Un bon Berbère est un Berbère mort !

Ces Berbères, "qu’ils existent ou qu’ils disparaissent"*
Tarik Ibn Zyad est berbère ! Une fierté... Il a conquis la péninsule ibérique après avoir brûlé les bateaux des guerriers pour les empêcher de fuir la bataille. Il s’est même adressé aux Berbères en "arabe nucléaire" pour les inciter au combat... Tarik, le chef de guerre naïf, incitait, en fait, ses hommes à mourir dans la langue des autres, pour la religion des autres, pour la gloire et le bonheur des autres. La langue et le bonheur des soldats, Tarik l’avait cloué au pilori de l’islam et de l’arabe.



L’Histoire officielle nous a appris que ce "bon berbère" a sacrifié ses hommes pour la grandeur de la religion des Arabes... La suite de l’aventure de ce guerrier est occultée... L’Histoire ne dit pas que Tarik a été exécuté par les Arabes, et sa tête ensanglantée, mise dans un sac, comme celle d’un vulgaire bandit, est apporté au calife des musulmans. Triste sort.

Les Berbères ont malheureusement la fâcheuse habitude de ne pas regarder souvent dans le rétroviseur. Ils l’ont payé cher, très cher. Un nombre inombrable de Berbères ont sacrifié leurs vies, leur langue, leur culture et leurs traditions pour le bonheur de leurs ennemis. Poussé par la haine de soi, le Berbère se suicide, se consume et pousse ses frères au suicide collectif.

Les Berbères existeraient-ils sans le savoir et sans le vouloir ? En tout cas, Certains se cachent pour mieux ressembler à l’autre, parler sa langue et concevoir le monde comme lui. Ils ont fait le choix d’être "arabes, musulmans" et soumis. D’aucuns se plaisent dans leurs nouveaux habits. D’autres se battent pour s’affirmer.

L’Histoire de Tamazgha est vidée des Imazighen. Aux yeux des pouvoirs dictatoriaux en place à travers Tamazgha, un bon Berbère est un Berbère mort ... pour les causes des autres bien sûr. Ceux qui se sont battus pour la liberté de leur Terre sont occultés. Aksel (Appelé “Kouceila” par les Arabes), le digne fils du pays, est exclu des livres d’Histoire, alors qu’Okba, le bandit arabe, le vilain envahisseur, est honoré comme un saint. Tous les saints sont des menteurs. “L’erreur” d’Aksel l’Amazighe c’est d’avoir tué Okba l’arabe.

Les noms des despotes zélés, pédophiles, sanguinaires et barbares et autres illustres inconnus sont donnés aux écoles, aux lycées, aux rues, aux places publiques et aux boulevards. Ils sont considérés comme des idoles par les écoliers. Les enfants de la nation, les vrais, sont devenus les otages d’un grand mensonge fabriqué par l’histoire officielle et l’école. Ils en payent le prix maintenant. Intégrisme religieux, violence et perte des repères identitaires, telles sont les conséquences de cette amnésie collective qui frappe les pays de Tamazgha.

Pourquoi on ne trouve pas à Tamazgha des boulevards ou des universités portant les noms de "Aksil", "Said Sifaw", "Zayd-U-Hmad", "Heddu Ouskounti", "Moha U-Hemmu Azayyi", "Yuguerten", "Addi U-Bihi", "Hmed-U-Merri", "Si Muhand U-Mhand", "Saint Augustin", "Mouloud Mammeri", "Kateb Yassine", "Dihia"... et d’autres encore ? La raison est simple ? Aucun de ces Berbères n’est mort pour la promotion de l’arabe et de l’islam. De très mauvais exemples.

A Tamazgha occidentale, le pouvoir, dans sa course pour récupérer tous les symboles berbères, avance même que Abdelkrim Al Khatabi, le chef de guerre des tribus de Rif, est arabe. Il serait même, selon lui, le descendant d’une famille venue directement d’Arabie Saoudite. Assou U-Basslam, le chef de guerre des Aït Atta lors de la bataille de Bougafer (1933), n’a pas échappé à cette récupération. D’autres, serviles de naissance, se déclarent volontairement arabes, "cherifs" même. Le dernier en date est le wali de la région la plus pauvre à Tamazgha occidentale, Meknès-Tafilalt. D’autres suivront sûrement.

Le pouvoir a programmé le suicide collectif du peuple amazigh en s’appuyant sur l’islam, l’arabisation, les lois injustes, la corruption, les privations et bien sûr des berbères de service.

Pour le pouvoir, un bon Berbère est un Berbère mort.

Les Imazighen veulent vivre et exister. Est-ce un crime que de vouloir exister pour vivre ? Je vous répond tout de suite : NON. Le crime c’est de vouloir sacrifier les autres pour exister. C’est ce que font les gueux qui ont usurpé le pouvoir à Tamazgha.

L. Azergui

(*) "Une vie, un rêve, un peuple, toujours errant", de Mohamed Kheireddine, Le Seuil, Paris, 1978.

tamazgha.fr
 

chleuh pur

achilhi
et pourquoi ces soit disant imazighen avec l aide du gouvernement allie aux occidentaux veulent sacrifier les ICHELHINES pour repandre leur doctrine et pourquoi ils veulent sacrifier le mot BERBER le vrai et l intengible pour le remplacer par tamzgha qui n existe dans aucun document ancien rejoignez la raison et laissez les falcifications
 

chleuh pur

achilhi
tarik ibnou ziad est un grand moujahid berber et les occidendentaux ont change le nom de la montagne qui porte son nom appelee jabal tarik par gibraltar comme ils changent les noms de tous les lumineux savants berbers ou arabes: evaroes;avenzoer; avicenne etc...et je vois que dans ce texte vous avez mis le nom des grands berbers qui ont combattu le colonialisme ; les croises et les payens pres de la payenne prostituee des romains et du brigand payen kussila. pour khir eddine le grand ecrivain berber chleuh qui etait mon ami et que dieu aie son ame dans la misericorde il naurait jamais avaler ces manigances etdans ce texte on sent la haine ;le mensonge et l intolerance
 
Vous êtes pareil à un personnage de pièce de théâtre: vous vous identifiez au rôle que vous avez choisi et que les autres s'attendent à vous voir jouer !
Evitez de parlez des choses que vous ne maitrisez pas...
 
Ces Berbères, "qu’ils existent ou qu’ils disparaissent"*
Tarik Ibn Zyad est berbère ! Une fierté... Il a conquis la péninsule ibérique après avoir brûlé les bateaux des guerriers pour les empêcher de fuir la bataille. Il s’est même adressé aux Berbères en "arabe nucléaire" pour les inciter au combat... Tarik, le chef de guerre naïf, incitait, en fait, ses hommes à mourir dans la langue des autres, pour la religion des autres, pour la gloire et le bonheur des autres. La langue et le bonheur des soldats, Tarik l’avait cloué au pilori de l’islam et de l’arabe.



L’Histoire officielle nous a appris que ce "bon berbère" a sacrifié ses hommes pour la grandeur de la religion des Arabes... La suite de l’aventure de ce guerrier est occultée... L’Histoire ne dit pas que Tarik a été exécuté par les Arabes, et sa tête ensanglantée, mise dans un sac, comme celle d’un vulgaire bandit, est apporté au calife des musulmans. Triste sort.

Les Berbères ont malheureusement la fâcheuse habitude de ne pas regarder souvent dans le rétroviseur. Ils l’ont payé cher, très cher. Un nombre inombrable de Berbères ont sacrifié leurs vies, leur langue, leur culture et leurs traditions pour le bonheur de leurs ennemis. Poussé par la haine de soi, le Berbère se suicide, se consume et pousse ses frères au suicide collectif.

Les Berbères existeraient-ils sans le savoir et sans le vouloir ? En tout cas, Certains se cachent pour mieux ressembler à l’autre, parler sa langue et concevoir le monde comme lui. Ils ont fait le choix d’être "arabes, musulmans" et soumis. D’aucuns se plaisent dans leurs nouveaux habits. D’autres se battent pour s’affirmer.

L’Histoire de Tamazgha est vidée des Imazighen. Aux yeux des pouvoirs dictatoriaux en place à travers Tamazgha, un bon Berbère est un Berbère mort ... pour les causes des autres bien sûr. Ceux qui se sont battus pour la liberté de leur Terre sont occultés. Aksel (Appelé “Kouceila” par les Arabes), le digne fils du pays, est exclu des livres d’Histoire, alors qu’Okba, le bandit arabe, le vilain envahisseur, est honoré comme un saint. Tous les saints sont des menteurs. “L’erreur” d’Aksel l’Amazighe c’est d’avoir tué Okba l’arabe.

Les noms des despotes zélés, pédophiles, sanguinaires et barbares et autres illustres inconnus sont donnés aux écoles, aux lycées, aux rues, aux places publiques et aux boulevards. Ils sont considérés comme des idoles par les écoliers. Les enfants de la nation, les vrais, sont devenus les otages d’un grand mensonge fabriqué par l’histoire officielle et l’école. Ils en payent le prix maintenant. Intégrisme religieux, violence et perte des repères identitaires, telles sont les conséquences de cette amnésie collective qui frappe les pays de Tamazgha.

Pourquoi on ne trouve pas à Tamazgha des boulevards ou des universités portant les noms de "Aksil", "Said Sifaw", "Zayd-U-Hmad", "Heddu Ouskounti", "Moha U-Hemmu Azayyi", "Yuguerten", "Addi U-Bihi", "Hmed-U-Merri", "Si Muhand U-Mhand", "Saint Augustin", "Mouloud Mammeri", "Kateb Yassine", "Dihia"... et d’autres encore ? La raison est simple ? Aucun de ces Berbères n’est mort pour la promotion de l’arabe et de l’islam. De très mauvais exemples.

A Tamazgha occidentale, le pouvoir, dans sa course pour récupérer tous les symboles berbères, avance même que Abdelkrim Al Khatabi, le chef de guerre des tribus de Rif, est arabe. Il serait même, selon lui, le descendant d’une famille venue directement d’Arabie Saoudite. Assou U-Basslam, le chef de guerre des Aït Atta lors de la bataille de Bougafer (1933), n’a pas échappé à cette récupération. D’autres, serviles de naissance, se déclarent volontairement arabes, "cherifs" même. Le dernier en date est le wali de la région la plus pauvre à Tamazgha occidentale, Meknès-Tafilalt. D’autres suivront sûrement.

Le pouvoir a programmé le suicide collectif du peuple amazigh en s’appuyant sur l’islam, l’arabisation, les lois injustes, la corruption, les privations et bien sûr des berbères de service.

Pour le pouvoir, un bon Berbère est un Berbère mort.

Les Imazighen veulent vivre et exister. Est-ce un crime que de vouloir exister pour vivre ? Je vous répond tout de suite : NON. Le crime c’est de vouloir sacrifier les autres pour exister. C’est ce que font les gueux qui ont usurpé le pouvoir à Tamazgha.

L. Azergui

(*) "Une vie, un rêve, un peuple, toujours errant", de Mohamed Kheireddine, Le Seuil, Paris, 1978.

tamazgha.fr

le probleme c que dans se texte y a un melange de verité de menssonges
 
tu remet la responssabilité sur l'islam alors que l'islam n'a rien avoir la dedans. Toi tu pense que les berbers sont des ânes qu'ils se font manipuler par les arabes avec l'islam. On sait les actes de traitrisent qu'on commis certaine personne envers nous dans l'histoire mais c pas pour ça qu'on rejetera l'islam. si tu aurai lu le coran t'aurai vue que le coran se desavoue de ses actes comme faire payer la jizya aux musulmans. Tarik Ibn Zyad se battait pour Allah swt et pas pour les arabes. L'islam est la religion de tous le monde pas que des arabes.
 

amsawad

Tayri nem tuder g-ul inu
le probleme c que dans se texte y a un melange de verité de menssonges
Peut etre , mais l'auteur de ce texte est un amazigh marocain ,Lhoussain AZERGUI un des plus influents du Maroc son pemier roman a reçu de nombreux pris internationaux. Aghrum Ihaqqaren (le pain des corbeaux) représente une forme de résistance de la culture amazighe. Journaliste indépendant à ses heures .
 

nasritto

LA TANSA NAçIBAKA MINA...
Ces Berbères, "qu’ils existent ou qu’ils disparaissent"*
Tarik Ibn Zyad est berbère ! Une fierté... Il a conquis la péninsule ibérique après avoir brûlé les bateaux des guerriers pour les empêcher de fuir la bataille. Il s’est même adressé aux Berbères en "arabe nucléaire" pour les inciter au combat... Tarik, le chef de guerre naïf, incitait, en fait, ses hommes à mourir dans la langue des autres, pour la religion des autres, pour la gloire et le bonheur des autres. La langue et le bonheur des soldats, Tarik l’avait cloué au pilori de l’islam et de l’arabe.



L’Histoire officielle nous a appris que ce "bon berbère" a sacrifié ses hommes pour la grandeur de la religion des Arabes... La suite de l’aventure de ce guerrier est occultée... L’Histoire ne dit pas que Tarik a été exécuté par les Arabes, et sa tête ensanglantée, mise dans un sac, comme celle d’un vulgaire bandit, est apporté au calife des musulmans. Triste sort.

Les Berbères ont malheureusement la fâcheuse habitude de ne pas regarder souvent dans le rétroviseur. Ils l’ont payé cher, très cher. Un nombre inombrable de Berbères ont sacrifié leurs vies, leur langue, leur culture et leurs traditions pour le bonheur de leurs ennemis. Poussé par la haine de soi, le Berbère se suicide, se consume et pousse ses frères au suicide collectif.

Les Berbères existeraient-ils sans le savoir et sans le vouloir ? En tout cas, Certains se cachent pour mieux ressembler à l’autre, parler sa langue et concevoir le monde comme lui. Ils ont fait le choix d’être "arabes, musulmans" et soumis. D’aucuns se plaisent dans leurs nouveaux habits. D’autres se battent pour s’affirmer.

L’Histoire de Tamazgha est vidée des Imazighen. Aux yeux des pouvoirs dictatoriaux en place à travers Tamazgha, un bon Berbère est un Berbère mort ... pour les causes des autres bien sûr. Ceux qui se sont battus pour la liberté de leur Terre sont occultés. Aksel (Appelé “Kouceila” par les Arabes), le digne fils du pays, est exclu des livres d’Histoire, alors qu’Okba, le bandit arabe, le vilain envahisseur, est honoré comme un saint. Tous les saints sont des menteurs. “L’erreur” d’Aksel l’Amazighe c’est d’avoir tué Okba l’arabe.

Les noms des despotes zélés, pédophiles, sanguinaires et barbares et autres illustres inconnus sont donnés aux écoles, aux lycées, aux rues, aux places publiques et aux boulevards. Ils sont considérés comme des idoles par les écoliers. Les enfants de la nation, les vrais, sont devenus les otages d’un grand mensonge fabriqué par l’histoire officielle et l’école. Ils en payent le prix maintenant. Intégrisme religieux, violence et perte des repères identitaires, telles sont les conséquences de cette amnésie collective qui frappe les pays de Tamazgha.

Pourquoi on ne trouve pas à Tamazgha des boulevards ou des universités portant les noms de "Aksil", "Said Sifaw", "Zayd-U-Hmad", "Heddu Ouskounti", "Moha U-Hemmu Azayyi", "Yuguerten", "Addi U-Bihi", "Hmed-U-Merri", "Si Muhand U-Mhand", "Saint Augustin", "Mouloud Mammeri", "Kateb Yassine", "Dihia"... et d’autres encore ? La raison est simple ? Aucun de ces Berbères n’est mort pour la promotion de l’arabe et de l’islam. De très mauvais exemples.

A Tamazgha occidentale, le pouvoir, dans sa course pour récupérer tous les symboles berbères, avance même que Abdelkrim Al Khatabi, le chef de guerre des tribus de Rif, est arabe. Il serait même, selon lui, le descendant d’une famille venue directement d’Arabie Saoudite. Assou U-Basslam, le chef de guerre des Aït Atta lors de la bataille de Bougafer (1933), n’a pas échappé à cette récupération. D’autres, serviles de naissance, se déclarent volontairement arabes, "cherifs" même. Le dernier en date est le wali de la région la plus pauvre à Tamazgha occidentale, Meknès-Tafilalt. D’autres suivront sûrement.

Le pouvoir a programmé le suicide collectif du peuple amazigh en s’appuyant sur l’islam, l’arabisation, les lois injustes, la corruption, les privations et bien sûr des berbères de service.

Pour le pouvoir, un bon Berbère est un Berbère mort.

Les Imazighen veulent vivre et exister. Est-ce un crime que de vouloir exister pour vivre ? Je vous répond tout de suite : NON. Le crime c’est de vouloir sacrifier les autres pour exister. C’est ce que font les gueux qui ont usurpé le pouvoir à Tamazgha.

L. Azergui

(*) "Une vie, un rêve, un peuple, toujours errant", de Mohamed Kheireddine, Le Seuil, Paris, 1978.

tamazgha.fr
comment tu peux soutenir ces idées là toi?c'est bizarre!!!
 
Tu présente les Berbères commes ayant subis l'histoire, subis les invasions arabes... Mais tu oublis que les Berbères ont pour la grosse majorité accepté l'Islam comme religion et ont pris une part très active dans les conquêtes musulmanes notamment en Europe.
D'ailleurs, il y a eu des dynasties berbères qui ont dirigé l'actuel Maroc et l'Espagne; les Almohades et les Almoravides étaient d'origines Berbères! Et ces dynasties ont porté l'étendard de l'Islam! C'est archi faux de dire que les Berbères n'ont pas été des acteurs essentiels dans l'histoire des différents empires Musulmans (qui ont été donc Arabe mais aussi Berbère, Turc, Mongol ou même Indien). Il n'y a pas eu d'exclusivité Arabes sur ces empires qui ont rayonnés dans le monde.

L'Islam a été accepté par ces peuples il y a des siècles et je ne comprends pas pourquoi il y a des Berbères qui rejettent aussi catégoriquement cette religion et la présentant comme celle des "envahisseurs Arabes", ces gens pour moi, sont intolérants car il refusent de reconnaitre un choix volontaire et re-affirmé depuis des siècles par la grosse majorité des Berbères.
Ma question est: au nom de quoi ils se permettent cela? C'est une violation de la liberté de conscience tout simplement.
 

nasritto

LA TANSA NAçIBAKA MINA...
Tu présente les Berbères commes ayant subis l'histoire, subis les invasions arabes... Mais tu oublis que les Berbères ont pour la grosse majorité accepté l'Islam comme religion et ont pris une part très active dans les conquêtes musulmanes notamment en Europe.
D'ailleurs, il y a eu des dynasties berbères qui ont dirigé l'actuel Maroc et l'Espagne; les Almohades et les Almoravides étaient d'origines Berbères! Et ces dynasties ont porté l'étendard de l'Islam! C'est archi faux de dire que les Berbères n'ont pas été des acteurs essentiels dans l'histoire des différents empires Musulmans (qui ont été donc Arabe mais aussi Berbère, Turc, Mongol ou même Indien). Il n'y a pas eu d'exclusivité Arabes sur ces empires qui ont rayonnés dans le monde.

L'Islam a été accepté par ces peuples il y a des siècles et je ne comprends pas pourquoi il y a des Berbères qui rejettent aussi catégoriquement cette religion et la présentant comme celle des "envahisseurs Arabes", ces gens pour moi, sont intolérants car il refusent de reconnaitre un choix volontaire et re-affirmé depuis des siècles par la grosse majorité des Berbères.
Ma question est: au nom de quoi ils se permettent cela? C'est une violation de la liberté de conscience tout simplement.
je cois qu'il y a des amazirs qui sont manipulés par ailleur
 

chleuh pur

achilhi
tamazgha.fr est un site kabyle et ne represente pas les berbers
merci pour vous pour eclaircir des egares qui se croient des tamzaghiens ou des amazighs par ignorance alors qu ils sont des berbers chleus;rifains ouamazighs;au moins voici un kabyl franc qui ne veut pas de vous;vous qui disent que vous etes des amazighs
 

chleuh pur

achilhi
Peut etre , mais l'auteur de ce texte est un amazigh marocain ,Lhoussain AZERGUI un des plus influents du Maroc son pemier roman a reçu de nombreux pris internationaux. Aghrum Ihaqqaren (le pain des corbeaux) représente une forme de résistance de la culture amazighe. Journaliste indépendant à ses heures .

lhoussaine azergui est de la tribu IZERGUINE pres de la tribu tecna khir eddine qui ecrit la poesie en langue francaise n est pas francais et c est un chleuh car il est du sud marocain et il n est pas du moyen atlas pour qu il soit amazigh a moins que vous voudriez faire de lui un amassikh c est a dire faux amazigh du maroc
 
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