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[QUOTE="paskemoi, post: 4885134, member: 178575"] La personne aux prises avec la dépendance affective peut donc souffrir de carences importantes présentes depuis sa plus tendre enfance et qu’elle n’a pas réussi à combler par ses propres moyens, soit parce qu’elle n’est pas consciente qu’elle a ce problème, soit parce qu’elle ne sait pas comment guérir de ces carences profondes. La plupart des gens qui souffrent de dépendance affective ne font pas la différence entre la dépendance elle-même et la carence émotionnelle qui lui a donné naissance. Ces personnes passent donc beaucoup de temps à travailler sur le problème de dépendance et négligent le travail de fond sur la carence. À première vue, ces personnes semblent avoir tout ce qu’il faut pour réussir dans la vie et pour réussir leur vie. Elles ont belle apparence, jouissent souvent d’une intelligence supérieure, réussissent leurs études, décrochent facilement un emploi, sont talentueuses et ont développé l’art de plaire. Lorsqu’on gratte la surface, cependant, on découvre que ces mêmes personnes souffrent d’angoisse chronique, sontcompulsives, cherchent l’amour avec frénésie et sont habitées par une grande nostalgie. Elles-mêmes ne comprennent pas pourquoi elles ont tant de difficulté à accéder au bonheur. J’insiste encore sur le fait que les carences existent parce que les besoins fondamentaux de l’enfant n’ont pas été comblés de façon satisfaisante, et non pas parce qu’ils n’ont pas été comblés de façon parfaite, ce qui est impossible à faire pour qui que ce soit. De plus, leniveau de satisfaction est déterminé par l’enfant luimême et non par le parent qui a la responsabilité de combler quatre besoins fondamentaux: les besoins de sécurité, d’identité, d’estime de soi et celui d’aimer et d’être aimé. Pour plusieurs d’entre nous, ceuxci n’ont pas été comblés tout simplement parce que nos parents ne possédaient pas les ressources pour le faire adéquatement. Souffrant eux-mêmes de carences émotionnelles, ils n’ont fait que reproduire ce qu’ils avaient appris de leur propre enfance et n’étaient pas en mesure de donner plus qu’ils n’avaient reçu. Dans mon livre précédent, j’explique comment je suis arrivée, après avoir tant écrit et tant parlé au sujet du bonheur, à constater que je souffrais de dépendance affective et comment j’ai enfin pu m’en libérer. Ma prise de conscience a débuté par des symptômes d’angoisse. Cette angoisse se manifestait surtout la nuit ou aux petites heures du matin, mais parfois le jour également, par une pression à la hauteur du sternum. Cette manifestation physique était accompagnée d’un sentiment de peur panique aux raisons inexpliquées. Cet état de malêtre était incontrôlable et se manifestait au moment où je m’y attendais le moins. Pour survivre, j’essayais de le combattre par l’action. Inconsciemment, je cherchais des anesthésiants à ma souffrance comme le font tous ceux et celles qui souffrent de dépendance affective. Haut Des milliers d’individus en proie à une telle angoisse vont consulter le médecin et se retrouvent malheureusement avec une prescription d’anxiolytique ou de Valium au lieu de chercher la véritable cause de leur angoisse. Ils peuvent passer des années à étouffer leur problème par l’absorption de ces drogues. Cette façon de nier la réalité, c’est comme de mettre un plâtre sur une jambe de bois. D’autres drogues encore plus puissantes contrôlent les humeurs de personnes en difficulté de croissance psychologique. Au lieu de les aider à grandir, on les maintient dans un état neutre pour les empêcher de faire une dépression en ne réalisant pas qu’on les tue à petit feu. Aux États-Unis, le fameux Prozac, par exemple, se vend comme des petits pains chauds.>>> [/QUOTE]
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