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[QUOTE="paskemoi, post: 4885148, member: 178575"] Démasquer ses anesthésiants Toutes les activités d’une personne souffrant de dépendance affective peuvent constituer un anesthésiant à sa souffrance. En général, le dépendant affectif se prépare un cocktail de moyens d’évasion pour ne pas risquer de se retrouver, ne serait-ce qu’une petite heure, dans un état de souffrance intolérable. On peut énumérer les principaux anesthésiants utilisés par les dépendants affectifs, mais la liste serait en fait illimitée. On a cependant remarqué que certains d’entre eux sont plus courants que d’autres: le travail, la consommation d’alcool, la consommation de nourriture, la masturbation, le jeûne, l’activité sportive, les activités ménagères, la consommation de tabac ou de drogue, l’écoute de la musique, le sommeil, la lecture, le cinéma. Comment peut-on savoir si une activité ou une substance constitue une façon d’éviter de faire face à la souffrance ou si, au contraire, cette activité aide à rebâtir l’estime de soi tout en procurant du bon temps, sans toutefois qu’on considère son effet comme magique ou thérapeutique? Comme je l’ai déjà mentionné, l’anesthésiant procure instantanément un effet apaisant et gèle la souffrance. Mais, pour être efficace, il doit être consommé en doses de plus en plus grandes. Les personnes souffrant de boulimie ne peuvent se contenter d’une consommation de nourriture équilibrée et modérée. Elles mangent de grandes quantités de nourriture, et très rapidement. Elles ne goûtent pas vraiment aux aliments; elles se gavent pour éviter de souffrir. Une fois l’orgie terminée, elles ne sont pas plus heureuses. De plus, ellesse créent un problème d’embonpoint. Les grands buveurs secomportent un peu de la même façon. Ils ne peuvent cesser de boire que lorsqu’ils arrivent au fond de la bouteille. Mais la soif demeure, car ce n’est pas d’alcool dont ils ont véritablement soif, mais bien de liberté intérieure. L’un des anesthésiants les plus utilisés, autant par l’homme que par la femme, c’est le sexe. Il s’agit ici d’une compulsion sexuelle, qui s’exprime soit dans des rapports sexuels très fréquents ou dans la masturbation. Les personnes interrogées à ce sujet admettent toutes que cette boulimie de sexe ne les rassasie jamais et que, malgré une grande quantité d’orgasmes au cours d’une même journée, elles demeurent dans un état d’inassouvissement perpétuel. Mon frère Louis a aidé l’un de ses amis compulsif sexuellement à se sortir de cet enfer. Au moment où il a connu cet homme, celui-ci avait quotidiennement des rapports sexuels avec trois femmes différentes et se masturbait deux ou trois fois par jour. Lorsqu’il accepta de supprimer de sa vie cet anesthésiant, après avoir éliminé tous les autres quelques mois auparavant, il ressentit une telle souffrance qu’il se mit à pleurer pour la première fois de sa vie. Ce torrent de larmes dura trois semaines complètes, jour et nuit, et il lui semblait qu’il n’en verrait jamais la fin. Et pourtant, il est plus heureux que jamais aujourd’hui, car il a réussi à traverser la barrière de l’anesthésiant pour se rendre au cœur de sa souffrance. Il peut maintenant jouir d’une vie sexuelle normale, avec une seule partenaire, et ne ressent pas le besoin de se masturber comme auparavant. Comme je le mentionnais dans mon livre précédent, une personne adulte peut choisir, dans certaines circonstances, de satisfaire elle-même ses besoins sexuels plutôt que de subir un esclavage émotionnel. Dans ce cas, il ne s’agit pas d’une compulsion comme celle du dépendant affectif. Les maniaques d’entretien ménager sont aussi des compulsifs. Pour faire taire leur souffrance profonde, ils se défoncent dans le ménage, nettoyant le plus parfaitement possible leur environnement. Ces personnes ont souvent été victimes d’abus sexuels à un très jeune âge et leur empressement à faire tant de ménage peut dénoter un besoin profond de nettoyer le sentiment de honte et de culpabilité qu’elles portent en elles depuis ce temps.>>>> [/QUOTE]
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