Lenseignante suspendue et Mohamed Merah :
« Aucune minute de silence n'a été organisée »
Le lendemain de la suspension dune enseignante dun lycée à Rouen, en France,
pour un « hommage » à Mohamed Merah,
lauteur de plusieurs tueries, laffaire ne semble pas être close.
Des collègues à la « suspendue » sont montés au créneau.
Dans un communiqué de presse, publié ce dimanche sur le site du lycée,
les enseignants ont tenus à préciser quil y avait des « approximations et un mensonge » dans la manière avec laquelle l «affaire » avait été traitée médiatiquement.
« Aucune minute de silence n'a été organisée dans cette classe »
est le mensonge principal selon eux.
Dans le communiqué il y est précisé que
« dans un contexte émotionnel très sensible, des échanges verbaux entre une enseignante et sa classe ont été divulgués instantanément par un parent d'un élève de la classe, publiés immédiatement et sans vérification par organe de presse.
L'identité de la collègue a été révélée».
Dans le même communiqué, les enseignants ont indiqué que
« si des maladresses ont été commises, elles sont regrettables mais
nous pensons qu'elles ne sont motivées par aucune volonté de prosélytisme,
ni présupposé ou arrière-pensée politique
Liberté
« Aucune minute de silence n'a été organisée »
Le lendemain de la suspension dune enseignante dun lycée à Rouen, en France,
pour un « hommage » à Mohamed Merah,
lauteur de plusieurs tueries, laffaire ne semble pas être close.
Des collègues à la « suspendue » sont montés au créneau.
Dans un communiqué de presse, publié ce dimanche sur le site du lycée,
les enseignants ont tenus à préciser quil y avait des « approximations et un mensonge » dans la manière avec laquelle l «affaire » avait été traitée médiatiquement.
« Aucune minute de silence n'a été organisée dans cette classe »
est le mensonge principal selon eux.
Dans le communiqué il y est précisé que
« dans un contexte émotionnel très sensible, des échanges verbaux entre une enseignante et sa classe ont été divulgués instantanément par un parent d'un élève de la classe, publiés immédiatement et sans vérification par organe de presse.
L'identité de la collègue a été révélée».
Dans le même communiqué, les enseignants ont indiqué que
« si des maladresses ont été commises, elles sont regrettables mais
nous pensons qu'elles ne sont motivées par aucune volonté de prosélytisme,
ni présupposé ou arrière-pensée politique
Liberté