En cas d'une moue intempestive ne condamnez pas cette intension !

Me le permettez vous de vous en toucher un mot, à propos d’un livre portant mon ex-libris. Dans l’enchainement des métaphores et des clichés filés, puis sur un fond d’affinité, j’ai compté avec les funestes effets matériels de l’Emigration. De la sorte j’ai opté l’intituler « Les suaires bleus ». Métphoriquement, les ondes bleues de la mer qui engoutisssent les noyés sont substituées par cette figure rhétorique aux linceuls. Pour lire le contenu, le livre est publié à compte d’éditeur chez Edilivre-édition en France.

Bah ! Qui a la conscience pour soi n’userait ni de distinguos ni de détours, pour s’autoriser de dénoncer l’injustice totale du monde. Façon d’instruire les lecteurs avec l’opinion public, sur le subreptice fomentant l’exil volontaire, pardon je n’ai pas ménagé mes dires. Le texte visait manifestement pour le principe les causes qui ont produit le drame, et en un sens rappellait des étourdis et des casse-cous à la vie.

L’envers du décor demeure caché. Maiiiiiiis n’est ce pas le pire piège Que de vivre en paix pour le gentilé des contrées distantes du confort de satisfaire leurs hôtes. Des petits gens, pacifiquement patriotes, qui patissent de l’injustice et du joug de la nécessité. Toutes générations confondues ont été mises longtemps à mal. Certains petits n’avaient pas mangé à leur faim et certains gaillards avaient manqué de tout. D’aucuns, de ceux qui galéraient pour s’en sortir, les spoliait le patron, les sous-payait, les pressait comme un citron. (voir la scandaleuse exploitation des employés du secteur textile au Bangladesh par ces rapaces de financiers richisimes, plus forts que des rois) Et l’état, cet être énorme, terrible,débile, enfant monsrueux de la Force et du Droit, exploitait tout le monde comme une métairie.
 
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