Le boucher racketté ne se laisse pas faire

«Je ne me laisserai pas faire. Tout ce que je demande, c’est qu’on me laisse travailler honnêtement. Chaque jour, je me bats pour m’en sortir, pour payer mes impôts et mes factures. Les huissiers m’envoient sans arrêt des courriers et aujourd’hui, on vient me racketter. »

Boucher installé dans l’avenue de la République, à Champigny, depuis six ans, Kamal n’en revient toujours pas.

Dimanche, à deux reprises, des jeunes ont fait irruption dans sa boutique pour lui extorquer de l’argent. « La première fois, vers 17 heures, ils étaient deux, âgés d’une vingtaine d’années. Ils m’ont menacé et m’ont dit : Tu payes ton billet et tu travailles, sinon tu travailles pas ! Je leur ai répondu qu’il était hors de question que je paye. Ils sont repartis en me menaçant. »

Deux heures plus tard, trois autres jeunes, un peu plus âgés, surgissent à leur tour. « Là, ça a été beaucoup plus violent, dans les gestes et dans les paroles. Ils m’ont dit qu’ils n’avaient pas peur de la loi, que de toute façon, la loi c’était eux qui la faisaient, on est avenue de la République, mais la République, c’est nous! m’ont-ils crié… Et quand j’ai confirmé que je ne voulais rien payer, ils se sont déchaînés en me disant : Nous, on travaille pas, on fait du business, et aujourd’hui, notre business, c’est toi et ta boutique, si tu payes pas, t’es un homme mort, tu mourras dans ta boucherie. »

Aux menaces succèdent bientôt les coups. « J’aurais pu essayer de me défendre, mais j’ai confiance en la justice, en l’Etat, c’est à lui de me protéger. Si jamais je blesse quelqu’un en me défendant, je risque les assises. C’est à l’Etat d’assurer la sécurité de ses concitoyens qui veulent vivre tranquillement. Il faut donner davantage de moyens aux policiers pour qu’ils puissent faire leur travail. » A l’ami présent avec lui dans la boutique, le trio dispense également quelques insultes et menaces.

« Ils veulent m’isoler, que plus personne ne vienne dans ma boutique, ne me fréquente, que je me retrouve tout seul face à eux. Mais je ne veux pas plier. Je n’ai pas peur de représailles sur ma famille car je n’ai pas de femme, pas d’enfant, je suis seul. Pourquoi me faire subir tout cela? »
 
Dans la boutique ravagée, Kamal a les yeux embués. Le sol est jonché de débris de verre, provenant de vitrines réfrigérées que les voyous ont éventrées. A l’intérieur, la viande attend d’être jetée. « Il y a des morceaux de verre partout, tout est bon pour la poubelle. J’avais déjà des difficultés financières, cela ne va pas s’arranger. » Les blessures physiques, Kamal tente de les oublier. Sous son œil bleui, sa joue peine à désenfler tandis que son nez porte encore les traces d’une fracture. De temps en temps, des habitués passent la tête sous le rideau à moitié baissé et lui adressent quelques mots de réconfort en apercevant les dégâts. « Heureusement que les gens sont gentils, cela donne du courage! » Le boucher racketté a déposé plainte hier au commissariat de Champigny.

http://www.leparisien.fr/val-de-mar...ne-se-laisse-pas-faire-07-09-2010-1057982.php
 
une seule solution radicale: faire du business avec ces sauvageons gracieusement.
les livrer dans des pays où des mines anti-personnelles font des milliers de victimes, les faire marcher en rang serré jusqu'à la disparition de la dernière mine et du dernier délinquant.
 
et ce qui est vraiment triste
je ne sais pas si ces gens ont une conscience et est ce que sa leur fait qqch le malheur des autres qcque sa apporte franchement???????????

Voici leur réponse: "wesh, tant qu'on est pas touché wesh, iléou le blème wesh? On s'en fou des gens wesh...C'est tous des c*** les gens wesh...sauf la famille, t'a vus, respect quoi"
 

PasBelle

Trop belle la vie ...
VIB
«Je ne me laisserai pas faire. Tout ce que je demande, c’est qu’on me laisse travailler honnêtement. Chaque jour, je me bats pour m’en sortir, pour payer mes impôts et mes factures. Les huissiers m’envoient sans arrêt des courriers et aujourd’hui, on vient me racketter. »

Boucher installé dans l’avenue de la République, à Champigny, depuis six ans, Kamal n’en revient toujours pas.

Dimanche, à deux reprises, des jeunes ont fait irruption dans sa boutique pour lui extorquer de l’argent. « La première fois, vers 17 heures, ils étaient deux, âgés d’une vingtaine d’années. Ils m’ont menacé et m’ont dit : Tu payes ton billet et tu travailles, sinon tu travailles pas ! Je leur ai répondu qu’il était hors de question que je paye. Ils sont repartis en me menaçant. »

Deux heures plus tard, trois autres jeunes, un peu plus âgés, surgissent à leur tour. « Là, ça a été beaucoup plus violent, dans les gestes et dans les paroles. Ils m’ont dit qu’ils n’avaient pas peur de la loi, que de toute façon, la loi c’était eux qui la faisaient, on est avenue de la République, mais la République, c’est nous! m’ont-ils crié… Et quand j’ai confirmé que je ne voulais rien payer, ils se sont déchaînés en me disant : Nous, on travaille pas, on fait du business, et aujourd’hui, notre business, c’est toi et ta boutique, si tu payes pas, t’es un homme mort, tu mourras dans ta boucherie. »

Aux menaces succèdent bientôt les coups. « J’aurais pu essayer de me défendre, mais j’ai confiance en la justice, en l’Etat, c’est à lui de me protéger. Si jamais je blesse quelqu’un en me défendant, je risque les assises. C’est à l’Etat d’assurer la sécurité de ses concitoyens qui veulent vivre tranquillement. Il faut donner davantage de moyens aux policiers pour qu’ils puissent faire leur travail. » A l’ami présent avec lui dans la boutique, le trio dispense également quelques insultes et menaces.

« Ils veulent m’isoler, que plus personne ne vienne dans ma boutique, ne me fréquente, que je me retrouve tout seul face à eux. Mais je ne veux pas plier. Je n’ai pas peur de représailles sur ma famille car je n’ai pas de femme, pas d’enfant, je suis seul. Pourquoi me faire subir tout cela? »

pathetique...

en tous les cas cet homme a fait preuve de courage

sanctions fermes pour ces voyous!
 

c_ingalls

قُلْ هُو
Salam,

Je propose d'envoyer ces voyous dans le désert algérien creuser des trous en pleine journée.
 
Ce que je propose, c'est de les enfermer avec les gorilles dans le zoo de Vincennes....tous nus en plus, au vu et au su de toute le monde. Les gorilles ça saute tout ce qui bouge!

Mafieux de pacotille!
 
« « J’aurais pu essayer de me défendre, mais j’ai confiance en la justice, en l’Etat, c’est à lui de me protéger. Si jamais je blesse quelqu’un en me défendant, je risque les assises. C’est à l’Etat d’assurer la sécurité de ses concitoyens qui veulent vivre tranquillement.»

Citation de Charles de Gaulle :
"Lorsque la légalité est défaillante, la légitimité doit y suppléer"

L'Etat français actuel n'assume plus les fonctions régaliennes lui incombant.

Et il semblerait bien que la race des "Hommes d'Etat" ait disparu de la société.
 
Ce que je propose, c'est de les enfermer avec les gorilles dans le zoo de Vincennes....tous nus en plus, au vu et au su de toute le monde. Les gorilles ça saute tout ce qui bouge!

Mafieux de pacotille!

+1 c'est clair , ça aurait été moi wallah la3dim j'y aurais brisé la tête avec un coup de hache , après assises ou pas je m'en tappe , ce n'est pas moi mr le juge c'est de la légitime défense , l'art et la manière de passer de coupable à victime :D
 
+1 c'est clair , ça aurait été moi wallah la3dim j'y aurais brisé la tête avec un coup de hache , après assises ou pas je m'en tappe , ce n'est pas moi mr le juge c'est de la légitime défense , l'art et la manière de passer de coupable à victime :D

Le gars il avait pas de couteau...de boucher?

Je les aurais passé a la moulinette, cela m'aurait fait de la kefta en rab'.
 

Bladi

Webmaster
Administrateur
une seule solution radicale: faire du business avec ces sauvageons gracieusement.
les livrer dans des pays où des mines anti-personnelles font des milliers de victimes, les faire marcher en rang serré jusqu'à la disparition de la dernière mine et du dernier délinquant.

en d'autres temps, on aurait appelé ça "la solution finale" :eek:
 
si t'appelle ça des voyous :eek: , j'en ai vu et ( surtout connu ) des vrais voyous et jamais ils s'en seraient prit à un commerce de quartier ( pas assez rentable pour eux )

A 25 ans je peux te dire que c'est les vrai voyoux qui demande main fort aux jeunots...
les choses ont changés et les jeunes beurs des cités dégaines plus facilement
plus de clan de gitan , de rital ou de corse Place aux jeunes beurs sans foi ni loi
 
A 25 ans je peux te dire que c'est les vrai voyoux qui demande main fort aux jeunots...
les choses ont changés et les jeunes beurs des cités dégaines plus facilement
plus de clan de gitan , de rital ou de corse Place aux jeunes beurs sans foi ni loi

oui les temps ont changés mais un voyou ça reste un voyou , il n'ira jamais prendre de risques pour si peu , à moins qu'il soit c...
 
«Je ne me laisserai pas faire. Tout ce que je demande, c’est qu’on me laisse travailler honnêtement. Chaque jour, je me bats pour m’en sortir, pour payer mes impôts et mes factures. Les huissiers m’envoient sans arrêt des courriers et aujourd’hui, on vient me racketter. »

Boucher installé dans l’avenue de la République, à Champigny, depuis six ans, Kamal n’en revient toujours pas.

Dimanche, à deux reprises, des jeunes ont fait irruption dans sa boutique pour lui extorquer de l’argent. « La première fois, vers 17 heures, ils étaient deux, âgés d’une vingtaine d’années. Ils m’ont menacé et m’ont dit : Tu payes ton billet et tu travailles, sinon tu travailles pas ! Je leur ai répondu qu’il était hors de question que je paye. Ils sont repartis en me menaçant. »

Deux heures plus tard, trois autres jeunes, un peu plus âgés, surgissent à leur tour. « Là, ça a été beaucoup plus violent, dans les gestes et dans les paroles. Ils m’ont dit qu’ils n’avaient pas peur de la loi, que de toute façon, la loi c’était eux qui la faisaient, on est avenue de la République, mais la République, c’est nous! m’ont-ils crié… Et quand j’ai confirmé que je ne voulais rien payer, ils se sont déchaînés en me disant : Nous, on travaille pas, on fait du business, et aujourd’hui, notre business, c’est toi et ta boutique, si tu payes pas, t’es un homme mort, tu mourras dans ta boucherie. »

Aux menaces succèdent bientôt les coups. « J’aurais pu essayer de me défendre, mais j’ai confiance en la justice, en l’Etat, c’est à lui de me protéger. Si jamais je blesse quelqu’un en me défendant, je risque les assises. C’est à l’Etat d’assurer la sécurité de ses concitoyens qui veulent vivre tranquillement. Il faut donner davantage de moyens aux policiers pour qu’ils puissent faire leur travail. » A l’ami présent avec lui dans la boutique, le trio dispense également quelques insultes et menaces.

« Ils veulent m’isoler, que plus personne ne vienne dans ma boutique, ne me fréquente, que je me retrouve tout seul face à eux. Mais je ne veux pas plier. Je n’ai pas peur de représailles sur ma famille car je n’ai pas de femme, pas d’enfant, je suis seul. Pourquoi me faire subir tout cela? »
La justice autorise la légitime défense tant qu'elle reste proportionnelle. (code pénal, article 122-4). Donc même quelques coup de hachoir à viande auraient pu être défendu assez facilement devant un tribunal. A trois contre un, il ferrait beau voire que ce soit lui qui passe aux assises!
 
La justice autorise la légitime défense tant qu'elle reste proportionnelle. (code pénal, article 122-4). Donc même quelques coup de hachoir à viande auraient pu être défendu assez facilement devant un tribunal. A trois contre un, il ferrait beau voire que ce soit lui qui passe aux assises!

sauf que voilà, s'il en tue un, ces amis vont venir le tuer et la police ne saura jamais qui est le coupable.

Grosso modo, il en tue un, il est sur d'y passer ou de se retrouver au trou.

Alors qu'eux bah ils seraient peinard .
 
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