Younes Belhanda revient sur la «difficile» saison de l'après-titre pendant laquelle il a, dit-il, «beaucoup pris». Priorité à la Premier League ou à la Bundesliga
«Jai envie daller en Angleterre ou en Allemagne, confie Younes Belhanda. Je pense que je suis fait pour ce football à la fois physique et technique, fait de prises de risques», ajoute le milieu international marocain de 23 ans, sous contrat jusqu'en 2015 mais qui bénéficie d'un bon de sortie, sous réserve d'une proposition intéressante pour Montpellier. «Jai des contacts, mais il faut que ça se concrétise. Mon souhait serait de jouer la Ligue des champions la saison prochaine, mais je peux aussi signer dans un club qui a un beau vécu.» Mais pas en France : «Je n'apprendrai rien de plus ici», avance-t-il.
«Fin 2012, je n'en pouvais plus d'entendre les critiques de tout le monde.» Younes Belhanda évoque aussi une saison «difficile» après le titre de 2012 et la «pression supplémentaire» de sa revalorisation salariale. «Ç'a été un poids. On aurait dit que je ne la méritais pas.» Au point qu'il se sentait, fin 2012, lorsque ses performances en baisse lui ont valu de «beaucoup prendre», «prêt à aller n'importe où, juste pour partir». «Je n'en pouvais plus d'entendre les critiques de tout le monde.»
Il va partir finalement en fin de saison dans un bien meilleur état d'esprit, «quand même dans les dix premiers» (9e), ému du «dernier pas» dimanche à Toulouse (0-2) avec «un groupe de potes arrivés à quatorze ans» et «devenus champions de France». «Aujourd'hui encore, je n'arrive pas à réaliser.»
«Je n'apprendrai rien de plus ici», un entretien avec Younes Belhanda à lire ce jeudi dans L'Equipe.
http://www.lequipe.fr/Football/Actualites/Belhanda-reve-d-angleterre/374757
«Jai envie daller en Angleterre ou en Allemagne, confie Younes Belhanda. Je pense que je suis fait pour ce football à la fois physique et technique, fait de prises de risques», ajoute le milieu international marocain de 23 ans, sous contrat jusqu'en 2015 mais qui bénéficie d'un bon de sortie, sous réserve d'une proposition intéressante pour Montpellier. «Jai des contacts, mais il faut que ça se concrétise. Mon souhait serait de jouer la Ligue des champions la saison prochaine, mais je peux aussi signer dans un club qui a un beau vécu.» Mais pas en France : «Je n'apprendrai rien de plus ici», avance-t-il.
«Fin 2012, je n'en pouvais plus d'entendre les critiques de tout le monde.» Younes Belhanda évoque aussi une saison «difficile» après le titre de 2012 et la «pression supplémentaire» de sa revalorisation salariale. «Ç'a été un poids. On aurait dit que je ne la méritais pas.» Au point qu'il se sentait, fin 2012, lorsque ses performances en baisse lui ont valu de «beaucoup prendre», «prêt à aller n'importe où, juste pour partir». «Je n'en pouvais plus d'entendre les critiques de tout le monde.»
Il va partir finalement en fin de saison dans un bien meilleur état d'esprit, «quand même dans les dix premiers» (9e), ému du «dernier pas» dimanche à Toulouse (0-2) avec «un groupe de potes arrivés à quatorze ans» et «devenus champions de France». «Aujourd'hui encore, je n'arrive pas à réaliser.»
«Je n'apprendrai rien de plus ici», un entretien avec Younes Belhanda à lire ce jeudi dans L'Equipe.
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