tizniti
Soyons sérieux .
Souvent considéré comme tabou, les fantasmes n’ont pourtant rien de honteux. Il est tout à fait naturel et sain d’en avoir. Petite fenêtre sur l’excitation, ils sont nécessaires à la vie de tous les jours.
A chaque personne ses fantasmes, car pour chaque individu, l’excitation sexuelle emprunte des chemins différents. Ainsi les fantasmes des autres peuvent vous laisser de marbre, et inversement. De plus chacun possède un fantasme qui l’excite tout particulièrement, qui réveille à coup sûr son imaginaire érotique. Les origines de ce « fantasme numéro un » sont souvent enracinées dans l’enfance.
Assumer ses fantasmes
Soft ou un peu plus hard, quelle que soit la nature du fantasme il n’y a pas à en rougir. Aucun fantasme n’est pervers, car dans l’imaginaire tout est permis ; c’est un lieu qui ne connaît pas de limite, contrairement au réel. De plus, fantasmer sur une situation ne signifie pas pour autant vouloir la réaliser. On peut éprouver de l’excitation à la pensée d’un scénario tout en étant conscient que dans la réalité, celui-ci ne nous apporterait aucun plaisir, voir nous dégoûterait. Et contrairement aux idées reçues, les fantasmes ne naissent pas par peur d’assumer ses désirs, ils ne traduisent pas notre nature profonde. Par exemple, ce n’est pas parce que l’on fantasme sur une relation homosexuelle que l’on est un homosexuel ou un bisexuel refoulé…
Les assumer ou en avoir honte?
A chaque personne ses fantasmes, car pour chaque individu, l’excitation sexuelle emprunte des chemins différents. Ainsi les fantasmes des autres peuvent vous laisser de marbre, et inversement. De plus chacun possède un fantasme qui l’excite tout particulièrement, qui réveille à coup sûr son imaginaire érotique. Les origines de ce « fantasme numéro un » sont souvent enracinées dans l’enfance.
Assumer ses fantasmes
Soft ou un peu plus hard, quelle que soit la nature du fantasme il n’y a pas à en rougir. Aucun fantasme n’est pervers, car dans l’imaginaire tout est permis ; c’est un lieu qui ne connaît pas de limite, contrairement au réel. De plus, fantasmer sur une situation ne signifie pas pour autant vouloir la réaliser. On peut éprouver de l’excitation à la pensée d’un scénario tout en étant conscient que dans la réalité, celui-ci ne nous apporterait aucun plaisir, voir nous dégoûterait. Et contrairement aux idées reçues, les fantasmes ne naissent pas par peur d’assumer ses désirs, ils ne traduisent pas notre nature profonde. Par exemple, ce n’est pas parce que l’on fantasme sur une relation homosexuelle que l’on est un homosexuel ou un bisexuel refoulé…
Les assumer ou en avoir honte?