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Le commentaire de l'épreuve de français des séries S et ES a lui aussi donné du fil à retordre aux candidats.
Un texte de Laurent Gaudé, évoquant le « Tigre bleu de l'Euphrate », les a achevés.
Car il ne s'agissait pas d'un animal, mais du fleuve mésopotamien.
Faux : il y a le fleuve, bien sûr, mais dans le bouquin, il y a aussi la magie du tigre bleu
Et sur les réseaux sociaux, l'écrivain Laurent Gaudé est devenu la bête noire de toutes les Premières.
D'autant que certains d'entre eux se sont souvenus que, déjà, Gaudé les avait torturés lors de leur brevet des collèges.
Quantité d'autres complaintes fleurissaient sur les autres sujets du bac, par exemple l'absence de croquis dans l'épreuve d'histoire-géo des terminales ES, qui devaient apprendre une carte complexe de Mumbai.
« On arrive, on pose nos 40 crayons sur la table, pour rien », s'agace Lucie, 17 ans.
« Ne rien répondre. Écrire Je suis Charlie et espérer avoir un correcteur gentil », écrit Clément sur Facebook.
Allez, Clément, on croise les doigts ! Après tout, l'an dernier, 91 % des candidats au bac général ont été reçus.
Consultez notre dossier : Spécial Baccalauréat
Un tigre bleu est devenu le pire cauchemar des élèves de première S et ES lors de leur épreuve du bac français vendredi.
mam
Le commentaire de l'épreuve de français des séries S et ES a lui aussi donné du fil à retordre aux candidats.
Un texte de Laurent Gaudé, évoquant le « Tigre bleu de l'Euphrate », les a achevés.
Car il ne s'agissait pas d'un animal, mais du fleuve mésopotamien.
Faux : il y a le fleuve, bien sûr, mais dans le bouquin, il y a aussi la magie du tigre bleuEt sur les réseaux sociaux, l'écrivain Laurent Gaudé est devenu la bête noire de toutes les Premières.
D'autant que certains d'entre eux se sont souvenus que, déjà, Gaudé les avait torturés lors de leur brevet des collèges.
Quantité d'autres complaintes fleurissaient sur les autres sujets du bac, par exemple l'absence de croquis dans l'épreuve d'histoire-géo des terminales ES, qui devaient apprendre une carte complexe de Mumbai.
« On arrive, on pose nos 40 crayons sur la table, pour rien », s'agace Lucie, 17 ans.
« Ne rien répondre. Écrire Je suis Charlie et espérer avoir un correcteur gentil », écrit Clément sur Facebook.
Allez, Clément, on croise les doigts ! Après tout, l'an dernier, 91 % des candidats au bac général ont été reçus.
Consultez notre dossier : Spécial Baccalauréat
Un tigre bleu est devenu le pire cauchemar des élèves de première S et ES lors de leur épreuve du bac français vendredi.
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