des revendications dordre socio-économique que lon retrouve dans toutes les régions du Royaume: amélioration des conditions de vie, habitat salubre Mais, les ennemis du Maroc ne pouvaient rester indifférents face à loccasion en or que leur offrait cette situation afin davoir, pour la première fois, des agents dans les provinces marocaines du Sud. Cest ainsi que les services algériens ont lancé une grande opération visant à approcher ces jeunes activistes afin de les recruter au profit de la propagande séparatiste. Parmi ces activistes, figurent le frère du président de la «république» chimérique, le dénommé Maâelaïnine Rguibi, Mohamed Salem Lekhal, sans compter la célébrissime Jimmy El Ghalia. Ce sont ceux-là mêmes qui tiennent compagnie actuellement à Aminatou Haidar dans son voyage à Washington, où la Fondation Kennedy se prépare à lui décerner son prix. La dame porte toujours un passeport marocain qui lui sert de document didentité nationale et qui lui permet daccéder aux pays quelle visite. Pourtant, ce document, elle le renie aussi grossièrement quelle le fait avec son identité, sa nationalité, son origine, ses racines, son histoire, celle de ses parents A ses interlocuteurs, partout où elle va, elle sefforce de dire quelle nest pas marocaine. Mère de deux enfants, une fille et un garçon, elle tente de leur inculquer des idées séparatistes quils ont certainement du mal à assimiler, comme la majorité écrasante des Sahraouis marocains où quils soient. Ces derniers savent que les menées subversives sappuyant sur une stratégie de désinformation et de propagande visent à installer un climat de tension en cherchant à démoraliser les populations et déstabiliser les pouvoirs publics. Ce qui ne peut nullement être le cas. Les Marocains du Sud sont attachés à leur patrie et nul ne peut changer cette donne.