Ce matin sur France Inter, Patrick Cohen s’est payé Arthur.
Il évoque alors le sort de la société Coyote, spécialisée dans les avertisseurs qui signalent les radars aux automobilistes. «La boîte s’appelle Coyote, comme un chacal, mais un coyote c’est plus sympa» attaque-t-il férocement. Patrick Cohen rappelle que les boîtiers ne sont pas interdits par la loi, mais ne signalent plus la position précise des radars, juste des zones de danger. Une activité qui a permis à Coyotte de prospérer puisque la société a réalisé 105 millions d’euros de chiffre d’affaire. Ses deux fondateurs ont affirmé au Figaro vouloir racheter la capital de leur entreprise dont il juge la gestion trop financière.
Patrick Cohen explique avoir trouvé sur BFM Business que ces financiers en charge de Coyotte ne sont autre que la famille Benetton et Arthur. «Notre ami belge» comme le surnomme le journaliste qui précise que l’animateur de TF1 a investi quatre millions d’euros il y a cinq ans et qu’il va en récupérer aujourd’hui douze. «Pas sans rien faire» ajoute Patrick Cohen très mordant puisqueArthur aurait fait un intense lobbying auprès de l’entourage de Nicolas Sarkozy afin d’empêcher l’interdiction des boîtiers Coyote. «Et ces huit millions de plus-value, ça fait combien dans les caisses de l’Etat?» s’interroge faussement naïf le journaliste de France Inter. «Bah ça fait zéro puisque Arthur a logé sa holding au Luxembourg, explique-t-il. Et ça fait zéro payé par Arthur puisque les plus-values de ce genre n’y sont pas imposées du tout».
Et de conclure son billet de (mauvaise) humeur: «Voilà, c'était notre contribution au débat sur la nécessaire, l'indispensable urgence de renforcer l'enseignement moral et civique et de transmettre les valeurs de la République auprès des animateurs télé et des résidents belges».
Crédits photos : IBO/SIPA
Il évoque alors le sort de la société Coyote, spécialisée dans les avertisseurs qui signalent les radars aux automobilistes. «La boîte s’appelle Coyote, comme un chacal, mais un coyote c’est plus sympa» attaque-t-il férocement. Patrick Cohen rappelle que les boîtiers ne sont pas interdits par la loi, mais ne signalent plus la position précise des radars, juste des zones de danger. Une activité qui a permis à Coyotte de prospérer puisque la société a réalisé 105 millions d’euros de chiffre d’affaire. Ses deux fondateurs ont affirmé au Figaro vouloir racheter la capital de leur entreprise dont il juge la gestion trop financière.
Patrick Cohen explique avoir trouvé sur BFM Business que ces financiers en charge de Coyotte ne sont autre que la famille Benetton et Arthur. «Notre ami belge» comme le surnomme le journaliste qui précise que l’animateur de TF1 a investi quatre millions d’euros il y a cinq ans et qu’il va en récupérer aujourd’hui douze. «Pas sans rien faire» ajoute Patrick Cohen très mordant puisqueArthur aurait fait un intense lobbying auprès de l’entourage de Nicolas Sarkozy afin d’empêcher l’interdiction des boîtiers Coyote. «Et ces huit millions de plus-value, ça fait combien dans les caisses de l’Etat?» s’interroge faussement naïf le journaliste de France Inter. «Bah ça fait zéro puisque Arthur a logé sa holding au Luxembourg, explique-t-il. Et ça fait zéro payé par Arthur puisque les plus-values de ce genre n’y sont pas imposées du tout».
Et de conclure son billet de (mauvaise) humeur: «Voilà, c'était notre contribution au débat sur la nécessaire, l'indispensable urgence de renforcer l'enseignement moral et civique et de transmettre les valeurs de la République auprès des animateurs télé et des résidents belges».
Crédits photos : IBO/SIPA
