Cécile duflot rompt sèchement avec jean-luc mélenchon

La Duflot, ce n'est pas demain la veille qu'elle va retrouver crédibilité à mes yeux avec ce retournement opportuniste.

Avec cela, son bavardage démentiel fait penser à celui des vieilles bigotes qui veulent bien faire, mais qui désirant passer pour des êtres sans taches, passent leur temps à faire la leçon et à se brouiller avec tout le monde.



"La lune de miel entre Cécile Duflot et Jean-Luc Mélenchon est terminée. L’ancienne ministre écologiste a pris la plume pour dire au cofondateur du Parti de gauche, dans une tribune publiée mardi 19 mai par Libération, tout le mal qu’elle pense de son dernier ouvrage sur l’Allemagne, Le Hareng de Bismarck.

Le ton est rapidement donné par celle qui entend parler « franchement ». « Ton Hareng, Jean-Luc, me reste en travers de la gorge », attaque Mme Duflot. Si elle reconnaît une « critique souvent juste de la politique menée par Angela Merkel », elle dénonce un « ton revanchard » et « des accents parfois quasi déroulédiens ». M. Mélenchon appréciera la référence à Paul Déroulède, figure de la droite nationaliste de la fin du XIXe siècle, poète, député boulangiste, putschiste, obnubilé par la perte de l’Alsace-Lorraine en 1871 après la défaite de la France face à la Prusse.

« T’exprimant ainsi, tu te trompes lourdement », lui lance-t-elle. Et de lister ses « erreurs ». La première serait d’ordre « psychologique » : « L’invective n’est pas le meilleur moyen de se faire entendre d’un peuple. » La seconde « de nature politique » : « Affairé à ta démonstration, tu sembles méconnaître soudain la complexité allemande. »"



L’ancienne dirigeante des Verts poursuit sa charge en jugeant qu’il y a « du Chevènement » dans « la posture » de M. Mélenchon et souligne le danger à mettre sa « critique...


En savoir plus sur Cécile Duflot rompt sèchement avec Jean-Luc Mélenchon
 
Pas envie ni besoin d'en savoir plus. Juste ptdr :D. Bon et c'est quand qu'on renouvelle pour de bon la classe politique car vu le niveau on est passé de la primaire à la maternelle cette année. :eek:

La question que j'aimerais poser à cette péronnelle: À quoi bon de faire meeting commun avec le Front de gauche à Paris et souhaiter la victoire de M. Alexis Tsipras en Grèce pour ne plus les soutenir réellement ensuite?
 

Scoco

Mrdi Mémtou Amro Maytkhes
Modérateur
Divisant la gauche encore plus, en 2017, les Français ne trouveront que Marine Le Pen pour élire à la tête de l'état.

A ce moment la je vais voir la gueule des conservateurs maghérbins qui crachent sur la gauche à chaque occasion.
 
La question que j'aimerais poser à cette péronnelle: À quoi bon de faire meeting commun avec le Front de gauche à Paris et souhaiter la victoire de M. Alexis Tsipras en Grèce pour ne plus les soutenir réellement ensuite?
La péronnelle en question a plus important en ligne de mire ; la conférence Paris Climat 2015. Tsipras est passé à l'as.
 
En fait d'écologie et de nature, elle est aussi crédible que son camarade pédophile allemand, un autre caméléon du discours et des principes, lequel représente merveilleusement bien le principe d'adaptation à l'environnement.
 
La question que j'aimerais poser à cette péronnelle: À quoi bon de faire meeting commun avec le Front de gauche à Paris et souhaiter la victoire de M. Alexis Tsipras en Grèce pour ne plus les soutenir réellement ensuite?
Une carrière à gérer?
Pfff mauvais esprit quand tu nous tiens, vas tu me rétorquer. :joueur:
 

Hibou57

Comme-même (tm)
VIB
Divisant la gauche encore plus, en 2017, les Français ne trouveront que Marine Le Pen pour élire à la tête de l'état.

A ce moment la je vais voir la gueule des conservateurs maghérbins qui crachent sur la gauche à chaque occasion.
Avec Le Pen, il n’y aurait plus de mariages homo… mais plus de commerces Halal non‑plus.

Pour les libertés, il nous faut un bon vieux centriste libéral classique… comme Bayrou par exemple :D .
 

Hibou57

Comme-même (tm)
VIB
En fait d'écologie et de nature, elle est aussi crédible que son camarade pédophile allemand, un autre caméléon du discours et des principes, lequel représente merveilleusement bien le principe d'adaptation à l'environnement.
Question crédibilité en matière d’écologie, Mélenchon il pourra repasser ses exams’ aussi : « une chose ne coute que ce que ça coute de la prendre » (ce qui résume l’opportunisme de l’extrême‑gauche), est aussi l’erreur d’appréciation qui est à l’origine de la surexploitation des ressources naturelles.
 
Question crédibilité en matière d’écologie, Mélenchon il pourra repasser ses exams’ aussi : « une chose ne coute que ce que ça coute de la prendre » (ce qui résume l’opportunisme de l’extrême‑gauche), est aussi l’erreur d’appréciation qui est à l’origine de la surexploitation des ressources naturelles.


Que de contorsions pour justifier les agissements d'une girouette qui profite de la manoeuvre du PS qui réunit un sommet bison sur le climat pour avoir un strapontin, voire siéger à nouveau comme ministre.

De toute façon, il y a longtemps que je n'accorde plus le moindre intérêts aux verts français. À force de retourner leurs vestes, les coutures vont lâcher et ils vont vite se trouver nus à force de s'accrocher aux basques d'un PS en totale déroute morale et politique.
 

zigotino

FluCtuAt NeC MeRgitUr
VIB
Les coups durs se suivent mais ne se ressemblent pas pour Méluche. En réalité, après un doute l'été dernier, il est mort politiquement et est bien seul même à l'extrême gauche. C'est triste.

Premier coup dur, le score famélique aux élections présidentielles. Il ne fallait pas haranguer les foules à Marseille en appelant à l'avenir de la France passant par le Maghreb et en soutenant de manière trop appuyée la minorité peu votante musulmane portée au conservatisme de droite par bus entiers. Encore moins dans une France conservatrice originellement paysanne et où le FN grapille doucement mais sûrement à chaque élection; en dépit des bisbilles entre les Le Pen père et fille qui les mettent sur le devant de la scène. Marine ne découvre pas son père en tombant de son lit.

Deuxième coup dur
, les scores faméliques des dernières élections départementales et le lâchage du PC qui a préféré sécuriser son fonds de commerce.

Troisième coup dur, Martine Aubry et ses frondeurs qui rejoignent la gamelle Cambadélis. Elle embarque avec elle une partie des frondeurs et l'autre partie est cornérisée (B. Hamon débarque du gouvernement Valls avec Cécile Duflot)

Dernier coup dur
, Cécile Duflot qui prend ses distances en publiant une tribune assassine dans "Libération".

Tout ça n'est que magouille. A l'approche des élections présidentielles et avec un fiasco annoncé aux prochaines régionales, tous ceux qui veulent garder leur petit privilège et exister encore politiquement se mettent en ordre de bataille derrière celui qu'ils critiquaient hier => F. Hollande. Ce dernier étant déjà entré en campagne pour 2017 malgré les coups bas de son ex éconduite pour plus jeune et fraîche (tellement classique) mais revancharde. Hollande, qui s'affaire avec un zèle non dissimulé à savonner la planche du revenant Sarkozy avec l'aide appuyée du Parquet le Cour d'appel venant de confirmer la légalité des écoutes et des poursuites à l'encontre de l'ancien baron de Neuilly s/ Seine.

A+
 
Les coups durs se suivent mais ne se ressemblent pas pour Méluche. En réalité, après un doute l'été dernier, il est mort politiquement et est bien seul même à l'extrême gauche. C'est triste.

Premier coup dur, le score famélique aux élections présidentielles. Il ne fallait pas haranguer les foules à Marseille en appelant à l'avenir de la France passant par le Maghreb et en soutenant de manière trop appuyée la minorité peu votante musulmane portée au conservatisme de droite par bus entiers. Encore moins dans une France conservatrice originellement paysanne et où le FN grapille doucement mais sûrement à chaque élection; en dépit des bisbilles entre les Le Pen père et fille qui les mettent sur le devant de la scène. Marine ne découvre pas son père en tombant de son lit.

Deuxième coup dur
, les scores faméliques des dernières élections départementales et le lâchage du PC qui a préféré sécuriser son fonds de commerce.

Troisième coup dur, Martine Aubry et ses frondeurs qui rejoignent la gamelle Cambadélis. Elle embarque avec elle une partie des frondeurs et l'autre partie est cornérisée (B. Hamon débarque du gouvernement Valls avec Cécile Duflot)

Dernier coup dur
, Cécile Duflot qui prend ses distances en publiant une tribune assassine dans "Libération".

Tout ça n'est que magouille. A l'approche des élections présidentielles et avec un fiasco annoncé aux prochaines régionales, tous ceux qui veulent garder leur petit privilège et exister encore politiquement se mettent en ordre de bataille derrière celui qu'ils critiquaient hier => F. Hollande. Ce dernier étant déjà entré en campagne pour 2017 malgré les coups bas de son ex éconduite pour plus jeune et fraîche (tellement classique) mais revancharde. Hollande, qui s'affaire avec un zèle non dissimulé à savonner la planche du revenant Sarkozy avec l'aide appuyée du Parquet le Cour d'appel venant de confirmer la légalité des écoutes et des poursuites à l'encontre de l'ancien baron de Neuilly s/ Seine.

A+

On ne donnait pas cher de la peau de Syriza il y a peu, voyez-vous.

Pour ma part, l'acharnement de la droite solférienne contre le Front de Gauche me semble l'aveu d'une faiblesse. Le PS fait pareil ou pire que l'UMP, les adhérents fuient et il n'y a personne à gauche qui, à part les vieilles badernes partisanes, qui pourra voter pour ce parti en pensant éviter une politique réactionnaire. Dresser l'inventaire de toutes les trahisons du PS étant un exercice parfaitement superfétatoire et fastidieux je dirige votre attention vers l'aveu remarquable du millionnaire Macron qui a déclarer souhaiter: "que la jeunesse rêve d'être milliardaire"......Tout cela ne fait que révéler la préférence du PS pour les inégalités. On ne peut pas définir la réussite par la richesse et se dire en même temps contre les inégalités. L'argent ne poussant pas dans les arbres et la hausse des inégalités se faisant par le haut, et non par le bas.
 

Hibou57

Comme-même (tm)
VIB
[…] On ne peut pas définir la réussite par la richesse et se dire en même temps contre les inégalités. L'argent ne poussant pas dans les arbres et la hausse des inégalités se faisant par le haut, et non par le bas.
C’est plus compliqué que ça. D’abord il ne faut pas confondre inégalité et pauvreté, ou dit d’une autre manière, ne pas confondre privation et frustration. Et il ne faut pas confondre égalité et bonne condition de vie.

Je vais me répéter, comme tu es inscrit depuis le 1er Mai, pour toi ça ne sera pas une répétition.

Il y a d’abord un mini-conte : un génie sorti d’une lampe magique vient à quelqu’un et lui dit qu’il peut exhausser son vœux le plus cher, mais qu’il doit bien réfléchir, parce qu’il n’a droit qu’à un seul vœux… le bien chanceux réfléchit, réfléchit, et pense savoir ce qu’il veut plus que tout. Il allait donner sa réponse quand le génie ajoute « tu dois savoir que quoique tu demande, je donnerai le double à ton voisin ». Et là celui qui allait annoncer son vœux, change de vœux et dit au génie « mon vœux est que tu m’arrache un œil ».

Même s’il y a des pauvres dans ce pays, le citoyen moyen vie plus la frustration que le privation. Et réduire les richesses des uns, ne signifie pas augmenter les richesses des autres ; on peut même s’attendre au contraire.

Et c’est là que vient la seconde illustration, par le communisme, dont on voit encore des séquelles en Corée du Nord : tout le monde est égal, tout le monde est pauvre (excepté une minorité de très riches).

Et là on peut revenir à la première illustration avec un court témoignage. Un reportage racontait la fuite d’une transfuge de la Corée du Nord, qui rejoignait la Corée du Sud en prenant un long détour (pour éviter la Chine, qui l’aurait renvoyé en Corée du Nord). Elle finit par arrivé en Corée du Sud. Après quelques mois, les journalistes la revoit pour qu’elle parle de ses impressions. La première chose qu’elle a pensé à dire aux journalistes, c’est qu’elle était choquée par les inégalité en Corée du Sud… oui, mais, elle vivait pourtant bien mieux en Corée du Sud qu’en Corée du Nord. Malgré qu’elle vivait mieux là maintenant et malgré le bon accueil que lui a fait la Corée du Sud et qu’elle semblait avoir beaucoup plus gagné que perdu, c’est ça qui la préoccupait, que bien qu’elle vive mieux qu’avant, d’autres vivent encore mieux.

Ceci dit, les mots de Macrons, c’est n’importe quoi quand‑même. Mais il n’est pas le seul à ne pas savoir compter et à avoir un sens de la logique bizarre (comme l’illustre le petit conte et le petit témoignage plus haut).

La privation, c’est une chose, la frustration, c’en est une autre. Faire des choix politiques dictés par la frustration, ça fait prendre le risque d’arriver à la privation (ex. le communisme)… et là, il y en a qui risqueraient de comprendre la différence, brutalement.

Ne pas se tromper de problème, c’est important.
 
Dernière édition:
On saute aux extrêmes, Corée du Nord, Goulag.... Ce que je sais, c'est que si on analyse la situation globale d'un pays, il y a des principes qui sont aux commandes. On peut décider de s'en foutre comme le PS, en attendant ce n'est pas ce qui mène heureusement encore. Or, en France il y a une république qui repose sur l'idée de liberté et d'égalité. Ce qui fait la richesse d'un pays, c'est la place de la classe moyenne. La qualité de sa formation et de son travail sont fondamentaux. Le nombre de riches et laisser accroître l'éventail de leurs revenus n'apporte non seulement rien à la richesse d'un pays, mais est carrément nuisible..

En attendant, il y a 8 millions de pauvres en France et plus de 5 millions au chômage. Nous ne sommes plus dans la frustration imaginaire.
 

Hibou57

Comme-même (tm)
VIB
On saute aux extrêmes, Corée du Nord, Goulag.... Ce que je sais, c'est que si on analyse la situation globale d'un pays, […]
Justement, autant le salaire moyen que le salaire médian, sont en france assez élevé. Et il ne faut pas se laisser embobiner par le discours des frustrés, dont l’intérêt n’est pas celui des pauvres, même s’ils essaient de les draguer (ex. FN et Front de Gauche).

[…] il y a des principes qui sont aux commandes. On peut décider de s'en foutre comme le PS, en attendant ce n'est pas ce qui mène heureusement encore. Or, en France il y a une république qui repose sur l'idée de liberté et d'égalité.
Égalité en droit (en théorie, parce qu’en pratique c’est autre chose, mais ça c’est une autre question)… l’égalité en tout est impossible, et même pas vraiment souhaitable.

Ce qui fait la richesse d'un pays, c'est la place de la classe moyenne.
La classe moyenne se fout des pauvres, elle est surtout frustrée, et ne connait rien à la pauvreté et à la privation. Une classe moyenne riche et des pauvres qui n’ont pas le minimum décent, ça ne peut pas aller loin, ça va au clash. Je ne sais pas ce que tu appelles la richesse d’un pays, mais j’ai une idée de ce qu’est la stabilité et la paix sociale, et ce qui sert la paix sociale, ce n’est pas la richesse de la classe moyenne (qui n’est qu’une catégorie sociale parmi d’autres, et qui comme toutes les autres voudrait que le monde tourne autour de son nombril), c’est la sécurisation des minimums, c’est ça qui fait que les gens se sentent en sécurité dans un pays, ont envie de le respecter et voit l’avenir sans inquiétude excessive qui fait faire n’importe quoi.

La qualité de sa formation et de son travail sont fondamentaux. Le nombre de riches et laisser accroître l'éventail de leurs revenus n'apporte non seulement rien à la richesse d'un pays, mais est carrément nuisible..
La moité de la richesse nationale est possédée par la classe moyenne en france. La classe moyenne pèse autant que les riches, en terme de pouvoir économique. Si je suis ta logique, la classe moyenne a donc autant de responsabilité que les riches.

En attendant, il y a 8 millions de pauvres en France et plus de 5 millions au chômage. Nous ne sommes plus dans la frustration imaginaire.
La classe moyenne, que tu prends pour une référence, s’en moque des 6 à 8 millions de pauvres en france. Elle évite même de les fréquenter d’ailleurs.
 
On redistribue un peu mieux la richesse pour on investit pour les sortir de la pauvreté ou du chômage.. Ils ne contribueraient pas, mais ne coûteraient rien à la fin.

C'est mal connaître la psychologie des gens que de croire qu'ils votent nécessairement dans leur intérêt de classe.
Si plein de gens de la classe moyenne se croient obligés de les mépriser, c'est plus de la hantise paniquée du déclassement social qu'autre chose.
Témoin cet article intéressant et motivé. Les frustrés et les aigris sont ceux qui s'imaginent qu'en méprisant les "sans-dents" croyant se rehaussent dans l'échelle sociale.
Pourquoi les pauvres ne votent pas en fonction de leur intérêt économique | Slate.fr
 

Hibou57

Comme-même (tm)
VIB
[…]
Témoin cet article intéressant et motivé. Les frustrés et les aigris sont ceux qui s'imaginent qu'en méprisant les "sans-dents" croyant se rehaussent dans l'échelle sociale.
Pourquoi les pauvres ne votent pas en fonction de leur intérêt économique | Slate.fr
CQFD. L’article dit :
L’article à dit:
[…] si les pauvres votent contre leur intérêt, c'est qu'ils ont peur qu'une politique sociale généreuse profite surtout.... à encore plus démuni qu'eux.
Ce qu’il omet de préciser c’est « certains pauvres et la classe moyenne ». Le comportement qu’ils attribuent aux pauvres (ce journal ne risque pas de les connaitre, il est sympathisant du Front de Gauche), c’est justement celui de la classe moyenne. D’ailleurs j’ai une expression à ce sujet : « à quoi reconnait‑on un riche ? Réponse: il se plain qu’il/elle n’a pas assez, mais se plain que ceux/celles qui ont moins ont trop ».

Je voulais commenter ça aussi.
L’article à dit:
Qu'on se le dise: les citoyens économiquement les plus modestes ne sont pas toujours fans des politiques de redistribution.
Il ne faut pas confondre les promesse et les actes. Les pauvres ne sont pas tous idiots, certains savent compter. Par exemple le Front de Gauche (je le prend comme exemple, car l’article suggère que si les pauvres étaient intelligents, il voteraient Mélenchon), initialement opposé au revenu de base inconditionnel au motif qu’il est une idée libérale, l’a littéralement saboté en avançant des sommes arbitrairement élevées, qui vont au delà du nécessaire, rendant l’idée encore plus difficilement acceptable aux yeux de la classe moyenne, et ainsi rendant sa concrétisation encore plus improbable. Certains promesses de redistribution, sont en pratique des non‑redistribution. Un pauvre préfère que tu lui donne 10€ plutôt que tu lui en promette 100€ que tu lui donnera jamais. Mais c’est évidemment difficile à comprendre pour un journal sympathisant du Front de Gauche, dirigé par un Mélenchon qui vie avec 12000€/mois.

Je ne commente pas tout l’article, mais il y aurait de quoi; comme par exemple l’affirmation que les pauvres votent FN… non, c’est la classe moyenne inférieure qui vote FN (en général, tout ceux qui ont peur du déclassement, c’est à dire ni ceux qui sont en haut, ni ceux qui sont en bas).
 
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