boptitprince
je ne suis qu'un prince..
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http://fr.novopress.info/61689/les-bleus-le-karcher-pour-cette-racaille-par-jean-marie-molitor/
Cest Eric Zemmour, une fois de plus, qui, lundi matin sur RTL, a trouvé la meilleure formule : « Chez ces gens-là, la France, cest un pays de bouffons », a conclu le chroniqueur à lissue dun très sévère réquisitoire contre cette « équipe de France » dont on voyait déjà quelle nétait plus « de France » et dont on sait maintenant quelle nest même pas une « équipe ». Elle nest quune bande, une « bande de voyous qui ne connaît quune seule morale, celle de la mafia », selon lexpression du philosophe Alain Finkielkraut dimanche sur Europe 1, et même « une bande de onze petites frappes », selon lexpression du même Finkielkraut lundi sur France Inter. Une bande de « voyous milliardaires » (Finkielkraut), menée par un « caïd de bac à sable » (Zemmour), Franck Ribéry, le converti à lislam sous le nom de Bilal Yusuf Mohammed qui nous fait profiter de sa foi à chaque fois quil entre sur le terrain et confond tirs aux buts et tirs aux *****, tandis que sa femme Wahiba (la légitime) se pavane avec un t-shirt marqué dun « Yes we can ! » obamesque aux couleurs de lAlgérie.
Hutus contre Tutsis, la prochaine étape ?
Le déjà mythique Eric Cantona avait prévenu, il y a longtemps déjà, que Raymond Domenech était le « plus mauvais » entraîneur que la France ait connu « depuis Louis XVI ». Et ce nétait pas gentil pour Louis XVI, qui, lui au moins, est resté digne jusquà son dernier souffle, quand Domenech, pitoyable petit animateur socio-*** à la tête aussi enflée que son compte en banque, sest fait un peu plus larve encore en se faisant le porte-parole de ceux qui le prennent pour une *****.
Comment ne pas faire le rapprochement entre léquipe de France sous Domenech et lEducation nationale depuis Mai 68, et particulièrement ces dernières années ? Même incapacité des profs/entraîneurs à asseoir leur autorité (ou même refus de le faire), même lâcheté de la hiérarchie, même démission de tous les pouvoirs devant de petites frappes que quelques coups de pied au *** et quelques sanctions, qui, dans le cas des Bleus, seraient dabord financières, puisque cest là que ça leur fait le plus mal remettraient dans le droit chemin. Sous peine de mettre les binationaux dans le premier avion ? Et pourquoi pas !
Si cette « équipe de France » a bien un point commun avec la France daujourdhui, cest quelle symbolise, même pas de façon caricaturale, juste réelle, comme dans un documentaire, la déliquescence de ce pays. « On voit lesprit de la cité se laisser dévorer par lesprit des cités », a très justement analysé Alain Finkielkraut. Nous ajouterons que parler de communautarisme est déjà avoir une étape de retard. Cest être resté à léquipe « black-blanc-beur » de 1998. En douze ans, les « black » ont pris le pouvoir. Absolu. Les Noirs, parce quils sont noirs et sans aucune autre justification, ont éliminé les « Rebeus ». Puis les derniers Blancs. Yoann Gourcuff, le meilleur joueur français actuel ? Sur le banc ! Les Noirs ont viré les Blancs pour la coupe du monde au pays de lapartheid. Quel symbole !
Après quoi, les Noirs se seraient battus entre eux pour de sombres (forcément) histoires dorigine. Les Africains contre les Antillais. Encore une chance quil ny ait pas de Hutus et de Tutsis dans léquipe, ça serait fini dans un bain de sang. Quoique Ça aurait fait de la place pour des joueurs de football, des vrais, et ça aurait permis de traduire quelques barbares devant un tribunal international. Des deux côtés, ça faisait place nette, par exemple pour Gourcuff, « mis à lamende comme les premiers de la classe dans certains quartiers des banlieues » (Zemmour).
Anelka ou Sarkozy : la même engeance
Finkielkraut a réclamé que tous les joueurs de l« équipe de France » subissent « impérativement et immédiatement » le même sort quAnelka, cest-à-dire quils soient tous virés pour sêtre solidarisés avec lui et avoir fait la grève de lentraînement. Et que la France déclare forfait. Bien daccord avec lui, mais impossible à réaliser. Pour cela, il faudrait que la France de 2010 celle d« en haut », celle qui est au pouvoir ne soit pas de la même engeance que cette racaille. Quelle ne parle pas le même langage parce quelle a les mêmes références « culturelles » : paraître, frimer, gagner du fric en se foutant de la France et des Français comme de son premier mandat de conseiller général. Le : « Va te faire enculer, sale fils de **** ! », de Nicolas Anelka nest pas pire que le « Casse-toi pauv *** ! » de Nicolas Sarkozy. Dans les deux cas, le même mépris, le même sentiment de supériorité, le même dédain pour le peuple, celui qui vote et qui supporte et fait lun et lautre de moins en moins.
http://fr.novopress.info/61689/les-bleus-le-karcher-pour-cette-racaille-par-jean-marie-molitor/
Cest Eric Zemmour, une fois de plus, qui, lundi matin sur RTL, a trouvé la meilleure formule : « Chez ces gens-là, la France, cest un pays de bouffons », a conclu le chroniqueur à lissue dun très sévère réquisitoire contre cette « équipe de France » dont on voyait déjà quelle nétait plus « de France » et dont on sait maintenant quelle nest même pas une « équipe ». Elle nest quune bande, une « bande de voyous qui ne connaît quune seule morale, celle de la mafia », selon lexpression du philosophe Alain Finkielkraut dimanche sur Europe 1, et même « une bande de onze petites frappes », selon lexpression du même Finkielkraut lundi sur France Inter. Une bande de « voyous milliardaires » (Finkielkraut), menée par un « caïd de bac à sable » (Zemmour), Franck Ribéry, le converti à lislam sous le nom de Bilal Yusuf Mohammed qui nous fait profiter de sa foi à chaque fois quil entre sur le terrain et confond tirs aux buts et tirs aux *****, tandis que sa femme Wahiba (la légitime) se pavane avec un t-shirt marqué dun « Yes we can ! » obamesque aux couleurs de lAlgérie.
Hutus contre Tutsis, la prochaine étape ?
Le déjà mythique Eric Cantona avait prévenu, il y a longtemps déjà, que Raymond Domenech était le « plus mauvais » entraîneur que la France ait connu « depuis Louis XVI ». Et ce nétait pas gentil pour Louis XVI, qui, lui au moins, est resté digne jusquà son dernier souffle, quand Domenech, pitoyable petit animateur socio-*** à la tête aussi enflée que son compte en banque, sest fait un peu plus larve encore en se faisant le porte-parole de ceux qui le prennent pour une *****.
Comment ne pas faire le rapprochement entre léquipe de France sous Domenech et lEducation nationale depuis Mai 68, et particulièrement ces dernières années ? Même incapacité des profs/entraîneurs à asseoir leur autorité (ou même refus de le faire), même lâcheté de la hiérarchie, même démission de tous les pouvoirs devant de petites frappes que quelques coups de pied au *** et quelques sanctions, qui, dans le cas des Bleus, seraient dabord financières, puisque cest là que ça leur fait le plus mal remettraient dans le droit chemin. Sous peine de mettre les binationaux dans le premier avion ? Et pourquoi pas !
Si cette « équipe de France » a bien un point commun avec la France daujourdhui, cest quelle symbolise, même pas de façon caricaturale, juste réelle, comme dans un documentaire, la déliquescence de ce pays. « On voit lesprit de la cité se laisser dévorer par lesprit des cités », a très justement analysé Alain Finkielkraut. Nous ajouterons que parler de communautarisme est déjà avoir une étape de retard. Cest être resté à léquipe « black-blanc-beur » de 1998. En douze ans, les « black » ont pris le pouvoir. Absolu. Les Noirs, parce quils sont noirs et sans aucune autre justification, ont éliminé les « Rebeus ». Puis les derniers Blancs. Yoann Gourcuff, le meilleur joueur français actuel ? Sur le banc ! Les Noirs ont viré les Blancs pour la coupe du monde au pays de lapartheid. Quel symbole !
Après quoi, les Noirs se seraient battus entre eux pour de sombres (forcément) histoires dorigine. Les Africains contre les Antillais. Encore une chance quil ny ait pas de Hutus et de Tutsis dans léquipe, ça serait fini dans un bain de sang. Quoique Ça aurait fait de la place pour des joueurs de football, des vrais, et ça aurait permis de traduire quelques barbares devant un tribunal international. Des deux côtés, ça faisait place nette, par exemple pour Gourcuff, « mis à lamende comme les premiers de la classe dans certains quartiers des banlieues » (Zemmour).
Anelka ou Sarkozy : la même engeance
Finkielkraut a réclamé que tous les joueurs de l« équipe de France » subissent « impérativement et immédiatement » le même sort quAnelka, cest-à-dire quils soient tous virés pour sêtre solidarisés avec lui et avoir fait la grève de lentraînement. Et que la France déclare forfait. Bien daccord avec lui, mais impossible à réaliser. Pour cela, il faudrait que la France de 2010 celle d« en haut », celle qui est au pouvoir ne soit pas de la même engeance que cette racaille. Quelle ne parle pas le même langage parce quelle a les mêmes références « culturelles » : paraître, frimer, gagner du fric en se foutant de la France et des Français comme de son premier mandat de conseiller général. Le : « Va te faire enculer, sale fils de **** ! », de Nicolas Anelka nest pas pire que le « Casse-toi pauv *** ! » de Nicolas Sarkozy. Dans les deux cas, le même mépris, le même sentiment de supériorité, le même dédain pour le peuple, celui qui vote et qui supporte et fait lun et lautre de moins en moins.