Les clowns au pilori

ça continue

Pour Halloween, la police met en garde contre un regain du phénomène qui, depuis trois semaines, alimente la rumeur et joue à nous faire peur.
Inspirés par le roman d’épouvante Ça de Stephen King, par une vidéo italienne qui met en scène un clown tueur armé de masses ou de tronçonneuses, ou par la série American Horror Story, les imitateurs de clowns se déchaînent depuis trois semaines en France et le ministère de l’Intérieur redoute Halloween, ce vendredi. Un porte-parole de la police nationale relativise toutefois «ce phénomène de mode sporadique et ponctuel qui est déjà en train de baisser». Un commissaire conseille donc aux médias de ne «pas relancer la machine à rumeurs, donner des idées à d’autres petits malins, et nous obliger à poster des CRS partout sous la pression, on ne veut pas remettre une pièce dans le juke-box».
Mais dans l’Hérault, où plusieurs comiques menaçants ont déjà sévi, le maire de Vendargues (6 000 habitants) vient d’interdire «à tout individu ou groupe de personnes âgées de 13 ans ou plus de circuler déguisé ou grimé en clown dans les rues et espaces publics» pour Halloween, le 31 octobre et le 1er novembre. Il s’agit de «protéger les enfants en empêchant des clowns mal intentionnés de se mélanger aux habitants» et «d’éviter toute confusion et perturbation éventuelles» du défilé officiel.
Haches. La première apparition d’un «clown agressif», selon la terminologie policière, remonte au 10 octobre à Périgueux où un jeune de 17 ans déguisé et grimé a poursuivi des passants avec une arme factice. Il a expliqué qu’il avait «voulu reproduire la vidéo de YouTube». Puis, dans le Nord-Pas-de-Calais, plusieurs cas ont été signalés et trois plaintes enregistrées. Le préfet a dû dénoncer ces agissements sur Facebook, et la police lancer un avertissement sur Twitter le 17 octobre pour enrayer le phénomène : «Les clowns qui s’inspirent de Massacre à la tronçonneuse ne sont pas les bienvenus devant les écoles.» Arrêté ce jour-là, un plaisantin de 19 ans
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Ebion

Ça a l'air que je suis l'esclave da partida
VIB
Comme d'habitude, les coupables sont 1) des mecs 2) jeunes. Ceux-là sont vraiment une plaie sociale. :claque:
 
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