Nos ancêtres, les arabes

Drianke

اللهم إفتح لنا أبواب الخير وأرزقنا من حيت لا نحتسب
Contributeur
Avant-propos

Il y a 2.500 ans, l’Archonte (Amiral) carthaginois Hannon guide une grande flotte par-delà les Colonnes d’Hercule (Gibraltar). Sa mission vise à renforcer les comptoirs installés précédemment par les phéniciens sur les côtes orientales de l’Afrique jusqu’au Sénégal actuel, puis de pousser les explorations plus au sud. Avant de faire demi-tour dans le Golfe de Guinée, il décrit la rencontre avec des femmes et des hommes velus que les interprètes appellent « Gorillai ». Les hommes d’Hannon tuent trois femelles et en rapportent seulement les peaux. Celles-ci seront offertes au temple de Baal de Carthage avant de disparaître dans la destruction de Carthage et le génocide de ses habitants par les Romains en -146.

Plus qu’une parabole, le périple d’Hannon illustre combien la découverte des origines et de l’évolution de l’homme s’édifie par des voyages au travers des mers, loin des rives de nos cultures et à la rencontre des diversités humaines et naturelles.

Cependant, avant d’embarquer avec les navigations d’Homo sapiens, il y a une réalité qui contraint l’accès aux connaissances puisque le niveau actuel des mers se situe à une centaine de mètres au-dessus de celui des périodes glaciaires. L’eau stockée dans les calottes glaciaires avait provoqué un net abaissement du niveau marin, ce qui transforme en gués des détroits marins. Les plateaux continentaux (aujourd’hui sous les mers) s’offraient comme de vastes plaines fertiles propices aux passages et aux installations des hommes préhistoriques et de leurs communautés écologiques. Les analyses de l’ADN mitochondrial, croisées avec les études linguistiques et archéologiques, permettent de restituer les filiations générationnelles et donc de proposer les pistes probables de migrations. Même si nous sommes pauvres en données archéologiques, fort heureusement, les populations humaines se déplacent avec leurs gènes, leurs langues et leurs artéfacts, ce qui permet de reconstituer de plus en plus finement l’histoire du peuplement de la Terre par notre espèce : l’Homo Sapiens.

Voilà comment il faut réécrire l'histoire des premières migrations de l'humanité

...........

LA CAUSE DU PEUPLE : À part les Africains, tous les peuples ont des ancêtres Arabes


ps (je sais pas si ça va plaire ça oupsss :D)
 
Avant-propos

Il y a 2.500 ans, l’Archonte (Amiral) carthaginois Hannon guide une grande flotte par-delà les Colonnes d’Hercule (Gibraltar). Sa mission vise à renforcer les comptoirs installés précédemment par les phéniciens sur les côtes orientales de l’Afrique jusqu’au Sénégal actuel, puis de pousser les explorations plus au sud. Avant de faire demi-tour dans le Golfe de Guinée, il décrit la rencontre avec des femmes et des hommes velus que les interprètes appellent « Gorillai ». Les hommes d’Hannon tuent trois femelles et en rapportent seulement les peaux. Celles-ci seront offertes au temple de Baal de Carthage avant de disparaître dans la destruction de Carthage et le génocide de ses habitants par les Romains en -146.

Plus qu’une parabole, le périple d’Hannon illustre combien la découverte des origines et de l’évolution de l’homme s’édifie par des voyages au travers des mers, loin des rives de nos cultures et à la rencontre des diversités humaines et naturelles.

Cependant, avant d’embarquer avec les navigations d’Homo sapiens, il y a une réalité qui contraint l’accès aux connaissances puisque le niveau actuel des mers se situe à une centaine de mètres au-dessus de celui des périodes glaciaires. L’eau stockée dans les calottes glaciaires avait provoqué un net abaissement du niveau marin, ce qui transforme en gués des détroits marins. Les plateaux continentaux (aujourd’hui sous les mers) s’offraient comme de vastes plaines fertiles propices aux passages et aux installations des hommes préhistoriques et de leurs communautés écologiques. Les analyses de l’ADN mitochondrial, croisées avec les études linguistiques et archéologiques, permettent de restituer les filiations générationnelles et donc de proposer les pistes probables de migrations. Même si nous sommes pauvres en données archéologiques, fort heureusement, les populations humaines se déplacent avec leurs gènes, leurs langues et leurs artéfacts, ce qui permet de reconstituer de plus en plus finement l’histoire du peuplement de la Terre par notre espèce : l’Homo Sapiens.

Voilà comment il faut réécrire l'histoire des premières migrations de l'humanité

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LA CAUSE DU PEUPLE : À part les Africains, tous les peuples ont des ancêtres Arabes


ps (je sais pas si ça va plaire ça oupsss :D)



ca va pas plaire à certains hi hi hihi hi
 
ca va pas plaire à certains hi hi hihi hi
Voilà comment il faut réécrire l'histoire des premières migrations de l'humanité

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LA CAUSE DU PEUPLE : À part les Africains, tous les peuples ont des ancêtres Arabes


ps (je sais pas si ça va plaire ça oupsss :D)
Sauf que le postulat de départ est très mal posé!ces premiers migrant sapiens venus d'Afrique et de passage dans la péninsule arabique n'avaient rien d'arabes voire même d'africains au sens moderne du terme!
 
Dernière édition:
Ce que je retiens de tout ça :D

décrit la rencontre avec des femmes et des hommes velus que les interprètes appellent « Gorillai ». Les hommes d’Hannon tuent trois femelles et en rapportent seulement les peaux.
 
Avant-propos

Il y a 2.500 ans, l’Archonte (Amiral) carthaginois Hannon guide une grande flotte par-delà les Colonnes d’Hercule (Gibraltar). Sa mission vise à renforcer les comptoirs installés précédemment par les phéniciens sur les côtes orientales de l’Afrique jusqu’au Sénégal actuel, puis de pousser les explorations plus au sud. Avant de faire demi-tour dans le Golfe de Guinée, il décrit la rencontre avec des femmes et des hommes velus que les interprètes appellent « Gorillai ». Les hommes d’Hannon tuent trois femelles et en rapportent seulement les peaux. Celles-ci seront offertes au temple de Baal de Carthage avant de disparaître dans la destruction de Carthage et le génocide de ses habitants par les Romains en -146.

Plus qu’une parabole, le périple d’Hannon illustre combien la découverte des origines et de l’évolution de l’homme s’édifie par des voyages au travers des mers, loin des rives de nos cultures et à la rencontre des diversités humaines et naturelles.

Cependant, avant d’embarquer avec les navigations d’Homo sapiens, il y a une réalité qui contraint l’accès aux connaissances puisque le niveau actuel des mers se situe à une centaine de mètres au-dessus de celui des périodes glaciaires. L’eau stockée dans les calottes glaciaires avait provoqué un net abaissement du niveau marin, ce qui transforme en gués des détroits marins. Les plateaux continentaux (aujourd’hui sous les mers) s’offraient comme de vastes plaines fertiles propices aux passages et aux installations des hommes préhistoriques et de leurs communautés écologiques. Les analyses de l’ADN mitochondrial, croisées avec les études linguistiques et archéologiques, permettent de restituer les filiations générationnelles et donc de proposer les pistes probables de migrations. Même si nous sommes pauvres en données archéologiques, fort heureusement, les populations humaines se déplacent avec leurs gènes, leurs langues et leurs artéfacts, ce qui permet de reconstituer de plus en plus finement l’histoire du peuplement de la Terre par notre espèce : l’Homo Sapiens.

Voilà comment il faut réécrire l'histoire des premières migrations de l'humanité

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LA CAUSE DU PEUPLE : À part les Africains, tous les peuples ont des ancêtres Arabes


ps (je sais pas si ça va plaire ça oupsss :D)
J'aimerai voir la tête de marine moi
 
Ce que je retiens de tout ça :D

décrit la rencontre avec des femmes et des hommes velus que les interprètes appellent « Gorillai ». Les hommes d’Hannon tuent trois femelles et en rapportent seulement les peaux.
mauvaise traduction ...

et les colonnes d'hercukes c'est des colonnes pas les rocher d'un détroit ...

bref rien a voir avec l'histoire si ce n'est Carthage ...
 

popeys

VIB
Avant-propos

Il y a 2.500 ans, l’Archonte (Amiral) carthaginois Hannon guide une grande flotte par-delà les Colonnes d’Hercule (Gibraltar). Sa mission vise à renforcer les comptoirs installés précédemment par les phéniciens sur les côtes orientales de l’Afrique jusqu’au Sénégal actuel, puis de pousser les explorations plus au sud. Avant de faire demi-tour dans le Golfe de Guinée, il décrit la rencontre avec des femmes et des hommes velus que les interprètes appellent « Gorillai ». Les hommes d’Hannon tuent trois femelles et en rapportent seulement les peaux. Celles-ci seront offertes au temple de Baal de Carthage avant de disparaître dans la destruction de Carthage et le génocide de ses habitants par les Romains en -146.

Plus qu’une parabole, le périple d’Hannon illustre combien la découverte des origines et de l’évolution de l’homme s’édifie par des voyages au travers des mers, loin des rives de nos cultures et à la rencontre des diversités humaines et naturelles.

Cependant, avant d’embarquer avec les navigations d’Homo sapiens, il y a une réalité qui contraint l’accès aux connaissances puisque le niveau actuel des mers se situe à une centaine de mètres au-dessus de celui des périodes glaciaires. L’eau stockée dans les calottes glaciaires avait provoqué un net abaissement du niveau marin, ce qui transforme en gués des détroits marins. Les plateaux continentaux (aujourd’hui sous les mers) s’offraient comme de vastes plaines fertiles propices aux passages et aux installations des hommes préhistoriques et de leurs communautés écologiques. Les analyses de l’ADN mitochondrial, croisées avec les études linguistiques et archéologiques, permettent de restituer les filiations générationnelles et donc de proposer les pistes probables de migrations. Même si nous sommes pauvres en données archéologiques, fort heureusement, les populations humaines se déplacent avec leurs gènes, leurs langues et leurs artéfacts, ce qui permet de reconstituer de plus en plus finement l’histoire du peuplement de la Terre par notre espèce : l’Homo Sapiens.

Voilà comment il faut réécrire l'histoire des premières migrations de l'humanité

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LA CAUSE DU PEUPLE : À part les Africains, tous les peuples ont des ancêtres Arabes


ps (je sais pas si ça va plaire ça oupsss :D)

tellement d'informations et de savoir, c'est un bon sujet pr faire des belles recherches merci drianke mais tu sais moi ça me plait tant que c'est toi qui l'écrit :timide:

A-210
 

Nalinux

It's not a bug, it's a feature.
Je me demande si c'est un article destiné a rapporter des études scientifiques, ou un texte pour je ne sais quelle propagande ...
On lit ici:
Si cette théorie est confirmée, parmi les immigrés magrébins récents d’Europe, ceux qui sont de souche africaine (y compris les Nord-africains : Égyptiens, Libyens, Tunisiens, Algériens, Marocains et Mauritaniens) ne sont pas d’origine arabe, à l’inverse de tous les Européens, descendants des Homo Sapiens arrivant en Europe entre -35 000 et -40.000, ce qui fait, en moyenne 1375 générations [2].

Alors que sur le même site on trouve une étude qui montre que les berbères (donc une bonne partie des magrébins) sont a la base d'origine européenne:
LA CAUSE DU PEUPLE : Génétiquement, les Maghrébins ne sont pas des Arabes

De manière générale, ce site me parait très peu fiable dans le domaine. Ça n'est pas un site scientifique, mais un site d'info générales.
On peut lire :
Génétiquement, les Magrébins ne sont pas des Arabes
LA CAUSE DU PEUPLE : Génétiquement, les Maghrébins ne sont pas des Arabes

Mais aussi:
Génétique: Arabes et Berbères font partie des ancêtres des Européens
LA CAUSE DU PEUPLE : Génétique: Arabes et Berbères font partie des ancêtres des Européens

Pour apprendre avec cet article que :
À part les Africains, tous les peuples ont des ancêtres Arabes

Alors, on prend quoi ? :) Les berbères ont disparu dans un virage ?
Que l'homme sorti d'Afrique soit resté dans ce qui est aujourd’hui les pays arabes ne semble pas une idée révolutionnaire qui va faire ré écrire l'histoire. Il me semble qu'on le savait déjà :)

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Pour rester dans l'ambiance, les européens ne sont devenus blancs que il y a a peine 8000 ans semble t-il :)
L'Européen est blanc depuis moins de 8.000 ans | Slate.fr
How Europeans evolved white skin | Science/AAAS | News
 
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