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Amnesty internationale dénonce
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[QUOTE="b-lady, post: 5500642, member: 70939"] Suite ....... ------------------------ DÉCÈS JUGÉS SUSPECTS Le rapport d'Amnesty dénonce des attitudes discriminatoires à l'égard des minorités "visibles" et des personnes dites "vulnérables" (migrants en situation irrégulière, réfugiés, sans domicile fixe, femmes). L'organisation fournit plusieurs exemples de violences policières présumées et notamment de décès jugés suspects auxquels la justice n'a pas donné de suite. Tel celui d'Abdelhakim Ajimi, mort le 9 mai 2008 après avoir été maîtrisé par des policiers lors de son arrestation à Grasse (Alpes-Maritimes). Deux policiers soupçonnés d'être impliqués dans cette affaire n'ont pas été mis en examen et continuent de travailler dans la ville, tandis que l'enquête se poursuit. Est également cité le cas d'Abou Bakari Tandia, Malien en situation irrégulière mort en garde à vue au commissariat de Courbevoie après être tombé dans le coma en décembre 2004. Les policiers affirment qu'il s'est jeté contre un mur, ce que la famille juge impossible au regard des rapports médicaux. Lors de la conférence de presse, qui s'est tenue au siège parisien d'Amnesty, plusieurs personnes ont témoigné. Parmi elles, Albertine Sow a raconté la violente altercation entre la police, son frère et son cousin à laquelle elle s'est retrouvée mêlée en 2006 en bas de chez elle à Paris, alors qu'elle était enceinte de six mois. "Dans l'ensemble, la police fait un travail difficile, dangereux et professionnel, mais aucun système n'est parfait", a déclaré Stephan Oberreit, président d'Amnesty en France. Il a réclamé "plus de formation" et "un encadrement plus strict" des membres des forces de l'ordre pour éviter les bavures. Pour Amnesty, lutter contre l'impunité pourrait contribuer à améliorer les rapports entre les représentants de l'autorité et la population. "La police ne peut pas agir de façon professionnelle s'il n'y a pas une relation de transparence et de confiance avec le public", a noté David Diaz-Jogeix. Gérard Gachet ne croit quant à lui "pas du tout à un divorce massif entre les Français et leur police". [/QUOTE]
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