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Instituteur pédophile arrêté 3 ans après les faits: le "juge allait bientôt prendre sa retraite et manifestement ne suivait pas le dossier de près"
Sombre affaire de pédophilie à Watermael-Boisfort où la justice semble avoir tardé à réagir.
Le suspect, un instituteur maternel, est suspecté d'attouchements sur des élèves d'une école de la commune bruxelloise.
Les faits remontent à 2010-2011, mais ce n'est que 3 ans plus tard que l'homme a été arrêté, après avoir abusé de ses nièces.
Tim C. était instituteur dans une école maternelle de Watermael-Boisfort.
En 2010, puis en 2011, il commet plusieurs agissements à caractère pédophile sur trois de ses élèves.
"Dans un premier temps, c’étaient des gestes qui se limitaient à un bisou sur la bouche, à ce genre de choses, mais déjà complètement déplacé. Et puis par la suite se sont devenus des attouchements plus précis. Dès que les parents ont été informés par les enfants de ce qui se passait, au travers de mots d’enfants ils ont compris qu’il y avait une vraie difficulté, ils ont dénoncé les faits immédiatement à l’école", explique Laurent Kennes, avocat des parties civiles au micro de Mathieu Langer pour RTL TVI.
Sombre affaire de pédophilie à Watermael-Boisfort où la justice semble avoir tardé à réagir.
Le suspect, un instituteur maternel, est suspecté d'attouchements sur des élèves d'une école de la commune bruxelloise.
Les faits remontent à 2010-2011, mais ce n'est que 3 ans plus tard que l'homme a été arrêté, après avoir abusé de ses nièces.
Tim C. était instituteur dans une école maternelle de Watermael-Boisfort.
En 2010, puis en 2011, il commet plusieurs agissements à caractère pédophile sur trois de ses élèves.
"Dans un premier temps, c’étaient des gestes qui se limitaient à un bisou sur la bouche, à ce genre de choses, mais déjà complètement déplacé. Et puis par la suite se sont devenus des attouchements plus précis. Dès que les parents ont été informés par les enfants de ce qui se passait, au travers de mots d’enfants ils ont compris qu’il y avait une vraie difficulté, ils ont dénoncé les faits immédiatement à l’école", explique Laurent Kennes, avocat des parties civiles au micro de Mathieu Langer pour RTL TVI.