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Appel à témoins pour retrouver rachid rafaa
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[QUOTE="Tancredi, post: 14652844, member: 373209"] [B]J'ai trouvé ça dans un article ; est-ce que c'est crédible ? Des liens avec Aqmi…[/B] Selon une fiche de renseignement et de recherches de la gendarmerie nationale circulant sur les réseaux sociaux, «les autorités marocaines le soupçonnent d'être lié à des responsables d'Al-Qaïda au Maghreb Islamique (Aqmi). Il les aurait aidés à diffuser leurs messages via internet». Ce soupçon est partagé par les services français de lutte contre le terrorisme, qui considèrent que cet homme est connu pour «son appartenance à la mouvance jihadiste internationale», indique également cette fiche. Pourtant, comme l’a confirmé Fabrice Rigoulet-Roze, préfet de la Martinique, à «France-Antilles», «Monsieur Rafaa n'a pas été poursuivi ni a fortiori condamné en France pour des actes. Il était sous un régime d'assignation à résidence dans l'attente de son extradition et son expulsion.» Cet informaticien dément d’ailleurs en bloc les accusations qui pèsent contre lui. Il estime être la cible des autorités en raison de son soutien à la cause de l’indépendance national du Sahara occidental, un territoire dont le Maroc revendique la souveraineté, au mépris du droit international. [B]Ou avec les séparatistes marocains ?[/B] Remontons à 2009 : D’après Rachid Rafaa, qui s’était confié à France 3 Lorraine, il a été détenu et torturé pendant vingt jours à Rabat, suite à quoi il s’est enfui en France. Alors établi à Metz (Moselle), il fait l'objet d'un mandat d'arrêt international émis par son pays natal, pour «constitution de bande criminelle en vue de commettre des actes terroristes». Il dépose, en vain, une demande d’asile politique. Arrêté dans le nord de la France, il est placé en détention à Lille dans l'attente de son extradition. Mais la Cour européenne des droits de l’Homme (CEDH) l’a interdite en 2013 (dans une première décision en mai, puis une seconde en novembre) en raison de la torture dont il risque de faire l’objet. Le 9 janvier 2014, la chambre de l'instruction de Metz ordonne sa remise en liberté. Mais, dès sa sortie de la prison de Nancy-Maxéville, il est interpellé, puis placé dans un centre de rétention administrative à Lille, à la suite d'un arrêté de reconduite à la frontière pris par le ministre de l'Intérieur, avançant le caractère irrégulier du séjour du jeune homme en France. «Nous avons fait un recours devant le tribunal administratif contre cet arrêté. Mais le ministère nous a coupé l'herbe sous le pied, en demandant une assignation à résidence. Or, si la juridiction administrative s'était prononcée, il serait aujourd'hui probablement dehors», avait expliqué à l’époque à l’AFP son avocate nancéienne. [/QUOTE]
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