Une augmentation de 600 000 chômeurs en 3 ans, une hausse d'impôts de 90 milliards d'euros

Après une augmentation de 600 000 chômeurs en 3 ans, une hausse d'impôts de 90 milliards d'euros sur la même période, François Hollande est d'ores et déjà dans l'impossibilité de présenter un bilan positif d'un point de vue économique de son quinquennat. Pourtant, il compte sur une inversion de la tendance pour soutenir le bien-fondé de son action.
Atlantico : Quelle valeur donner à la tendance économique au moment précis des élections finales par rapport à un bilan net négatif d'un quinquennat auprès des électeurs ?Jérôme Fourquet : La stratégie de François Hollande est effectivement basée sur un pari : celui d'une inversion de la courbe et du démarrage d'un nouveau cercle économique vertueux. On sait que le Président est adepte de la théorie des cycles et pense qu'après quelques années de vache maigre, les astres devraient s'aligner et la croissance économique (sur le plan mondial) devrait repartir. Politiquement, il pense pouvoir en profiter.
PS: Beaucoup plus et c'est pas fini .
 
le mou a annoncé officiellement une baisse d'impôts en 2016

rien d'étonnant, les élections approchent et il fait comme ses prédécesseurs, même si la France croule sous les dettes.
d'ailleurs le champion de la dette ça reste le nain, mais lui on sait quand on aime l'argent on ne compte pas.
 

abdoo

Like me I'm famous
VIB
La tendance ne pourra que s'inverser à moment... On sera descendu si bas qu'il y aura un rebond, c'est mécanique... mais la dette sera telle qu'une restructuration et des années de sacrifice seront inévitables...
Les responsables ne sont pas forcément les politiques mais bien les français, qui exigent des réformes mais sans vouloir en supporter les conséquences directes, indirectes, ou même potentielles... du coup les réformes sont tellement édulcorées qu'elles ne font que créer des problèmes supplémentaires
 
certains ne font même plus d'effort pour trouver un travail même quand il y en a, quand on t'enlève 7 mois de salaire net/12 mois tous impôts confondus, pourquoi les salaires moyens devraient travailler ?

c'est les salaires trop bas le problème dans ce pays !
augmenter les salaires couper les aides sociales pour faire baisser la natalité et arrêter d'assister les profiteurs d'en bas.

quant au profiteurs d'en haut, suffit de bien voter.
 

droitreponse

Initium ut esset homo creatus est
Nan mais avec des posts comme ça tout le monde déprime , c'est pas bon pour l'économie et du coup les impôts et le chômage vont augmenter en 2016.
Faut arrêter là
 
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droitreponse

Initium ut esset homo creatus est
certains ne font même plus d'effort pour trouver un travail même quand il y en a, quand on t'enlève 7 mois de salaire net/12 mois tous impôts confondus, pourquoi les salaires moyens devraient travailler ?

c'est les salaires trop bas le problème dans ce pays !
augmenter les salaires couper les aides sociales pour faire baisser la natalité et arrêter d'assister les profiteurs d'en bas.

quant au profiteurs d'en haut, suffit de bien voter.
Faire baisser la natalité c'est pas bon ça pour l'économie .
 

droitreponse

Initium ut esset homo creatus est
La tendance ne pourra que s'inverser à moment... On sera descendu si bas qu'il y aura un rebond, c'est mécanique... mais la dette sera telle qu'une restructuration et des années de sacrifice seront inévitables...
Les responsables ne sont pas forcément les politiques mais bien les français, qui exigent des réformes mais sans vouloir en supporter les conséquences directes, indirectes, ou même potentielles... du coup les réformes sont tellement édulcorées qu'elles ne font que créer des problèmes supplémentaires
Ça va être long alors au vu des courbes de PIB la chute est trop lente, on en a pour 10 ans.
Le dette française a bondi de 50% depuis 2008, donc est ce tant que ça la faute des français ?
Ou est ce un transfert massif de pertes privées vers de la dette publique ?
Quant à la dette vous pensez que les us vont restructurer ?
 

droitreponse

Initium ut esset homo creatus est
le mou a annoncé officiellement une baisse d'impôts en 2016

rien d'étonnant, les élections approchent et il fait comme ses prédécesseurs, même si la France croule sous les dettes.
d'ailleurs le champion de la dette ça reste le nain, mais lui on sait quand on aime l'argent on ne compte pas.
Non non baisse d'impôt si il y a delà croissance . On peut lui reprocher pas mal de trucs mais il a arrêté de raser gratis .
 

Yoel1

VIB
Il fait encourager l'immigration.

Même sous forme de boutade , tu as raison il y a en France à minima 500 000 emplois non pourvus (sous payés, difficiles , etc) que AUCUN français ne veut faire
http://www.lemonde.fr/les-decodeurs...ion-d-emplois-en-attente_4617775_4355770.html
Pour les plus vieux rappelez vous qu'avant 76 (merci Pascua) les Marocains faisaient les saisons , mes amis d'aujourd'hui marocains partaient en France 2 à 3 mois par ans en France pour être saisonnier (agriculture, serveur, maçon, etc)
Et sans contrat d'embauche sinon le système est biaiser ..toutes irrégularité à cette règle = expulsion

Nous , n’arrêterons jamais les flux migratoires c'est une utopie !

@droitreponse,
 
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Même sous forme de boutade , tu as raison il y a en France à minima 500 000 emplois non pourvus (sous payés, difficiles , etc) que AUCUN français ne veut faire
http://www.lemonde.fr/les-decodeurs...ion-d-emplois-en-attente_4617775_4355770.html
Pour les plus vieux rappelez vous qu'avant 76 (merci Pascua) les Marocains faisaient les saisons , mes amis d'aujourd'hui marocains partaient en France 2 à 3 mois par ans en France pour être saisonnier (agriculture, serveur, maçon, etc)
Et sans contrat d'embauche sinon le système est biaiser ..toutes irrégularité à cette règle = expulsion

Nous , n’arrêterons jamais les flux migratoires c'est une utopie !

@droitreponse,

500.000 emplois non pourvu et des millions de chômeurs, et pour toi la solution est de faire venir des gens qui pour la plupart ne parlent pas le français ? Tu ne crois pas qu'il y a des solutions plus simples...? Moi si.
 

droitreponse

Initium ut esset homo creatus est
Même sous forme de boutade , tu as raison il y a en France à minima 500 000 emplois non pourvus (sous payés, difficiles , etc) que AUCUN français ne veut faire
http://www.lemonde.fr/les-decodeurs...ion-d-emplois-en-attente_4617775_4355770.html
Pour les plus vieux rappelez vous qu'avant 76 (merci Pascua) les Marocains faisaient les saisons , mes amis d'aujourd'hui marocains partaient en France 2 à 3 mois par ans en France pour être saisonnier (agriculture, serveur, maçon, etc)
Et sans contrat d'embauche sinon le système est biaiser ..toutes irrégularité à cette règle = expulsion

Nous , n’arrêterons jamais les flux migratoires c'est une utopie !

@droitreponse,
Au sujet du mythe des emplois non pourvus :

http://www.monde-diplomatique.fr/2015/02/CLOUET/52623

Ce mythe est largement relayé par le MEDEF on se demande pourquoi :rolleyes:
 
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droitreponse

Initium ut esset homo creatus est
Même sous forme de boutade , tu as raison il y a en France à minima 500 000 emplois non pourvus (sous payés, difficiles , etc) que AUCUN français ne veut faire
http://www.lemonde.fr/les-decodeurs...ion-d-emplois-en-attente_4617775_4355770.html
Pour les plus vieux rappelez vous qu'avant 76 (merci Pascua) les Marocains faisaient les saisons , mes amis d'aujourd'hui marocains partaient en France 2 à 3 mois par ans en France pour être saisonnier (agriculture, serveur, maçon, etc)
Et sans contrat d'embauche sinon le système est biaiser ..toutes irrégularité à cette règle = expulsion

Nous , n’arrêterons jamais les flux migratoires c'est une utopie !

@droitreponse,
Pour ma part je n'ai JAMAIS dit que nous arrêterions les flux migratoires :timide:
Mon pays accueille en moyenne 150000 migrants par an dont près de 100000 africains , pas de souci .

https://www.ined.fr/fr/tout-savoir-population/chiffres/france/flux-immigration/annee-continent/
http://territoires2040.datar.gouv.fr/spip.php?article212

Cependant vous remarquerez que les entrées "travailleur" sont faibles :

http://www.insee.fr/fr/ffc/docs_ffc/ref/immfra05ee.PDF
 
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droitreponse

Initium ut esset homo creatus est
De toute façon avec les avancées en matière de robotique, le chomage n'est pas prêt de diminuer. Il est plus simple et moins coûteux de faire appel aux machines, qui ne se plaignent pas et ne font pas grève.
Vous êtes déprimant . Sauf que produire pour personne est une activité déficitaire .
La logique voudrait que les gains de productivité permettent de diminuer le temps de travail.
Un homme qui ne travaille pas consomme
 
Vous êtes déprimant . Sauf que produire pour personne est une activité déficitaire .
La logique voudrait que les gains de productivité permettent de diminuer le temps de travail.
Un homme qui ne travaille pas consomme
Exactement. Ce serait le début d'une société idéale ou les tâches fastidieuses seraient confiées aux robots. Nous y arriverons, ce n'est pas utopique.
 

droitreponse

Initium ut esset homo creatus est
Exactement. Ce serait le début d'une société idéale ou les tâches fastidieuses seraient confiées aux robots. Nous y arriverons, ce n'est pas utopique.
De toute façon les emplois sont d'ores et déjà des emplois de service. Le robot permet de ne pas délocaliser certaines industries dans des pays à main d'œuvre peu coûteuse , et par la même de recréer des emplois de service autour ( et conserver une balance commerciale correcte ). Le robot et donc l'investissement peut donc être synonyme d'emplois en France .
Attention aux raccourcis

Les initiatives du pays de Nao ( même s'il est maintenant japonais ) :

http://www.entreprises.gouv.fr/file...strie/robotique/france-robots-initiatives.pdf

http://www.lenouveleconomiste.fr/lesdossiers/vous-avez-dit-reindustrialisation-15096/


Avec deux fois moins de robots industriels installés par rapport à l'Italie et près de quatre fois moins qu'en Allemagne, la France fait figure de mauvais élève, en dépit d'une recherche en robotique très performante. Pourtant, rénover les moyens de production des PME et PMI hexagonales est crucial pour redynamiser l'industrie et éviter les délocalisations massives. Avec des concepts tels que la réindustrialisation, le “Made in France” et la relocalisation qui infusent lentement mais sûrement, les politiques publiques, à travers les collectivités territoriales et des programmes facilitant le financement de l'innovation, s'investissent pour soutenir l'industrie et la robotique. Le jeu en vaut la chandelle.
L'industrie est bel et bien revenue sur le devant de la scène. Le défi de la réindustrialisation a occupé une place de choix lors de la campagne présidentielle française, notamment avec la fermeture d'usines telles que la raffinerie de Petit-Couronne ou encore Lejaby. Après les mots, les actes. La création d'un ministère du “Redressement productif” est une première réponse concrète et symbolique, l'austérité de son intitulé étant à la hauteur de la tâche qui attend Arnaud Montebourg. Objectif affiché par le chantre de la démondialisation : reconquérir les emplois industriels détruits au moyen d'une banque publique d'investissement et d'une politique fiscale plus avantageuse pour les PME. Il ne va pas manquer de travail.
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Une recherche de haut niveau
En janvier 2012, la nomination de Jean-Paul Laumond, directeur de recherches du CNRS au LAAS (Laboratoire d'analyse et d'architecture des systèmes), en qualité de titulaire de la chaire d'innovation technologique au Collège de France est un signe fort, d'autant plus que la robotique fête ses cinquante ans. “C'est la reconnaissance de la robotique, pas seulement comme une technologie qui commence à envahir notre quotidien, mais comme un champ scientifique à part entière, distinct de l'informatique ou des technologies de la communication, précise l'intéressé. Ce que je présente au Collège de France rend compte d'un savoir en train de se constituer.”

Fondé en 2007 à l'initiative du CNRS, le GDR (Groupement de recherche robotique) associe une soixantaine de laboratoires, un millier de chercheurs, des grandes écoles et des universités. La preuve de “l'excellence de notre filière de recherche en robotique, c'est qu'elle produit 8 % de la publication mondiale, alors que la moyenne est de 4 % dans les autres secteurs” précise Catherine Simon. Au niveau quantitatif ou qualitatif, la recherche publique française est donc une véritable mine d'or, internationalement reconnue et enviée dans le domaine de la robotique humanoïde, notamment au Japon. “Les sociétés nippones sont très demandeuses du savoir-faire et de l'expertise française, assure Petra Koudelkova Delimoges, coordinatrice de projet chez Aldebaran Robotics. Elles n'hésitent pas à solliciter les laboratoires français comme le CNRS pour collaborer avec elles.” Mais si la recherche est très performante, le passage à la phase industrielle et sa concrétisation économique sont plus compliqués.

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Un prérequis à la non-délocalisation
Moderniser les outils de production des PME au moyen de la robotisation apparaît comme une solution crédible pour maintenir les activités industrielles sur le territoire français. “Pour ce qui est de la robotisation industrielle des grands groupes, nous sommes trop en retard, avance Catherine Simon. Les productions ont été délocalisées et nous avons perdu notre gros tissu de production industrielle au profit de la Chine et d'autres pays d'Europe. Il faut saisir cette nouvelle vague de robotisation des PME afin qu'elles gagnent en compétitivité et ne se délocalisent pas.” Depuis 2005, Robotcaliser œuvre dans ce sens.

Son credo ? “Robotiser pour ne pas délocaliser”. A l'origine, cette action de communication à l'initiative du Symop avait pour but de sensibiliser l'ensemble des acteurs de la robotique et les pouvoirs publics sur le retard des PME et PMI françaises au niveau de la robotisation, et des répercussions néfastes sur la productivité du tissu industriel hexagonal. L'idée était aussi de battre en brèche quelques clichés bien ancrés : “Non, la robotique n'est pas réservée aux grands groupes et aux grands donneurs d'ordres, et non, ce n'est pas si compliqué et si coûteux à mettre en œuvre, détaille Vincent Schramm. Depuis une quinzaine d'années, le prix des robots a continuellement baissé. Actuellement, c'est 40 000 euros, ce qui, pour un investissement industriel, n'est pas si important. Pour une cellule globale, il faut multiplier le prix par trois.”

Un investissement qui, s'il paraît lourd, permet le maintien des activités sur le territoire national. Voire des relocalisations : du fabricant de jouets Meccano à celui de matériel de ski Rossignol, en passant par les opticiens Atol, tous ont fait le pari de rentrer au pays tout en automatisant leurs outils de production au moyen de robots. Une question qui se pose avec insistance à partir du moment où les pays comme la Chine, en plus de jouir d'un avantage concurrentiel en termes de coûts salariaux, se lancent dans la robotisation de leurs outils de production. Pour inciter les entreprises à se rapatrier et donner un nouveau souffle à la production industrielle française, l'Etat a mis la main à la poche. En juillet 2010, dans le cadre du Grand emprunt, le gouvernement Fillon a lancé un dispositif de relocalisation de 200 millions d'euros qui permet aux PME souhaitant se réinstaller en France d'être financées à hauteur de 60 % de leur investissement.
 
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droitreponse

Initium ut esset homo creatus est
http://www.usinenouvelle.com/article/bilbo-le-robot-qui-veut-reindustrialiser-la-france.N243415

Pour cette nouvelle tribune, le président de la CFE-CGC Métallurgie Gabriel Artero prend le pari que la réindustrialisation peut se faire grâce à la montée en puissance de la robotisation à condition que celle-ci soit accompagnée. En n’opposant plus homme et robot dans les logiques industrielles.
Bilbo prend son poste dès potron-minet ce lundi matin. C’est un employé sans histoire. Il obéit aux exigences de son employeur sans rechigner : il passera l’aspirateur dans les moindres recoins, il repassera et surveillera les alentours de la maison. A l’usine, travailleur modèle, il agit avec dextérité et précision pour les travaux les plus exigeants et les plus difficiles. Il ne fait jamais grève, obéit aux ordres de son chef d’équipe et sait dire merci ! Bilbo n’est pas un humain, mais un humanoïde. Robot évolué, Bilbo est même capable "d’apprendre" de son environnement. La fiction, peu à peu, fait place à la réalité !

34 500 robots

Robin Rivaton, consultant au sein de la fondation Fondapol, dans son étude "Relancer notre industrie par les robots", indique que la France a connu une position très forte de son parc d’automatisation et de robotisation dans les années 1990. Pourtant, elle n’a cessé, durant ces dernières années, de perdre du terrain.

Ses 34 500 robots avec une moyenne d’âge élevée sont à comparer aux 62 000 de l’Italie, aux 150 000 de l’Allemagne. Le Japon, la Corée du Sud, l’Allemagne et même l’Italie, eux, ont bien compris la nécessité de robotiser leur outil industriel. Cette approche, loin de fragiliser l’emploi comme on pourrait le penser à priori, peut, au contraire, si on le rapporte à la part de l’industrie dans le secteur marchand et à la densité de son parc de robotisation, le favoriser. Comme le note Etienne Dombres, directeur de recherche au CNRS, "la robotique figure parmi les secteurs d’activité qui vont le plus se développer dans les décennies à venir".

Des robots humanoïdes

Filière d’avenir mise en avant par le ministère du redressement productif à travers le plan France Robots initiatives, la robotique est au croisement des secteurs de l’électronique, du logiciel embarqué, de l’intelligence artificielle… et va s’emparer de tous les domaines de l’agriculture à la santé en passant bien sûr par l’industrie.

Nous sortons de l’ère de l’automatisation pour rentrer dans celle des robots intelligents, à l’image d’Airbus qui vient d’introduire le premier robot humanoïde collaboratif, dans son usine de Puerto Real près de Cadix (Espagne). Une robotique appliquée à l’industrie serait-elle alors le remède à la destruction des emplois ? Homme ou robot, cette dualité n’est pas paradoxale pour autant.

Dans la filière automobile par exemple, la plateforme - qui a pour mission de définir et mener les actions contribuant au renforcement de la filière automobile française - fait de la robotisation l’une des voies d’amélioration et de la consolidation de la productivité du secteur de la sous-traitance.

Les PME-PMI n’auraient-elles pas, elles aussi, intérêt à s’équiper d’un parc robotique performant ? La faiblesse d’acteurs industriels en robotique constaté sur notre territoire ne doit pas être un frein pour se lancer ce défi. Bien au contraire, car les laboratoires français occupent le troisième rang mondial en termes de publications. Il faut donc renforcer les espaces de R&D afin de traduire l’excellence française des acteurs du domaine pour une technologie industrielle appliquée. En un mot, rapprocher l’académique du pratique.

Homme et robot réconciliés

La montée en puissance de la robotisation changera, à coup sûr, les logiques de production. Elle peut inquiéter par le risque de destructions d’emplois peu qualifiés. Mais n’est-ce pas là le pari d’une transition vers une industrie à plus forte valeur ajoutée ? Comme toujours, elle doit s’accompagner en douceur. Des formations de plus en plus qualifiantes ou une gestion des emplois et des compétences maîtrisée en sont les clés.

Dès lors que, sur l’autel de la ré-industrialisation, l’homme et le robot ne s’opposeront plus, alors nous pourrons franchir de nouveaux espaces. La "cobotique", cette robotique collaborative à la frontière entre les sciences cognitives (description du comportement), de la biomécanique (modélisation du comportement) et de la robotique (production de comportement) aura alors toute sa place.

Répondant ainsi à des solutions industrielles innovantes, pour des tâches difficiles et pénibles, nous pourrons alors voir cohabiter l’homme et le robot, dans un même environnement industriel.

Gageons que la France a le moyen de gagner ce pari !
 
La tendance ne pourra que s'inverser à moment... On sera descendu si bas qu'il y aura un rebond, c'est mécanique... mais la dette sera telle qu'une restructuration et des années de sacrifice seront inévitables...
Les responsables ne sont pas forcément les politiques mais bien les français, qui exigent des réformes mais sans vouloir en supporter les conséquences directes, indirectes, ou même potentielles... du coup les réformes sont tellement édulcorées qu'elles ne font que créer des problèmes supplémentaires
Rien a voir a partir du moment on la france emprunte ses depencces avec interets depuis 1973 ses interets d emprunt ne font qu augmenter ca c est un et deux les politiques ne decide de rien c est l economie qui decide c a dire les banques et les marchés financier le reste c est que bla bla,
quel rebond mecanique de quoi tu parle, y aura jamais de rebond mais une explosion de tout le systeme car c est impossible ni de stopper ni l augmentation du chomage, ni de stopper les interets de la dette qui augmente a chaque seconde, moi je pense que il faudra un guerre pour remettre les compteurs a zero en faite y a pas d autre solution pour faire un reset non local mais mondial
 
ah oui tu va les créer comment ? il faut des bases pour créer des emploi, il faut que les banques prête, il faut des clients car si personne n achete ton produit ca sert a rien, c est bien de dire faut des emploi c est un esprit simpliste ca.
c'est beaucoup plus simple que ce que l'on croit, faut juste s'en donner les moyens et que chacun fasse sa part du travail
 
c'est beaucoup plus simple que ce que l'on croit, faut juste s'en donner les moyens et que chacun fasse sa part du travail
tu as bien dis se donner les moyens, tu va quoi aller obliger les marchés financiers et les banque a te donner de l argent, donne nous ton idée, donne un exemple comment produire des emplois et faire travailler les millions de chomeurs,
 
tu as bien dis se donner les moyens, tu va quoi aller obliger les marchés financiers et les banque a te donner de l argent, donne nous ton idée, donne un exemple comment produire des emplois et faire travailler les millions de chomeurs,
c'est simple, déjà on annule les dettes de tout les pays
ensuite, on annule toute les dettes des gens
et ensuite, les banques fournissent un certain quota d'argent pour qu'on ouvre des industries et on embauche les gens
cela va engendrer du travail, de l'argent, des achats

et le monde est sauvé
 
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