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Assistanat : un mythe qui ronge la solidarité
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[QUOTE="Sanid, post: 14877288, member: 907"] La suite Les aides sociales sont des droits, pas des privilèges Autre sujet abordé par le court-métrage : le non recours aux prestations sociales par des personnes qui y ont pourtant droit. 60 à 70% des personnes qui pourraient bénéficier de l’aide au paiement d’une complémentaire santé ne la demandent pas. La moitié des personnes en situation de percevoir le RSA ne le demande pas. Dans son dernier rapport, le Secours catholique explique que chez les étrangers les taux non-recours sont nettement plus élevés que parmi les Français. « Le manque d’information, ou une moindre maîtrise du français expliquent vraisemblablement ces écarts. Le taux élevé de non-recours des étrangers tend aussi à démontrer que contrairement à certaines idées reçues, ceux-ci ne viennent pas en France pour bénéficier de prestations sociales mais pour d’autres motivations. » « Ces aides sont des droits, et non des privilèges, insiste Nina Schmidt, de l’observatoire des inégalités [2]. Ils sont inscrits dans notre Constitution. » Les personnes pauvres ne sont pas les seules à bénéficier de la solidarité nationale. Du côté de l’éducation, les enfants de cadres en jouissent largement. « À l’université, pour l’ensemble des filières, les enfants de cadres sont trois fois plus présents que les enfants d’ouvriers et plus on s’élève dans les années, moins les jeunes de milieux populaires sont présents. Dans les classes préparatoires et les écoles d’ingénieurs, c’est huit fois plus. Dans les écoles normales supérieures, les enfants de cadres sont vingt fois plus représentés que ceux d’ouvriers », décritl’observatoire des inégalités. Et si, plutôt que de pointer du doigt des populations déjà affaiblies, on assumait les besoins de solidarité ?, proposent les auteurs de « Assistanat : un mythe qui ronge la solidarité ». [/QUOTE]
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