Menu
Accueil
Forums
Liste des forums
En ce moment
Nouveaux messages
Nouveaux messages de profil
Connexion
S'inscrire
Quoi de neuf
Liste des forums
Menu
Connexion
S'inscrire
Forums
Société
Histoires de coeur
Ca touche beaucoup de femme
JavaScript est désactivé. Pour une meilleure expérience, veuillez activer JavaScript dans votre navigateur avant de continuer.
Vous utilisez un navigateur obsolète. Il se peut que ce site ou d'autres sites Web ne s'affichent pas correctement.
Vous devez le mettre à jour ou utiliser un
navigateur alternatif
.
Répondre à la discussion
Message
[QUOTE="paskemoi, post: 4885145, member: 178575"] Fort heureusement, les relations avec des dépendants affectifs ne se terminent pas toujours de façon aussi tragique. Par contre, bon nombre d’entre elles baignent dans une atmosphère assez trouble. La jalousie maladive d’un ou des deux partenaires est un problème majeur dans ces relations. En général, la jalousie est plus forte chez la victime et le bourreau profite de cette grande insécurité émotionnelle pour faire de la manipulation ou du chantage. Un ami me racontait que sa conjointe est tellement anxieuse et possessive qu’elle peut lui téléphoner toutes les heures pour vérifier s’il est bien à la maison et pour savoir ce qu’il fait. De plus, elle lit son courrier et filtre ses appels téléphoniques. Ces comportements de jalousie et de non-confiance se retrouvent toujours chez les personnes souffrant de dépendance affective. Elles sont tellement certaines que leur conjoint va les trahir qu’elles imaginent toujours le pire. Elles ne sont jamais vraiment heureuses, même lorsqu’elles sont tout près de leur partenaire. Même dans ces moments elles trouvent le moyen de se tracasser. Cet ami me disait que sa conjointe s’inquiète lorsqu’il est un peu perdu dans ses pensées et lui demande s’il ne pense pas à une autre femme. Cette attitude se poursuit même jusque dans le lit, lorsque des rapports intimes ne fonctionnent pas parfaitement bien. Le pauvre homme se fait encore poser des questions pour expliquer ses <<ratés». Comme on peut le constater par cet exemple pathétique, il n’y a pas de limites aux manifestations d’insécurité d’un dépendant affectif. Haut Dans une relation de couple, la dépendance affective peut être comparée à une prison dont les portes ne sont pas verrouillées mais qu’on n’arrive pas à franchir parce qu’à la simple idée de se retrouver loin de l’être aimé on a le souffle coupé. On est vraiment certain que la mort nous attend au pays de la liberté. Bien sûr, il y a aussi, dans ces relations, de l’amour et de l’attirance fondés sur des raisons objectives. Le problème vient du fait que cet amour n’est pas offert et reçu en toute liberté, mais plutôt dans une contrainte issue de l’attrait <<irrésistible» qu’exerce la personne dont le dépendant est follement épris. Le dépendant affectif fait face à un dilemme important: il en arrive à ne plus être capable de vivre avec son partenaire, mais entrevoit la mort lorsqu’il imagine la vie sans lui. Il en résulte que toute tentative de rupture est extrêmement pénible, car il faut une période de sevrage, comme pour un alcoolique qui veut arrêter de boire. Les effets de ce sevrage sont encore plus dévastateurs que la panique ressentie en pensant à la rupture. Lorsque arrive le moment de la séparation comme telle, la personne peut ressentir de fortes douleurs à la poitrine et à l’estomac, éprouver des troubles du sommeil importants, dormant trop ou pas assez, faire des crises de larmes, se sentir agressive ou déprimée, et avoir l’impression d’un vide total en elle. Elle ne s’intéresse plus à rien et ne pense qu’à mourir. C’est ce qui empêche la plupart des dépendants affectifs de faire le pas vers la libération. Perdant le centre de leur univers que représente leur partenaire, ils perdent tout sens d’orientation de leur vie. La soif d’attachement du dépendant affectif est aussi un repère pour identifier le problème. Cette soif peut cependant être canalisée pour qu’elle n’ait pas d’effets nocifs sur le comportement et le bien-être de cette personne. Mon frère Louis a l’habitude de conseiller à une personne souffrant d’une telle soif de la disperser en ayant plusieurs points d’ancrage, au lieu de mettre tous ses œufs dans le même panier. Vouloir tisser des liens dans le contexte d’une relation saine n’est pas mauvais en soi et il existe des attachements qui ne sont pas nocifs. Ils le deviennent lorsqu’ils empêchent les personnes <<attachées» de se sentir libres et qu’ils maintiennent de force une union où ne règne aucune harmonie. >>> [/QUOTE]
Insérer les messages sélectionnés…
Vérification
Répondre
Forums
Société
Histoires de coeur
Ca touche beaucoup de femme
Haut