Àla veille du mois du ramadan, les services des affaires économiques au niveau des différentes préfectures sont chargés à traquer les fraudeurs et de contrôler les produits proposés aux consommateurs. Selon un responsable au sein de la wilaya du Grand Casablanca, «les contrôles se multiplient avec l’avènement du mois du ramadan». Ainsi, les responsables des différents services concernés se déplacent sur le terrain pour inspecter les petits commerces, les grandes surfaces, les restaurants et les autres lieux fréquentés en cette période.
«La protection des citoyens et la veille sanitaire sont notre priorité», nous confie un responsable préfectoral.
Ce dernier explique que les rondes de contrôle se font selon un calendrier déterminé à l’avance par des commissions formées de représentants de plusieurs services, dont la wilaya, les autorités locales et le ministère de santé*:
«On a une liste des établissements à vérifier.
Il s’agit surtout de magasins qui vendent les produits les plus consommés durant le ramadan et les commerces habituels comme les boucheries et les pâtisseries»..
Une fois sur place, la commission fait un tour dans les lieux, note ses remarques et soulève les anomalies. Pour les contrôles d’hygiène, elle procède au prélèvement d’échantillons pour analyse.
Nadia Ouiddar..le Matin
«La protection des citoyens et la veille sanitaire sont notre priorité», nous confie un responsable préfectoral.
Ce dernier explique que les rondes de contrôle se font selon un calendrier déterminé à l’avance par des commissions formées de représentants de plusieurs services, dont la wilaya, les autorités locales et le ministère de santé*:
«On a une liste des établissements à vérifier.
Il s’agit surtout de magasins qui vendent les produits les plus consommés durant le ramadan et les commerces habituels comme les boucheries et les pâtisseries»..
Une fois sur place, la commission fait un tour dans les lieux, note ses remarques et soulève les anomalies. Pour les contrôles d’hygiène, elle procède au prélèvement d’échantillons pour analyse.
Nadia Ouiddar..le Matin
