Un avatar - un tableau

panseur

Belle vie, les gens !
La nature morte aux tournesols de Van gogh...

Ce tableau m'a tjs parlé, "ressemblé"...

Entre floraison et flétrissement. Entre bourgeons et éclosions. Entre jeune fleurissement et parfois amère maturité...

Et tjs tournée vers le ciel... le soleil...
 

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Léonard de Vinci avait déjà tout expliqué dans ses "Carnets":

"Fais d'abord les os, c'est-à-dire les bras, et montre la puissance motrice en allant de l'épaule au coude, dans toutes ses lignes; puis du coude au bras; puis du bras à la main et de la main aux doigts. Pour le bras, indique, à part, comment les doigts s'ouvrent. Dans la démonstration suivante, montre ces muscles habillés, avec les seconds mouvements digitaux; procède par étapes, pour être précis. Place d'abord sur les os les muscles qui s'y rattachent sans les confondre avec d'autres; joins-y les veines et nerfs qui les nourrissent, après avoir figuré l'arbre des veines et nerfs sur les simples os."
 

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Jean-Jacques Henner (1829-1905) a été un grand peintre romantique, prix de Rome 1858. Il s'est illustré par le modelé, les ombres et lumières de sa peinture.

"L'alsace" et ses nymphes rousses sont ses oeuvres les plus remarquées ainsi que de nombreuses oeuvres religieuses.
 
Suite à un échange avec Elhout : Guernica


Créé en quelques semaines par Pablo Picasso, sur commande des républicains pour le pavillon Espagnol de l'Exposition universelle de Paris de 1937 (dédiée au progrès et à la paix), Guernica exprime la révolte du peintre espagnol. Cette immense toile monochrome est le symbole des horreurs de la guerre, inspiré du bombardement de la ville de Guernica, le 26 avril 1937, pendant la guerre d’Espagne, par l'aviation nazie, alliée de Franco (1600 morts).
 

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Dessins Marcelino Truong

Il avait trois ans en 1960 et il vivait à Saigon. En 1963, le fils de diplomate quitte le pays après l’assassinat d’un président. Adolescent, il découvre à la télévision un pays qu’il ne connaît pas, celui de la guerre, des Américains et des prostituées dans les rues. Il lui faudra attendre d’avoir 34 ans pour revenir pour vers son amour d’enfance. Il retrouve un peu de la famille de son père dans la banlieue de Saigon, cette vie bouillonnante dans la rue, sans volets clos, les vendeurs, les enfants, les vieillards, les femmes, tous mêlés, dans la chaleur des autres. Depuis Marcelino Truong se laisse happer par cette ville, ce pays. Il dessine et peint hors des clichés exotiques de la vieille Indochine coloniale, il nous montre ceux qu’il aime, peuple vivant mais pudique, prude parfois, dans un monde des sentiments codé. Il peint et dessine ces visages d’icône, le culte de la maternité, le bonheur des enfants, la sensualité de la rue, le luxe de la végétation, la caresse lourde de la pluie, une chambre presque nue, une femme endormie, la vitalité du dehors et l’intimité du dedans. Croquis, dessins ou peintures…avec lui, on ne regarde pas seulement le Vietnam, pays magique, on le vit.
 

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Un petit faible pour les angelots nus de Francesco Albani !

Francesco Albani est un peintre italien né à Bologne. Il fut surnommé le Peintre des Grâces.

On dit que, marié à une fort belle femme, qui lui donna douze enfants également remarquables par leur beauté, il trouva dans sa propre famille ses plus beaux modèles.
 

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