Ça devait être au milieu des années 1990 je crois, c'était le temps des vacances dans la fournaise durant 1 long mois...
Pas de plage, pas de cocotiers, pas d'hôtel avec piscine et buffet, pas de bikinis....mais une chaleur écrasante dans un patelin paumé durant un long mois qu'il fallait mériter après 4 jours de route (si tout allait bien)........
Ces vacances semblaient longues, basiques, et on devait se fondre dans la population locale. Je demandais au ciel ce que j'avais fait pour mériter ce calvaire.
Je crois que le pire c'était les chiottes Turques du bled..
Puis le temps a passé, j'ai fais des études, j'ai bossé et je me paie des vacances dans des hôtels sympas, je fais des activités (cheval, quad, bateau,...) mais j'ai la nostalgie des vacances de mon adolescence: c'était pas le grand luxe mais on était heureux dans le fond, le standing des gens qui nous accueillaient chez eux n'avaient rien des grands hôtels, mais je dois avouer que leur générosité , leur bonté étaient touchants.
C'était quelque chose de manger par terre sur des couvertures...
Puis ces gens qui nous accueillaient (famille proche et lontaine) ont été emportés par la mort.
Ces moments et ces personnes étaient immortalisées sur les cassettes d'un camescope VHS, je me souviens de ma timidité d'ado devant l'objectif...
J'ai retrouvé ces cassettes, je pourrais les visionner mais cela est insurmontable pour moi de revoir ces personnes et ces moments.
Impossible car ils me manquent, et que cela me rappelle la vitesse du temps et me met devant mon bilan.
Quand je vais au bled, dans mon patelin c'est un désert de solitude et de désolation.
Quand je rentrais dans ces maisons, elles étaient vivantes, animées.
Quand j'y rentre aujourd'hui tout est vide, triste, et je ne ressens que les souvenirs de ces gens que je ne reverrai plus..
C'était des vacances banales, vacances du pauvres mais on était heureux.
Je crois que je ne vais pas visionner ces K7, et laisser la boite de Pandorre fermée:
Pas de force et trop douloureux.
Pas de plage, pas de cocotiers, pas d'hôtel avec piscine et buffet, pas de bikinis....mais une chaleur écrasante dans un patelin paumé durant un long mois qu'il fallait mériter après 4 jours de route (si tout allait bien)........
Ces vacances semblaient longues, basiques, et on devait se fondre dans la population locale. Je demandais au ciel ce que j'avais fait pour mériter ce calvaire.
Je crois que le pire c'était les chiottes Turques du bled..
Puis le temps a passé, j'ai fais des études, j'ai bossé et je me paie des vacances dans des hôtels sympas, je fais des activités (cheval, quad, bateau,...) mais j'ai la nostalgie des vacances de mon adolescence: c'était pas le grand luxe mais on était heureux dans le fond, le standing des gens qui nous accueillaient chez eux n'avaient rien des grands hôtels, mais je dois avouer que leur générosité , leur bonté étaient touchants.
C'était quelque chose de manger par terre sur des couvertures...
Puis ces gens qui nous accueillaient (famille proche et lontaine) ont été emportés par la mort.
Ces moments et ces personnes étaient immortalisées sur les cassettes d'un camescope VHS, je me souviens de ma timidité d'ado devant l'objectif...
J'ai retrouvé ces cassettes, je pourrais les visionner mais cela est insurmontable pour moi de revoir ces personnes et ces moments.
Impossible car ils me manquent, et que cela me rappelle la vitesse du temps et me met devant mon bilan.
Quand je vais au bled, dans mon patelin c'est un désert de solitude et de désolation.
Quand je rentrais dans ces maisons, elles étaient vivantes, animées.
Quand j'y rentre aujourd'hui tout est vide, triste, et je ne ressens que les souvenirs de ces gens que je ne reverrai plus..
C'était des vacances banales, vacances du pauvres mais on était heureux.
Je crois que je ne vais pas visionner ces K7, et laisser la boite de Pandorre fermée:
Pas de force et trop douloureux.