Campagne médiatique en France

dans les milieux politiques et médiatiques français des préparatifs d’une attaque médiatique israélienne en 2011 en vue d’y améliorer l’image de l’entité spoliatrice. Des sources françaises affirment que le ministre des AE de l’entité sioniste, Avigdor Lieberman, a ordonné aux ambassades dépendantes de son ministère en Europe d’agir en tant qu’experts en relations publiques. Il a fixé aux ambassades de Paris, Madrid, Copenhague, La Haye, Oslo et Rome un délai avant le 16 juin prochain avec la tâche de trouver mille personnalités européennes soutenant l’entité ennemie que l’ambassade pourrait exhiber régulièrement, le but étant de lancer une campagne de relations publiques, de défendre et d’éclaircir la politique israélienne.
Les détails de la campagne de relations publiques, que nous a dévoilés une source française, consistent à organiser des manifestations, des réunions et à publier des articles dans la presse, de la part des alliés et des supporters. Le budget alloué à ces ambassades va augmenter pour servir ce plan.
Parmi les personnalités recherchées par « Israël » pour leur soutien figurent des activistes dans des organisations chrétiennes, françaises et européennes, des journalistes, des hommes politiques, des intellectuels, des spécialistes et activistes appartenant à des organisations estudiantines.
Le ministère israélien des AE va apporter trois sortes d’aide à cette campagne : des messages politiques à propos de la position israélienne sur « le processus de paix » et les colonies (pour montrer le respect israélien du processus de paix), des messages spécifiques à l’entité usurpatrice, concernant différents domaines, la technologie, l’économie et le tourisme (pour montrer la supériorité de la société israélienne, qui ne serait pas uniquement en conflit avec les Palestiniens) ainsi que des messages concernant l’évolution politique au Moyen-Orient, concernant les droits de l’homme en Syrie et en Iran, et l’accroissement de la force du Hezbollah. Toute ambassade devrait faire deux évaluations de la campagne au cours de l’année et envoyer un rapport tous les trois mois concernant l’activité des « amis » agissant dans ce plan.

Certains affirment, dans la capitale française, que la logique d’une stratégie normale d’influence implique que tout pays mène des campagnes de relations publiques, ce que la France ne nie pas dans son approche politique, mais le fait « qu’Israël » augmente ses efforts indique que les gouvernants de cette entité réalisent que leur politique passe par une phase plus difficile que d’habitude.
D’autres répondent à cette explication disant : « quelle que soit l’importance de la campagne médiatique israélienne, son gouvernement a perdu la bataille de l’opinion publique européenne car ce qui lui est nécessaire pour améliorer son image n’est pas dans le changement des médias, mais dans celui de la politique. »
 
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