Chypre c'est fini

Salam lalamarya, Ca va ?

Dans le meme article, j'ai noté ca:

l'économie chypriote va considérablement souffrir dans les deux années à venir avec une récession de 8,7% attendue en 2013 et de 3,9% en 2014.

wowww c'est killer !!!! :wazaa:
si il disse 8.7 et 3.9 alors tu peux dire 12.7 et 5.9 parce qu'ils sont donne toujours des cote plus base que la réalité :D
 
Aucine difficulté j'en sais rien c'est la partie turque, qu est ce que un pays comme chypre fait dans l union europeen, il y'a 200 km entre chypre et le liban.
Cet ile ne produit vraiment rien de chez rien
 

memoLi

Bladinaute averti
La Turquie a fini de rembourser ses dettes auprès du FMI
Mis à jour le 14.05.13 à 12h40

La Turquie a apuré mardi l'intégralité de ses dettes auprès du Fonds monétaire international (FMI) avec lequel il a eu un passé tumultueux, a déclaré le Premier ministre Tayyip Erdogan, faisant ainsi rentrer son pays dans le club des pays non endettés à cette institution.

«Après une longue période, la Turquie a apuré, réduit à zéro sa dette envers le FMI. Je souhaite que ce développement soit propice pour notre pays», a-t-il dit lors d'une intervention devant les députés de son Parti de la justice et du développement (AKP, issu de la mouvance islamiste), au pouvoir.

Il a expliqué qu'une dernière tranche de 412 millions de dollars (317 millions d'euros) avait été remboursée mardi à l'institution monétaire internationale par la Banque centrale turque. La Turquie s'était endettée à plusieurs reprises auprès du FMI depuis 1958. L'Etat turc pourra désormais investir ses recettes fiscales dans les infrastructures, a affirmé M. Erdogan.

Le gouvernement Erdogan est engagé dans de grands projets d'infrastructures comme la construction à Istanbul, mégapole de 15 millions d'habitants, d'un troisième aéroport qui ambitionne de devenir le premier de la planète en nombre de passagers.

La Turquie, dirigée par l'AKP depuis 2002, et le FMI avaient longuement discuté entre fin 2008 et début 2010 de la possibilité d'un nouveau prêt. Aucun accord n'avait été trouvé.

Même si, après deux années de forte croissance, l'économie turque a nettement ralenti en 2012, avec une progression du produit intérieur brut (PIB) de seulement 2,2%, contre 8,8% l'année précédente, ce ralentissement n'a pas entravé la bonne marche de ses activités économiques, selon la Banque européenne pour la reconstruction et le développement (Berd), qui a tenu la semaine dernière sa réunion annuelle à Istanbul.
 

memoLi

Bladinaute averti
La Turquie accueille le FMI mais refuse son aide

Les liens

Berne resserre ses liens avec l’«Helvétistan»

Le premier ministre turc Recep Tayyip Erdogan n’ignore pas l’impopularité de l’institution. Politiquement, il lui serait difficile d’avoir recours aux prêts du FMI et de demander à la population de se serrer la ceinture une nouvelle fois. Il veut aussi démontrer que son gouvernement a su diriger l’économie, la 17e mondiale, dans un climat de crise et sans aide extérieure. Il n’empêche que le produit intérieur brut a baissé comme les exportations. Le chômage chez les moins de 24 ans a augmenté de 29% au début de l’année, contre 22% l’an dernier. Le déficit budgétaire s’accumule et le pays doit encore 8 milliards de dollars au FMI.

Pour la Turquie, se passer du FMI est une aussi une question de fierté nationale qui dépasse l’enjeu économique. Elle déborde sur le champ géopolitique où Istanbul se profile comme une puissance régionale.

La ligne dure vis-à-vis du «pompier» ne fait toutefois pas l’unanimité. Pour Mustafa Koc, président de l’un des plus puissants conglomérats industriels turcs, le pays s’en sortirait mieux avec l’assistance du FMI. Selon lui, la présence de celui-ci serait un gage utile pour attirer les investisseurs étrangers.
 

memoLi

Bladinaute averti
La Turquie gagne la confiance des investisseurs ; selon le rapport E&Y, elle est au top du classement
09.05.2013



Sabah – Selon une récente étude publiée par le cabinet-conseil Ernst & Young (E&Y), résultant d’un sondage mesurant l’attractivité de la Turquie en 2013, la solide croissance économique du pays, couplée à sa stabilité politique ont renforcé la confiance des investisseurs internationaux.


Si l’on considère la volonté affichée de la Turquie de se positionner comme destination de choix pour l’investissement, les résultats du sondage reflètent clairement la confiance croissante et le climat favorable que la Turquie inspire aux investisseurs étrangers. L'étude révèle ainsi toutes les opportunités commerciales que ce pays émergent offre à ces derniers. À la question portant sur les efforts constants de la Turquie pour améliorer son attractivité, plus de 80 pour cent des décideurs parmi les 201 entreprises représentant 29 pays ont répondu positivement. Quant à leur vision du pays d’ici à 2023, la majorité des répondants affirment que dans les années à venir, la Turquie deviendra certainement une plateforme incontournable au niveau régional et à l’échelle mondiale.


Musfik Cantekinler, directeur du département Finances d'Ernst & Young Turquie, a déclaré que « lorsqu’il s’agit d’attirer l’attention des investisseurs, la Turquie n’a pas d’égal. Impossible désormais de la comparer avec la République tchèque, la Roumanie et la Pologne. Elle évolue maintenant sur un autre terrain… » Commentant les résultats du sondage, M. Cantekinler a déclaré que la Turquie, le Brésil, l'Indonésie, la Chine, le Vietnam et la Malaisie étaient dans le viseur des investisseurs ».


Selon le directeur, « 58,8 pour cent des entreprises ayant participé au sondage ont émis le vœu d’investir en Turquie au cours de l’année prochaine ». Concernant leur plan d’investissement, il a ajouté que « 45,5 pour cent des entreprises déjà installées en Turquie ont opté pour la modernisation de leurs installations. 47,6 pour cent des autres entreprises qui entendent investir dans le pays optent pour les coentreprises et les partenariats ».
 

memoLi

Bladinaute averti
résultat des courses, si tu ne veux plus être l'esclave du système, tu refuses leur "aide" et tu bosses comme un fou pour remonter ton économie....
 

Scoco

Mrdi Mémtou Amro Maytkhes
Modérateur
Aucine difficulté j'en sais rien c'est la partie turque, qu est ce que un pays comme chypre fait dans l union europeen, il y'a 200 km entre chypre et le liban.
Cet ile ne produit vraiment rien de chez rien
Ils ont adhéré Chypre avec eux juste pour la problématique Turquo-greque / islamo-chrétienne.
 
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