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Le Bureau des Étudiants en Médecine de lULB comptait organiser ce jeudi 1er mars au campus Erasme un débat intitulé « Liberté dexpression, libre examen, vivre ensemble : malaise à lULB ».
Ce débat entendait sintéresser aux événements survenus le 7 février dernier lors de laction « Burqa Blabla » qui avait empêché une prise de parole de la journaliste française Caroline Fourest, invitée par lUAE (Union des anciens étudiants) à débattre sur le thème de « lextrême-droite est-elle fréquentable ».
Le Bureau des Etudiants en médecine avait invité les professeurs Anne Morelli, Jean Bricmont et Jean-Jacques Jespers. Ces trois intervenants étant jugés trop « pro-Chichah » (du nom de lassistant de lULB à lorigine de laction « burqa blabla »), des démarches auprès du rectorat avaient été entreprises pour étoffer le panel et y inclure des personnalités considérées comme « neutre ».
Le BEM a décidé dannuler le débat de ce 1er mars : « Nous avions la volonté dorganiser -un débat serein, dans une ambiance respectueuse de tous, mais nous sommes dépassés par la tournure que prennent les événements. Vus lambiance houleuse, les échanges incendiaires (et malheureusement hors sujet) tant sur les réseaux sociaux que par e-mails et les tentatives dintimidation dont nous sommes lobjet, nous pensons sincèrement que le climat est trop violent pour assurer un débat constructif et sain ».
http://www.lesoir.be/regions/bruxelles/2012-02-28/chichah-un-autre-debat-annule-a-lulb-899815.php
Ce débat entendait sintéresser aux événements survenus le 7 février dernier lors de laction « Burqa Blabla » qui avait empêché une prise de parole de la journaliste française Caroline Fourest, invitée par lUAE (Union des anciens étudiants) à débattre sur le thème de « lextrême-droite est-elle fréquentable ».
Le Bureau des Etudiants en médecine avait invité les professeurs Anne Morelli, Jean Bricmont et Jean-Jacques Jespers. Ces trois intervenants étant jugés trop « pro-Chichah » (du nom de lassistant de lULB à lorigine de laction « burqa blabla »), des démarches auprès du rectorat avaient été entreprises pour étoffer le panel et y inclure des personnalités considérées comme « neutre ».
Le BEM a décidé dannuler le débat de ce 1er mars : « Nous avions la volonté dorganiser -un débat serein, dans une ambiance respectueuse de tous, mais nous sommes dépassés par la tournure que prennent les événements. Vus lambiance houleuse, les échanges incendiaires (et malheureusement hors sujet) tant sur les réseaux sociaux que par e-mails et les tentatives dintimidation dont nous sommes lobjet, nous pensons sincèrement que le climat est trop violent pour assurer un débat constructif et sain ».
http://www.lesoir.be/regions/bruxelles/2012-02-28/chichah-un-autre-debat-annule-a-lulb-899815.php