Le « cavalier seul » des kurdes de syrie

amsawad

Tayri nem tuder g-ul inu
En proclamant l’autonomie des régions kurdes de Syrie, le Parti de l’union démocratique (PYD) et ses alliés cherchent à incarner une «troisième voie» entre le régime et l’opposition. Un choix risqué mais qui leur offre un chemin vers l’autonomie.

Le 12 novembre 2013, les Kurdes de Syrie annonçaient la création d’une administration autonome de transition dans les trois zones d’Afrine au nord-ouest d’Alep, de Kobani entre la frontière turque au nord et l’Euphrate qui la borde à l’ouest et de la Djezireh, zone la plus vaste et la plus peuplée, qui se situe à l’extrême nord-est du pays. Dans l’attente d’élections prévues dans le courant de l’année 2014, chaque entité possède une assemblée législative locale de transition dirigée par un président et un gouvernement régional provisoire, composé de vingt-deux membres (appelés «ministres») qui gèrent, avec un conseil ministériel, les affaires courantes de la vie politique, sociale, juridique et économique.

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