Badou Zaki “Benchikha a réussi à transférer la pression vers le camp marocain”

L'ancien sélectionneur de l'équipe marocaine de football, Badou Zaki, a estimé hier que le coach national, Abdelhak Benchikha, a réussi à transférer la pression vers le camp marocain, après la victoire de l'Algérie face au Maroc (1-0), pour le compte de la 3e journée (Gr D) des éliminatoires de la Coupe d'Afrique des nations CAN-2012.
“En gagnant ce match important, Benchikha a réussi à transférer la pression vers le camp marocain, à deux mois du match de Casablanca. Il a bien géré cette rencontre face à une équipe du Maroc méconnaissable”, a indiqué Badou Zaki à la Radio Algérie Internationale.
Actuel entraîneur du Kawkab Marrakech (Div 1 marocaine), l'ancien gardien de but des Lions de l'Atlas avait dirigé l'équipe du Maroc durant la période 2002-2005. Il a conduit le Maroc pour la finale de la CAN-2004, qui s'est disputée en Tunisie.
Revenant sur le match du 27 mars dernier qui s'est déroulé au stade du 19-Mai 1956 d'Annaba, Badou Zaki a estimé que le Maroc a été déstabilisé dès le penalty sifflé au début de la rencontre par l'arbitre mauricien Rajindraparsad Seechurn.
“Eric Gerets et les joueurs n'ont pas réussi à réagir après l'ouverture du score. Personnellement, je n'ai pas reconnu l'équipe qui manquait de combativité et d'organisation dans le jeu. On a perdu les duels, et surtout les automatismes”, a-t-il ajouté. Badou Zaki pense que la sélection algérienne “mérite amplement” sa victoire qui relance complètement la course pour la qualification. “L'Algérie mérite amplement son succès. Les joueurs ont fait preuve d'une grande envie pour se surpasser, et ils ont fini par avoir le dernier mot. Benchikha pourra désormais préparer le rendez-vous de Casablanca dans les meilleures conditions, contrairement à Gerets qui sera appelé à revoir sa copie”, a-t-il conclu. Le Maroc accueillera l'Algérie, probablement le 4 juin prochain à Casablanca, pour le compte de la 4e journée des éliminatoires. À l'issue de la 3e journée, la Centrafrique occupe la première place du groupe avec 4 pts, grâce à une différence de buts favorable (+1), suivie de la Tanzanie (0), du Maroc (0) et de l'Algérie (-1).
 
L'ancien sélectionneur de l'équipe marocaine de football, Badou Zaki, a estimé hier que le coach national, Abdelhak Benchikha, a réussi à transférer la pression vers le camp marocain, après la victoire de l'Algérie face au Maroc (1-0), pour le compte de la 3e journée (Gr D) des éliminatoires de la Coupe d'Afrique des nations CAN-2012.
“En gagnant ce match important, Benchikha a réussi à transférer la pression vers le camp marocain, à deux mois du match de Casablanca. Il a bien géré cette rencontre face à une équipe du Maroc méconnaissable”, a indiqué Badou Zaki à la Radio Algérie Internationale.
Actuel entraîneur du Kawkab Marrakech (Div 1 marocaine), l'ancien gardien de but des Lions de l'Atlas avait dirigé l'équipe du Maroc durant la période 2002-2005. Il a conduit le Maroc pour la finale de la CAN-2004, qui s'est disputée en Tunisie.
Revenant sur le match du 27 mars dernier qui s'est déroulé au stade du 19-Mai 1956 d'Annaba, Badou Zaki a estimé que le Maroc a été déstabilisé dès le penalty sifflé au début de la rencontre par l'arbitre mauricien Rajindraparsad Seechurn.
“Eric Gerets et les joueurs n'ont pas réussi à réagir après l'ouverture du score. Personnellement, je n'ai pas reconnu l'équipe qui manquait de combativité et d'organisation dans le jeu. On a perdu les duels, et surtout les automatismes”, a-t-il ajouté. Badou Zaki pense que la sélection algérienne “mérite amplement” sa victoire qui relance complètement la course pour la qualification. “L'Algérie mérite amplement son succès. Les joueurs ont fait preuve d'une grande envie pour se surpasser, et ils ont fini par avoir le dernier mot. Benchikha pourra désormais préparer le rendez-vous de Casablanca dans les meilleures conditions, contrairement à Gerets qui sera appelé à revoir sa copie”, a-t-il conclu. Le Maroc accueillera l'Algérie, probablement le 4 juin prochain à Casablanca, pour le compte de la 4e journée des éliminatoires. À l'issue de la 3e journée, la Centrafrique occupe la première place du groupe avec 4 pts, grâce à une différence de buts favorable (+1), suivie de la Tanzanie (0), du Maroc (0) et de l'Algérie (-1).

tout à fait d'accord avec Baddou Zaki!! le maroc n'a pas su réagir derrière son énorme bourde, jeu brouillon, manque d'automatismes pour réellement bousculer l'Algérie, beaucoup de duels perdus,… il ne faut pas oublier que c'est l'Algérie qui vient de participer assez brillamment à la CAF et très honorablement à la CM. Les marocains se voient beau trop vite.
 
L'ancien sélectionneur de l'équipe marocaine de football, Badou Zaki, a estimé hier que le coach national, Abdelhak Benchikha, a réussi à transférer la pression vers le camp marocain, après la victoire de l'Algérie face au Maroc (1-0), pour le compte de la 3e journée (Gr D) des éliminatoires de la Coupe d'Afrique des nations CAN-2012.
“En gagnant ce match important, Benchikha a réussi à transférer la pression vers le camp marocain, à deux mois du match de Casablanca. Il a bien géré cette rencontre face à une équipe du Maroc méconnaissable”, a indiqué Badou Zaki à la Radio Algérie Internationale.
Actuel entraîneur du Kawkab Marrakech (Div 1 marocaine), l'ancien gardien de but des Lions de l'Atlas avait dirigé l'équipe du Maroc durant la période 2002-2005. Il a conduit le Maroc pour la finale de la CAN-2004, qui s'est disputée en Tunisie.
Revenant sur le match du 27 mars dernier qui s'est déroulé au stade du 19-Mai 1956 d'Annaba, Badou Zaki a estimé que le Maroc a été déstabilisé dès le penalty sifflé au début de la rencontre par l'arbitre mauricien Rajindraparsad Seechurn.
“Eric Gerets et les joueurs n'ont pas réussi à réagir après l'ouverture du score. Personnellement, je n'ai pas reconnu l'équipe qui manquait de combativité et d'organisation dans le jeu. On a perdu les duels, et surtout les automatismes”, a-t-il ajouté. Badou Zaki pense que la sélection algérienne “mérite amplement” sa victoire qui relance complètement la course pour la qualification. “L'Algérie mérite amplement son succès. Les joueurs ont fait preuve d'une grande envie pour se surpasser, et ils ont fini par avoir le dernier mot. Benchikha pourra désormais préparer le rendez-vous de Casablanca dans les meilleures conditions, contrairement à Gerets qui sera appelé à revoir sa copie”, a-t-il conclu. Le Maroc accueillera l'Algérie, probablement le 4 juin prochain à Casablanca, pour le compte de la 4e journée des éliminatoires. À l'issue de la 3e journée, la Centrafrique occupe la première place du groupe avec 4 pts, grâce à une différence de buts favorable (+1), suivie de la Tanzanie (0), du Maroc (0) et de l'Algérie (-1).
Même l'ancien entraineur du Maroc reconnait que la victoire de l'Algérie est amplement mérité...
 

Lagarto

l'homme masqué
on va encore reparler de ce match même dans 1ans? , c'était un match bidon , et les anciens du maroc qui ont pointé du doigt Gerets n'auraient pas fait mieux que lui , laissez le bosser *****
 
Abdelkhaleq Louzani, Baddou Zaki deux coachs (nationaux) critiquent Gerets (actuel coach belge de l'EN), objectivité où jalousie du poste :D, Y a pas de déontologie entre coach lol
 
L'ancien sélectionneur de l'équipe marocaine de football, Badou Zaki, a estimé hier que le coach national, Abdelhak Benchikha, a réussi à transférer la pression vers le camp marocain, après la victoire de l'Algérie face au Maroc (1-0), pour le compte de la 3e journée (Gr D) des éliminatoires de la Coupe d'Afrique des nations CAN-2012.
“En gagnant ce match important, Benchikha a réussi à transférer la pression vers le camp marocain, à deux mois du match de Casablanca. Il a bien géré cette rencontre face à une équipe du Maroc méconnaissable”, a indiqué Badou Zaki à la Radio Algérie Internationale.
Actuel entraîneur du Kawkab Marrakech (Div 1 marocaine), l'ancien gardien de but des Lions de l'Atlas avait dirigé l'équipe du Maroc durant la période 2002-2005. Il a conduit le Maroc pour la finale de la CAN-2004, qui s'est disputée en Tunisie.
Revenant sur le match du 27 mars dernier qui s'est déroulé au stade du 19-Mai 1956 d'Annaba, Badou Zaki a estimé que le Maroc a été déstabilisé dès le penalty sifflé au début de la rencontre par l'arbitre mauricien Rajindraparsad Seechurn.
“Eric Gerets et les joueurs n'ont pas réussi à réagir après l'ouverture du score. Personnellement, je n'ai pas reconnu l'équipe qui manquait de combativité et d'organisation dans le jeu. On a perdu les duels, et surtout les automatismes”, a-t-il ajouté. Badou Zaki pense que la sélection algérienne “mérite amplement” sa victoire qui relance complètement la course pour la qualification. “L'Algérie mérite amplement son succès. Les joueurs ont fait preuve d'une grande envie pour se surpasser, et ils ont fini par avoir le dernier mot. Benchikha pourra désormais préparer le rendez-vous de Casablanca dans les meilleures conditions, contrairement à Gerets qui sera appelé à revoir sa copie”, a-t-il conclu. Le Maroc accueillera l'Algérie, probablement le 4 juin prochain à Casablanca, pour le compte de la 4e journée des éliminatoires. À l'issue de la 3e journée, la Centrafrique occupe la première place du groupe avec 4 pts, grâce à une différence de buts favorable (+1), suivie de la Tanzanie (0), du Maroc (0) et de l'Algérie (-1).

Gerets est sous pression

une double défaite contre l'Algérie et il fera pas long feu, le Makhzen interviendra en personne pour le licencier
 
il ne s'agit pas de critiquer pour critiquer ou de suspecter les gens de jalousie parce qu'ils critiquent le jeu marocain produit sur ce match mais on ne va pas attendre le match de trop pour dire qu'on n'a pas été bon contre l'Irlande du Nord (très peud 'occasion) et encore pire contre l'Algérie.
Il ne s'agit pas non plus de changer l'équipe ou de dire que Gerets n'a pas pris les meilleurs bien au contraire, mais simplement de dire que ces joueurs n'ont pas de fond de jeu collectif, d'automatisme voilà pourquoi ils n'ont eu qu'une seule occasion celle de Benatia/chamakh/Belhanda.

La solution: faire des matchs et des matchs au Maroc ou ailleurs contre de Bonnes équipes avec plus ou moins la même ossaure.
 
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